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Histoire de la formation, de l'ascension et de la chute des empires depuis Rome jusqu'aux empires de Chine en passant par l'Islam, les Mongols et l'Inde des Moghols. A partir des réflexions théoriques du penseur arabe du XIVe siècle Ibn Khaldûn, cette lecture place en son coeur les questions de la paix et de la violence. ©Electre 2015
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Nul n'est prophète parmi les siens. Muhammed le vérifia quand le clan dominant de sa propre tribu, les Omeyyades, rejeta la religion qu'il annonçait et le chassa de La Mecque. Vaincus, convertis du bout des lèvres, les Omeyyades devaient pourtant, peu après la mort du Prophète (632), s'emparer du Califat, c'est-à-dire de la direction de cet Islam dont ils n'avaient d'abord pas voulu, et conduire sa rapide expansion, de l'Indus à l'Atlantique. Mais tous n'avaient pas oublié leur péché originel. En 750, les Omeyyades sont renversés, et presque exterminés. Un des leurs réussit à fuir en Espagne, aux confins négligés de l'Empire. Deux siècles plus tard, contre toute attente, la puissance omeyyade s'y est affermie, tandis que leurs ennemis déclinent en Orient. Le temps semble venu de reprendre le Califat, ou du moins de le revendiquer en droit. Cette légitimité que leurs sujets andalous vont s'efforcer d'établir, non sans peine, est le thème de ce livre. Car si leur projet politique avortera, les Omeyyades auront, pour les besoins de leur idéologie, fondé les grands traits de la culture andalouse, l'une des plus brillantes de l'Islam et de l'Europe médiévale.
Muslims --- Musulmans --- History. --- Histoire --- Umayyad dynasty --- Omeyyades --- Spain --- Córdoba (Spain) --- Espagne --- Cordoue (Espagne) --- History --- Córdoba (Spain) --- Umayyad dynasty. --- Córdoba --- Qurṭubah (Spain) --- Cordoue (Spain) --- Cordova (Spain) --- Kordova (Spain) --- Corduba (Spain) --- قرطبة (Spain) --- Cordoue --- islam --- politique --- Omeyyades d'Espagne --- XIème siècleEspagne --- califat --- Al-Andalus --- Xème siècle --- Califat --- Islam et politique --- 711-1516 --- 10e siècle --- Historiographie --- Andalousie (Espagne) --- Politique et gouvernement --- Jusqu'à 1479
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Muslims --- Clans --- Musulmans --- History. --- Histoire --- Ibn Khaldun, --- Umayyad dynasty. --- Spain --- Espagne --- Civilization --- History --- Historiography --- Civilisation --- Historiographie --- Ibn Khaldūn, --- Historiography.
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Pour Ibn Khaldûn, l'Etat est un processus contradictoire, construit par une violence organisée, que son fonctionnement l'amène cependant à affaiblir, puis anéantir. C'est dans le monde "bédouin", où la violence des groupes est rendue nécessaire par le souci de se défendre et de survivre, que l'Etat va puiser la force nécessaire à son existence et à son maintien. Cette force fond au bout d'un certain temps au feu de la pacification étatique, et doit être renouvelée. Il existe donc une relation intime et délétère entre l'Etat et la tribu. L'une nourrit l'autre, et s'y engloutit. Ce mécanisme simple admet une infinité de variantes et de nuances que Gabriel Martinez-Gros étudie à la fois dans l'Introduction (Muqaddima) et dans l'Histoire universelle d'Ibn Khaldûn. Il s'interroge ensuite sur les conditions de pertinence de la théorie, de fait bien adaptée à une histoire impériale dont on peut repérer la mise en place en Orient dès le premier millénaire avant notre ère, mais que les royaumes hellénistiques ou l'Empire romain illustrent aussi. En revanche, l'histoire de l'Occident médiéval et de l'Ancien Régime ne correspond guère à ce schéma, et encore moins l'histoire des nations modernes. Mais une forme d'épuisement du progrès économique, la mise en cause des nations, le malaise des démocraties pourraient rendre actualité, dans nos propres sociétés, à la théorie d'Ibn Khaldûn.
