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-Les Kazaks :Située au nord-ouest de la région autonome du Xinjiang, la commune populaire "Vent d'Est", district d'Ili, compte près de 10.000 personnes dont 90% sont Kazaks. Frontalier avec l'Union soviétique, le district d'Ili est une zone militaire. L'armée populaire entraîne les milices contre les agressions soviétiques mais rend également un service médicale important : les soldats donnent des cours sur les plantes médicinales ; des médecins militaires opèrent dans les yourtes ; des dispensaires mobiles circulent partout.L'agriculture, traditionnellement basée sur l'orge et le millet, s'est étendue depuis 1966 au maïs. Le comité du parti, composé de Kazaks, d'Ouïgours et de Chinois, se réunit pour discuter des besoins en matériels agricoles, du rôle des femmes autrefois opprimées et du nécessaire rapprochement des dirigeants avec les travailleurs. Une fois par an, les Kazaks organisent une fête traditionnelle où les femmes poursuivent les hommes à cheval.-
Communisme --- Population --- Sociologie --- Politique --- Années 1970 --- Chine --- Xinjiang
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-Le Village de pêcheurs :Da Yu Dao, dans le Shantung, province natale de Confucius. Des jeunes filles, pour la première fois, sont devenues marins pêcheurs en haute mer : le capitaine du bateau est une femme de 23 ans. Cette révolution, comme la Révolution culturelle, laisse perplexe un vieux capitaine... Autour de ces personnages, la vie quotidienne du village : la pêche, la récolte des algues comestibles.-Une caserne :Un mois de séjour dans une caserne près de Nankin. Des ressemblances avec les autres armées : le lit au carré, la marche au pas. Des différences aussi : officiers et soldats mangent à la même table, les soldats critiquent les officiers sur la gestion de la caserne comme sur la tactique militaire, ils cultivent la terre pour se nourrir, ils aident la population locale lors de grands travaux.-Entrainement au cirque de Pékin :C'est l'entraînement quotidien des gens du cirque de Pékin. Le film se termine sur une représentation des acrobates.-L'Usine de générateurs :Près de Shanghai, une usine de près de 8.000 ouvriers fabrique du matériel électrique. Les hommes et femmes travaillent tous, quel que soit leur niveau de responsabilité, dans le désir d'assurer une meilleure productivité. Mais au cours du tournage un mouvement de contestation éclate. Réunions d'ateliers, affiches manuscrites, grandes assemblées : les dirigeants de l'usine sont mis sur la sellette.-Une histoire de ballon :L'histoire se passe dans un lycée de Pékin. La cloche ayant sonné, un professeur demande à un groupe d'élèves de cesser de jouer au ballon ; mais un élève shoote en direction du professeur. Toute la classe se réunit avec le professeur pour discuter de l'incident : autour du ballon, un débat idéologique.-Les Artisans :L'art traditionnel chinois continue d'exister en Chine et les gestes des artisans sont transmis aux jeunes générations.
Femme --- Communisme --- Famille --- Population --- Politique --- Sociologie --- Années 1970 --- Armée --- Cirque --- Usine --- Ouvrier --- Shandong --- Chine --- Nankin --- Pékin --- Shanghai
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Tournées en 1972 et 1973, ces douze heures de films, réalisées dans différentes régions de Chine, nous offrent un voyage passionnant au coeur de la Chine de la fin de la Révolution culturelle.
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cinema --- Ivens, Joris.
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De retour à Paris, après de nombreuses années d’absence et de voyages à travers le monde, Myriam, cinéaste et grand reporter, se rend à une cérémonie de commémoration de la libération des camps d’extermination nazis, dans la salle des fêtes d’une mairie de Paris. Au cours du banquet qui suit la cérémonie, elle retrouve avec émotion plusieurs de ses anciennes compagnes de déportation, survivantes comme elle de la Shoah. Comme chaque année, il y a une tombola. C’est Myriam qui gagne le gros lot: un billet pour Cracovie… Marceline Loridan-Ivens est une rescapée du camp d'Auschwitz-Birkenau où elle a été déportée à 14 ans. Elle y a passé deux ans de sa vie et son père y a laissé la sienne. En 2003, en réalisant La Petite prairie aux bouleaux, traduction du polonais Brezinka, germanisé en Birkenau, Marceline Loridan-Ivens s'est "libérée" par la pellicule. Elle offre ainsi une réflexion sur la mémoire et l’oubli, la réconciliation et l’espoir. Avec l'autorisation exceptionnelle de tourner dans l’enceinte du camp de Birkenau, la réalisatrice restitue des sentiments d’une grande intensité, empreints de souvenirs douloureux. Ce film retient l’attention à plusieurs titres. D’un point de vue cinématographique, on notera qu’il s’agit d’une fiction autobiographique, Anouk Aimée interprétant le rôle de Marceline Loridan-Ivens, tournée (en partie) dans l’enceinte du camp d’Auschwitz-Birkenau. Le lieu (principal) de la Destruction des Juifs d’Europe est ainsi habité et c’est par l’évocation de souvenirs (sans reconstitution, mais pas le truchement de la fiction) qu’une représentation du passé émerge. Le film est également intéressant d’un point de vue mémoriel, car c’est plus de cinquante ans après les faits que l’intrigue se déroule. Ainsi, c’est à travers des retrouvailles et des rencontres, qu’un regard rétrospectif sur le passé prend forme sous nos yeux. Le film n’évite alors pas la question de l’oubli, puisque l’héroïne, à plusieurs reprises, ne se souvient plus de ce qu’elle a vécu. Il est donc question, non seulement du retour du souvenir (vécu sur un mode heureux et sur mode douloureux), mais aussi de ce qui échappe. Le film est aussi politique, car il met en scène l’incompréhension entre Juifs revenant sur les lieux et Polonais catholiques exploitant ce tourisme de la Catastrophe en plein développement, sans pour autant éviter de mettre en scène la dureté parfois trop grande des victimes envers ceux-ci. La muséification du camp d’Auschwitz est aussi présenté de manière critique. Enfin, d’un point de vue historiographique, il est intéressant, car la réalisatrice est, elle-même, une ancienne déportée. Ainsi, à l’heure où il est de plus en plus question de l’avènement d’une ère post-mémorielle ou du rôle de la mémoire de 2ème/3ème génération, un autre point de vue est ici porté à l’écran. Ainsi, fiction sur la mémoire et l’oubli, La prairie aux bouleaux rend visible une imbrication de rapports au temps à la fois complémentaire et contradictoire, vécue à la première personne. Cela en fait un film très riche, sensible et qui ouvre à de multiples réflexions.
Cinéma --- Guerre mondiale (1914-1918) --- Camps de concentration --- Survivants des camps de concentration --- Déportations de France --- DVD. --- Récits personnels --- DVD. --- DVD. --- Konzentrationslager Birkenau (1941-1945).
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