Listing 1 - 10 of 68 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Cattle --- Herpesvirus 4, bovine --- Viral envelope proteins --- Viral tropism --- Antibodies, viral --- Complement activation --- physiology --- immunology
Choose an application
Cattle --- Herpesvirus 4, bovine --- Antibodies, viral --- Cattle diseases --- immunology --- immunology --- virology --- Cattle --- Herpesvirus 4, bovine --- Antibodies, viral --- Cattle diseases --- immunology --- immunology --- virology
Choose an application
Inflammation --- Inflammation --- Monocytes --- Lung --- pathology --- immunology. --- immunology.
Choose an application
Herpesviridae Infections --- Macrophages --- Lymphocytes --- Mice. --- Disease Models, Animal. --- immunology. --- immunology. --- immunology.
Choose an application
Choose an application
L’anguille européenne (Anguilla anguilla) est une espèce de poisson catadrome au cycle de vie complexe. Cette espèce en forte régression depuis les années 1980 est aujourd’hui classée comme espèce en danger critique d’extinction par l’UICN. En dehors des facteurs environnementaux et de la surpêche, les infections virales et parasitaires semblent jouer un rôle majeur dans leur déclin. Parmi les virus spécifiques de l’anguille européenne, l’Anguillid herpesvirus 1 (AngHV-1) est l’un des virus le plus fréquemment diagnostiqués, aussi bien en aquaculture qu’en milieu naturel. La pathogénie et la transmission de ce virus étant encore mal connues, le laboratoire d’Immunologie et Vaccinologie (Faculté de Médecine Vétérinaire, Université de Liège) a développé un projet de recherche visant à étudier ces aspects. Dans le but de pouvoir révéler la présence du virus in vitro et in vivo, une souche virale recombinante AngHV-1 LucGFP, exprimant les protéines luciférase et copGFP a été produite par le laboratoire. Ce virus recombinant a été utilisé pour étudier par bioluminescence (IVIS pour In Vivo Imaging System) la porte d’entrée du virus chez les poissons ainsi que sa transmission entre sujets. Deux conditions épidémiologiques ont été testées : (i) l’immersion des poissons dans de l’eau contaminée par le virus, et (ii) la mise en présence de sujets naïfs avec des sujets infectés. Ces expériences ont révélé que l’immersion dans de l’eau contaminée est un mode peu efficace d’infection. Au contraire, la cohabitation de sujets infectés et naïfs a révélé une transmission très efficace par morsure des sujets naïfs par les sujets infectés. Ces résultats considérés dans leur ensemble suggèrent que l’AngHV-1 pourrait (i) être instable dans l’eau et/ou (ii) qu’il serait neutralisé efficacement par le mucus épidermique de l’anguille. Le but de ce travail a été de tester la deuxième hypothèse. Afin d’investiguer la neutralisation du virus par le mucus, du mucus cutané d’anguille a été récolté et clarifié afin d’obtenir des échantillons de « Extrait de Mucus Clarifié » (EMC). La capacité de l’EMC à neutraliser l’AngHV-1 a été testée par incubation de l’AngHV-1 LucGFP avec différentes concentrations de CME. L’infectivité résiduelle après incubation avec l’EMC a été visualisée par analyse en IVIS de couches monocellulaires de cellules EK-1 infectées avec les échantillons. Ces expériences ont révélé la sensibilité de l’AngHV-1 à la neutralisation par le mucus épidermique de l’anguille. En conclusion, les expériences réalisées dans ce travail révèlent la sensibilité de l’AngHV-1 à la neutralisation par les composants présents dans le mucus épidermique. Ces résultats soutiennent la relevance biologique d’une transmission par morsure.