Civilization --- History --- Philosophy, Arab --- Islam --- Civilisation --- Histoire --- Philosophie arabe --- Early works to 1800 --- Philosophy --- Ouvrages avant 1800 --- Philosophie --- Ibn Khald*un, --- Ibn Khaldūn, --- Islamic countries --- History of Islam - Muslim Political Philosophy - 14th Century - Critical Essay --- History of Islam - Muslim Political Philosophy - 14th Century - Critical Essay. --- Philosophy. --- Ibn Khaldūn, --- History. --- Early works to 1800. --- History - Philosophy --- Ibn Khaldūn, - 1332-1406. - Kitāb al-ʻibar. - Muqaddimah --- Islamic countries - History --- Philosophie de l'histoire --- Civilisation islamique --- Ibn H̱aldūn, ʿAbd al-Raḥmân ibn Muḥammad --- Critique et interprétation. --- Ibn H̱aldūn, ʿAbd al-Raḥmân ibn Muḥammad,
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Islamic fundamentalism --- Peace --- Violence --- War and civilization --- Jihad --- World politics --- Terrorisme --- Islamisme --- Aspect religieux --- Islam --- Djihad --- Islamisme. --- Violence. --- World politics - 21st century
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L'histoire des cinq siècles de l'Empire islamique, de la mort du Prophète en 632 à l'éviction des Arabes des structures de pouvoir et à l'émergence des sultanats turcs au XIe siècle, en passant par les conquêtes, la mise en place du califat, l'éclosion et la chute des dynasties abbasside, omeyyade ou fatimide, tel est le propos de Gabriel Martinez-Gros. Mais pour éviter le biais d'une histoire de l'Islam vue d'Occident – ou l'essor de l'un est inévitablement le déclin de l'autre – l'auteur convoque les quelques rares voix qui nous parviennent encore du fond de l'histoire islamique. Ces voix, ce sont celles des historiens arabes médiévaux, dont Ibn Khaldûn. Ainsi émerge une tout autre perception de l'Empire islamique, où les dynasties se consolident dans la première génération de leur existence, atteignent leur floraison dans la deuxième, vieillissent et agonisent dans la dernière. C'est donc à une triple réflexion que nous invite ce livre admirable et singulier : d'abord sur l'histoire de l'Islam médiéval, ensuite sur la dynamique impériale, enfin sur l'écriture de l'histoire. -- Quatrième de couverture
Empire islamique --- Islamic Empire --- History
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La 4e de couv. indique : "Pour les historiens arabes les plus lucides, ce que nous appelons les croisades entre dans le récit plus vaste de l'effondrement de l'Empire islamique, la grande offensive des " Francs " en Méditerranée constituant l'une des deux mâchoires de la tenaille qui prend en étau l'Islam aux XIIe-XIIIesiècles. L'autre mâchoire, de loin la plus redoutée, se resserre à l'est avec les invasions mongoles. L'Empire islamique est ainsi le lieu où se confrontent trois constructions impériales ; à l'est l'histoire chinoise domine pour un petit siècle, le coeur de l'Empire mongol se trouvant à Pékin. À l'ouest, Saint Louis s'impose comme le fondateur de l'Empire franc, dont le centre est à Rome, après la vague des guerriers fondateurs que sont Godefroy de Bouillon, Baudouin, Amaury ou Roger de Sicile. C'est donc à un décentrement du monde que nous invite Gabriel Martinez-Gros. À travers une réflexion profondément originale, nourrie de ses précédents travaux sur la question impériale, l'histoire de l'Islam et la pensée historique arabe, l'auteur propose une fascinante nouvelle lecture des croisades, de l'Empire islamique et de la puissance mongole"
Mongols --- Crusades --- History. --- Islamic Empire --- History --- Foreign relations --- Croisades. --- Historiens arabes. --- Ibn Khaldūn, --- Ibn al-Athīr, ʻIzz al-Dīn, --- Empire islamique --- Croisades --- Historiens arabes --- Historiographie. --- Ibn H̱aldūn, ʿAbd al-Raḥmân ibn Muḥammad --- Ibn al-Aṯīr, ʿIzz al-Dīn Abū al-Hasan ʿAlī ibn Muḥammad ibn ʿAbd al-Karīm --- Empire mongol --- Mongols - Islamic Empire - History --- Crusades - History --- Critique --- Interprétation --- Croisades -- 1096-1291 --- Ibn al-Aṯīr, ʿAlī ibn Muḥammad -- 1160-1233 --- Islamic Empire - History - 1258-1517 --- Islamic Empire - Foreign relations - 750-1258 --- Ibn H̱aldūn, ʿAbd al-Raḥmân ibn Muḥammad --- Ibn al-Aṯīr, ʿIzz al-Dīn Abū al-Hasan ʿAlī ibn Muḥammad ibn ʿAbd al-Karīm
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Christianisme, islam, bouddhisme, les trois religions aux milliards de fidèles sont des créations de fin d'empire, les traînes des trois empires-mondes que sont Rome, la Chine et l'Islam. De ces religions Gabriel Martinez-Gros ne retient ici qu'un point commun, le moment où elles sont nées, lorsque l'impuissance croissante du pouvoir impérial dissocie son action politique de son système de valeurs, lorsqu'il passe de l'agir militaire et politique au dire religieux. La résonnance avec le monde moderne est frappante. La fin de l'extraordinaire poussée économique et démographique de la modernité (1800-2050), où l'Occident, empire informel, étendit sa domination, devrait ainsi voir une nouvelle émergence religieuse, de la même façon que l'affaiblissement de Rome aux IIIe-IVe siècles, la disparition des Han à la même époque, le naufrage du califat islamique entre IXe et XIe siècle ont abouti à des éclosions religieuses. Telle est l'idée majeure de ce livre aussi brillant que novateur, porté par une érudition confondante.
Religion et politique. --- Histoire religieuse. --- Religion et politique --- Histoire religieuse --- Religion and politics. --- Imperialism --- Power (Social sciences) --- Civil-military relations --- History.
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Pour les historiens arabes les plus lucides, ce que nous appelons les Croisades entre dans le récit plus vaste de l'effondrement de l'Empire islamique. La grande offensive des " Francs " en Méditerranée constitue l'une des deux mâchoires de la tenaille qui prend en étau l'Islam aux XIIe-XIIIe siècles, et menace de l'anéantir. L'autre mâchoire, de loin la plus redoutée, se resserre à l'est avec les invasions mongoles.Au regard du gouffre de cette apocalypse orientale, les événements de la part occidentale du monde islamique, où s'inscrivent nos Croisades, nous ramènent presque à l'ordinaire des temps. C'est donc à un décentrement du monde que nous invite Gabriel Martinez-Gros, en nous positionnant à Damas ou Bagdad, voire Pekin, et non plus seulement en regardant Jérusalem depuis Rome ou Paris. Ainsi se révèle, dans une perspective mondiale et par un historien nourri de sources aussi bien latines qu'arabes, ce que furent les Croisades, l'empire de l'Islam et la puissance mongole
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