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Xenakis ensemble
Authors: --- --- ---
Year: 1992 Publisher: Place of publication unknown BVHAAST

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kamermuziek --- anno 1900-1999 --- Greece


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Alto Saxophone Concerto
Authors: --- --- ---
Publisher: Amsterdam Donemus

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Black in the colour

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Domaines
Authors: --- --- ---
Year: 2001 Publisher: Arles Harmonia Mundi

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Epicycles
Authors: --- --- ---
Year: 1990 Publisher: Amsterdam BVHaast

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Les émigrés
Authors: --- --- --- ---
Year: 1991 Publisher: Arles Harmonia mundi

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Film
Histoires extraordinaires
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2010 Publisher: [France] : TF1 Studio,

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Metzengerstein: les étranges rapports d’amour et de haine que la comtesse Frederica, cavalière émérite, entretien avec son cheval, un superbe étalon noir qui va s’avérer être la réincarnation de son amant décédé… William Wilson: William Wilson, un officier autrichien despotique, hanté par son double, entame une partie de carte avec la belle Giuseppina, partie qui va révéler les tendances sadiques de Wilson… Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable (Toby Dammit): l’acteur britannique Toby Dammit vient à Rome pour un projet de film. Une soirée est organisée pour fêter cet évènement. L’attention de Toby, déjà passablement altérée par la drogue et l’alcool, plus que par la bizarre cérémonie romaine où défilent prêtres et journalistes, est surtout attirée par la belle Ferrari qu’on lui fait miroiter pour le séduire et aussi par une étrange fillette qui joue avec une sorte de balle blanche. Hallucination ou réalité? En 1968, un producteur français et un producteur italien se mirent en tête d’offrir à Poe les honneurs d’une production à gros budget. La mode était aux films à sketches… Avec trois nouvelles de Poe, confiées chacune à un réalisateur différent, l’affaire était faite. Cela donna donc Histoires extraordinaires, de Vadim-Malle-Fellini. La tentation est grande de se livrer au petit jeu du classement, mais l’exercice est vain, ne serait-ce que parce que Fellini est d’emblée hors concours. Avec son sketch « Toby Dammit, ou Il ne faut jamais parier sa tête avec le Diable » (tiré d’une nouvelle que Baudelaire n’avait pas jugé bon de traduire en français), Federico a fait, comme on pouvait s’y attendre, du Fellini, ce qui ne veut pas dire d’ailleurs qu’il ait trahi Poe. Terence Stamp, dans le rôle d’un acteur alcoolique et allergique à la lumière, débarque à Rome pour jouer dans on ne sait trop quel western financé par le Vatican, mais, ayant d’abord croisé sa « doublure cinéma », il est poursuivi par le fantôme d’une petite fille sans âge qui, avec son ballon blanc, le conduit irrésistiblement jusqu’à la mort (seul James Bond peut réussir à traverser une rivière en voiture en s’engageant sur un pont dont la partie centrale s’est écroulée…). Vadim s’amuse à introduire dans son moyenâgeux « Metzergenstein » des références à d’autres histoires extraordinaires de Poe: le choix de Peter Fonda pour interpréter le cousin dont Jane Fonda, sadique châtelaine, tombe amoureuse (et qui se réincarne peut-être dans l’un de ses chevaux?) est un clin d’œil au couple formé par le frère et la sœur de la maison Usher. Mais les cadrages sont incertains et les costumes semblent sortir du même stock que ceux qui servirent la même année pour Barbarella, ce qui est fâcheux. Malle enlaidit Bardot comme il n’est pas permis en l’affublant d’une ridicule perruque noire, mais son « William Wilson » a le classicisme audacieux qui convient à une nouvelle qui s’est imposée avec le temps comme l’une des grandes variations littéraires sur le thème du double. Comme la CGI n’existait pas encore en 1968, les deux William Wilson ne sont pas toujours interprétés par le même Delon, et les visages sont souvent dissimulés sous des loups, mais il n’est pas sûr que ce décalage nuise au sujet. On aura deviné, si on ne le sait déjà, que William Wilson 1 finit par se tuer lui-même en voulant se débarrasser de William Wilson 2. Moins passe-partout qu’Histoires extraordinaires, le titre anglais du film, Spirits of the Dead, souligne mieux son unité. A l’issue de chaque histoire, on comprend que les pulsions destructrices appliquées par le héros (ou l’héroïne) sur les autres (William Wilson, par exemple, disséquerait une jeune femme vivante si son double ne venait l’en empêcher in extremis) ne sont que l’expression détournée d’un désir d’auto-destruction. S’ils portent la mort, c’est parce qu’ils la portent d’abord en eux. Parce qu’ils sont déjà morts. Les amateurs de Poe ne sauraient donc crier à la trahison; les amateurs de Camus non plus, puisque Camus était convaincu que tous les assassins sont des suicidaires qui s’ignorent. Mais il y a malgré tout ici mensonge par omission. Poe ne s’est pas contenté de plonger dans les brumes de l’Inconscient. Il a été aussi, dans une tonalité beaucoup plus optimiste, l’un des premiers - et c’est ce qui fait de lui le père incontesté du roman policier - à essayer de percer à jour le fonctionnement même de l’esprit et de la conscience. On regrettera à cet égard que chaque fois qu’il s’agit d’expliquer, Vadim et Malle recourent à une voix off assez peu cinématographique, et que Fellini n’inclue pas dans sa conclusion l’ironie railleuse de la nouvelle originale, dans laquelle Toby Dammit se décapitait en heurtant en l’air un obstacle qu’il n’avait pas vu, tant il était occupé à sauter le plus haut possible pour éviter un obstacle qui se trouvait au sol. Principe de composition et principe de décomposition sont évidemment toujours intimement liés chez Poe, mais on aimerait que le second ne fasse pas totalement oublier le premier. Si Poe nous fascine toujours autant aujourd’hui, c’est aussi par son obstination à vouloir résoudre certaines énigmes rationnellement. Il y a même parfois chez lui une bonne humeur que le film ignore.

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Sigma, Lumina, etc...

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Warsaw autumn : cd No. 5

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Deutscher Musikrat 75

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