Choose an application
Les domaines protéiques Zalpha ont une longueur de 66 acides aminés. Ils ont la propriété de se lier au dsADN (Z ADN) ou dsARN (Z-ARN) en pas gauche. A ce jour, les domaines Zalpha ont été décrits dans seulement trois protéines cellulaires et deux protéines virales. L’ORF112 du Cyprinid herpesvirus 3 (CyHV-3) code pour une protéine contenant un domaine Zalpha. Récemment, le laboratoire hôte a démontré que le domaine Zalpha de l’ORF112 (partie C-terminale de l’ORF112) est essentiel et suffisant pour la réplication virale en culture cellulaire. Cette observation fait du CyHV-3 un modèle unique pour l’étude de la fonction biologique des domaines Zalpha. La localisation subcellulaire du Zalpha de l’ORF112 évolue au cours du cycle de réplication. Il apparait successivement dans le nucléole, dans les sites nucléoplasmiques de réplication de l’ADN viral et enfin dans des agrégats cytoplasmiques. Rien n’est connu de la mobilité de la protéine entre ces sites d’expression. Une approche élégante pour étudier la mobilité subcellulaire d’une protéine au sein de cellules vivantes repose sur l’expression de la protéine d’intérêt fusionnée à une protéine photoconvertible. La protéine mEOS dérivée du corail pierreux Lobophyllia hemprichii est une des protéines fluorescentes les plus utilisées à cette fin. L’expression de la protéine de fusion peut être initialement monitorée grâce à l’autofluorescence verte de mEOS. Une fois la protéine de fusion localisée dans une région d’intérêt de la cellule, d’où le traçage peut commencer, elle est irréversiblement convertie d’une fluorescence verte en rouge par excitation UV à l’aide du laser du microscope confocal. La redistribution du signal rouge en fonction du temps post-conversion peut être ensuite enregistrée pour étudier le transit subcellulaire de la protéine. Le but de ce travail de fin d’étude a été de produire une souche recombinante du CyHV-3 exprimant le Zalpha de l’ORF112 fusionné en son extrémité N-terminale à mEOS. Pour atteindre cet objectif, nous avons utilisé une approche combinant les technologies de recombinaison procaryotique et de recombinaison homologue en cellules eucaryotes. Tout d’abord, par recombinaison procaryotique, nous avons délété la cassette EGFP codée par le chromosome bactérien artificiel (BAC) d’un clone du CyHV-3 délété pour l’ORF112. Ensuite, le virus recombinant a été généré par co-transfection de cellule CCB à l’aide du BAC modifié et d’une cassette de recombinaison consistant en une séquence codante pour la protéine de fusion mEOS ORF112 Zalpha flanquée de régions de 500 paires de base en amont et en aval de l’ORF112 du CyHV-3. Cette approche a permis de produire avec succès un virus recombinant exprimant la protéine de fusion mEOS-ORF112 Zalpha et de réaliser les observations suivantes. La localisation subcellulaire de mEOS-ORF112 Zalpha au sein des cellules infectées est similaire à celle de la protéine ORF112 Zalpha sauvage, et tout comme cette dernière, elle co-localise principalement avec des accumulations de dsARN et non de dsADN. La photoconversion par traitement au UV de mEOS fusionné à ORF112 Zalpha a été démontrée au sein de cellules infectées vivantes. La conversion de mEOS-ORF112 Zalpha localisé au sein d’agrégats cytoplasmiques a révélé un transit intense de la protéine entre agrégats cytoplasmiques. Dans les cinq minutes suivant la photoconversion, il a été possible d'observer une re-localisation de mEOS-ORF112 Zalpha photoconverti (signal rouge) vers de nouveaux agrégats non-convertis (signal vert). Il a également été possible d'observer la migration au sein d'agrégats photoconvertis (signal rouge) de molécules mEOS ORF112 Zalpha non photoconverties (signal vert). Ces molécules non photoconverties pourraient avoir une origine cytoplasmique ou nucléaire. En conclusion, les résultats de ce travail de fin d’étude démontrent la faisabilité de l’utilisation de la photoconversion pour étudier le transit intracellulaire du Zalpha de l’ORF112 du CyHV 3. Le modèle développé permettra dans un avenir proche d’étudier le transit de la protéine entre ses différents sites de localisation intracellulaire. Les résultats préliminaires obtenus révèlent un transit intense du Zalpha de l’ORF112 entre agrégats cytoplasmiques contenant du dsARN.
