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This review is part of a series of country-based studies generating new evidence on financial protection in European health systems. Financial protection is central to universal health coverage and a core dimension of health system performance. The incidence of catastrophic health spending is higher in Belgium than in most other countries in western Europe. It is heavily concentrated in the poorest fifth of the population and among households headed by unemployed or inactive people. Rates of unmet need for health care and dental care in Belgium are similar to the European Union average, but there is a significant gap in unmet need between the richest and poorest people. The factors that undermine financial protection in Belgium include gaps in all three dimensions of health coverage (population coverage, service coverage and user charges) and administrative barriers. At least 1% of the population is uninsured, rising to at least 2% in the Brussels region and among younger adults and self-employed people. On average, catastrophic spending is driven by out-of-pocket payments for medical products (owing to gaps in the benefits package) and inpatient care (reflecting widespread balance billing). In the poorest consumption quintile, however, it is mainly driven by outpatient medicines, diagnostic tests and outpatient care. The Government has recently taken steps to strengthen financial protection, but more can be done to simplify Belgium’s unusually complex coverage policy and reduce co-payments and other out-of-pocket payments, particularly for low-income households – for example, abolishing retrospective reimbursement for all health services; extending the annual cap on co-payments to all health services and lowering it for people with very low incomes; granting automatic entitlement to everyone eligible for increased reimbursement (reduced co-payments); limiting balance billing in outpatient and inpatient care; and strengthening regulation of the price of non-covered medical products.
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Les innovations en matière de santé répondent souvent à des besoins qui correspondent davantage à l’offre (de l’industrie, des hôpitaux, des prestataires de soins…) qu’à la demande des patients. Les pouvoirs publics en sont conscients et tentent de redresser la tendance. C’est dans cette optique que le Centre fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) a développé une méthode pour identifier de manière scientifique et structurelle les plus importants besoins non rencontrés des patients. Cette méthode pourrait être utilisée dans les décisions de remboursement de l’INAMI, mais elle pourrait aussi servir à mieux informer d’une part les professionnels de la santé sur les besoins réels des patients, et d’autre part à déterminer les priorités de recherche à fixer dans les agendas de l’industrie et des organismes qui financent la recherche publique.
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Gezondheidsinnovaties zijn vaak eerder gestuurd door het aanbod (bijv. van de industrie, de ziekenhuizen, de zorgverstrekkers) dan door de vraag van patiënten. De overheid is zich hiervan bewust en tracht deze tendens te corrigeren. Het Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg (KCE) heeft vanuit deze optiek een methode ontwikkeld om de belangrijkste onvervulde behoeften van patiënten op een wetenschappelijke en gestructureerde manier te identificeren. Deze methode zou kunnen worden gebruikt in het kader van terugbetalingsbeslissingen van het RIZIV, maar ook om zorgverleners beter te informeren over de werkelijke behoeften van patiënten, en voor het bepalen van de prioriteiten in de onderzoeksagenda van de industrie en instanties die publiek onderzoek financieren.
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En Belgique, les services de néonatalogie sont divisés d’une part en néonatalogie intensive (NIC), prenant en charge des bébés nécessitant un haut degré de surveillance avec des appareils de réanimation et une technologie de pointe, et d’autre part en néonatalogie non intensive (n*) destinée aux bébés plus stables ou après une période de soins intensifs. Les services de maternité sont les principaux lieux de naissance et de vie qui offrent aux parents un cadre sécurisant pendant le court séjour de la maman et du nouveau-né. Les soins complémentaires, tels que les soins de développement sont de plus en plus présents dans ces milieux hospitaliers. Le Newbom Individualized Developmental Care Assessment Program (NIDCAP), programme néonatal individualisé d’évaluation et de soutien au développement, est un exemple particulier de soins au développement regroupés dans une stratégie globale de prise en charge qui s’articule autour des capacités et des besoins de chaque enfant (Bustani, 2008). Certains services de néonatalogie et de maternité proposent des soins de développement tels que le massage. Une trentaine d’années d’études a prouvé les effets positifs du massage pour les nourrissons et plus particulièrement pour les prématurés. Au vu de toutes les constatations positives concernant le massage pour bébé, il pourrait sembler évident que l’application du massage pour le nourrisson ait lieu dans les milieux hospitaliers de façon systématique. Cependant nous n’en connaissons pas l’application réelle dans le milieu hospitalier car malgré nos recherches sur “PubMed” et “Google Scholar” avec comme mots-clés : “Infant, Newbom - Massage - Neonatology - Matemity - Complementary thérapies”, nous n’avons pas trouvé d'étude satisfaisante pouvant expliquer ces différences. L’objectif de cette étude est de décrire et d’identifier les facteurs prédictifs de l’application effective des massages pour bébés dans les unités de néonatalogie et de maternité.
Infant, Newborn --- Massage --- Neonatology --- Infant Care
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L’usage inapproprié des antibiotiques rend les bactéries de plus en plus résistantes, avec pour conséquences des maladies qui durent plus longtemps, des hospitalisations plus fréquentes et des décès. En Belgique, nous utilisons plus d’antibiotiques que la moyenne européenne dans les soins ambulatoires (surtout en médecine générale), dans les maisons de repos et dans l’élevage d’animaux destinés à la consommation. À la demande du SPF Santé publique, le Centre fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) a cherché à comprendre les raisons de cette situation et a formulé 21 recommandations pour l’améliorer. Le KCE plaide notamment pour le développement d’un Plan d’action ‘One Health’ de lutte contre la résistance aux antibiotiques, qui implique aussi bien la médecine humaine que vétérinaire. Ce travail a été mené en concertation avec des experts et des porteurs d’intérêt des deux secteurs.
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Het onverantwoord gebruik van antibiotica bij mens en dier maakt bacteriën steeds sneller resistent. Dit heeft overlijdens, meer ziekenhuisopnames en een langere ziekteduur tot gevolg. In België ligt het antibioticagebruik in de ambulante sector (met vooral de huisartsen als voorschrijvers), in de woonzorgcentra en in de veeteelt hoger dan het Europese gemiddelde. Op vraag van de FOD Volksgezondheid onderzocht het Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg (KCE) de oorzaken hiervan, en formuleerde het 21 aanbevelingen om de situatie te verbeteren. Hiervoor raadpleegde het experten en stakeholders uit alle betrokken domeinen. Het KCE pleit o.a. voor het opstellen van een ‘One Health’ actieplan tegen antimicrobiële resistentie, waarbij zowel de menselijke als de diergeneeskundige sector actief betrokken worden. Het huidige rapport werd alvast uitgewerkt in nauw overleg met deze beide sectoren.
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