Choose an application
L’émergence du placenta chez les mammifères euthériens est complexe et fait l’objet de nombreuses recherches passées et à venir pour découvrir et comprendre l’ensemble des mécanismes et acteurs impliqués dans ce processus. Il y a des millions d’années, un rétrovirus exogène a infecté un ancêtre commun aux mammifères placentaires et a persisté chez cet hôte. Puis, d’autres rétrovirus ont été endogénéisés au sein de diverses lignées de mammifères, et c’est en offrant un avantage sélectif à son hôte que la persistance et la transmission des gènes rétroviraux à travers les générations de mammifères a été possible. Ici, je m’intéresserai plus particulièrement au gène rétroviral env codant pour la protéine syncytine, elle est exprimée spécifiquement dans le placenta où elle joue un rôle dans la formation du syncytiotrophoblaste par des propriétés de fusion cellulaire, ainsi que dans l’immunotolérance fœto-maternelle par des propriétés immunosuppressives.
Choose an application
L’herpès virus équin 1 (EHV-1) est l’un des virus les plus répandus chez les chevaux et ce mondialement. Il est connu pour induire quatre pathologies différentes à savoir une forme respiratoire, abortive, neurologique et oculaire. Bien que ce virus soit l’objet de nombreuses recherches et ce depuis plusieurs décennies, aucun vaccin n’est encore disponible pour lutter contre sa forme neurologique. Si la vaccination a permis de réduire l’incidence des pathologies respiratoires et abortives, la myéloencéphalopathie associée à l'herpès virus équin 1 (EHM), est quant à elle décrite de plus en plus fréquemment. Actuellement, les vaccins inactivés et vivants atténués sont les deux types de vaccins présents dans le commerce. Si les précédentes recherches avaient pour but de neutraliser le virus lorsqu’il se dissémine par virémie associée aux cellules en stimulant les lymphocytes T cytotoxiques, les dernières études ont démontré que des souches virales faiblement atténuées étaient capables d’induire une réponse humorale IgG4/7 suffisante pour neutraliser directement le virus extracellulaire et ainsi éviter la virémie associée aux cellules. Même si cette découverte semble prometteuse, d’autres questions restent à régler comme le fait qu’EHV-1 est susceptible de se réactiver chez les chevaux porteurs latents, et ce au moindre stress rencontré par le cheval. En attendant d’obtenir un vaccin complètement protecteur contre l’EHM, la gestion de cette pathologie passe par un diagnostic rapide ainsi que des mesures de prévention et de biosécurité et la mise en place d’un traitement symptomatique. Des traitements complémentaires au vaccin ont également démontré un intérêt particulier, tels que les analogues de nucléoside, l’héparine ou encore les AINS en les utilisant précocement.
Myéloencéphalopathie équine --- EHM --- Herpès virus équin 1 --- EHV-1 --- vaccination --- management --- Sciences de la santé humaine > Immunologie & maladie infectieuse
Choose an application
L’utilisation des produits sanguins en médecine vétérinaire d’urgence est devenue de plus en plus fréquente. Elle permet de sauver de nombreuses vies mais n’est pas pour autant anodine. Elle peut représenter un risque important et son usage doit donc être un acte réfléchi et raisonné. Afin de pouvoir prendre cette décision de manière éclairée, nous allons aborder ce travail en suivant le trajet des produits sanguins en allant du donneur jusqu’au receveur. Cela permet de se rendre compte de la valeur qu’a le produit sanguin quand on l’utilise. Dans la 1ère partie, nous allons nous intéresser au receveur. Nous allons voir quels sont les critères nécessaires afin qu’un chien puisse devenir donneur, quels sont les tests biocliniques à réaliser avant de commencer le don de sang et enfin comment se déroule ce don. Finalement nous parlerons rapidement de la transfusion autologue. Dans le 2ème chapitre, nous parlerons des nombreux produits obtenus à partir d’une pochette de sang tels que le plasma, les concentrés de globules rouges,… Nous aborderons ensuite leur conditionnement et stockage et apprendrons les différents risques liés à des mauvaises conditions de stockage. Dans la 3ème partie, nous aborderons les critères cliniques pour savoir si un chien doit être transfusé ou non et nous verrons comment la transfusion se déroule. Nous approfondirons des concepts immunologiques de base permettant de comprendre la compatibilité donneur-receveur. Finalement, nous verrons la pathogénie, la présentation clinique et le traitement des différentes complications associées aux transfusions sanguines. Pour pouvoir les gérer, le monitoring de notre patient est capital afin d’assurer une détection et des mesures précoces.
Listing 1 - 10 of 68 | << page >> |
Sort by
|