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Une étude de l'impact des transformations technologiques sur le marché du travail mondial, la précarisation des travailleurs s'accentuant au bénéfice des multinationales. L'auteur aborde les défis futurs majeurs tels que les flux de migration et l'organisation de la production en interrogeant des syndicalistes, des militants et des universitaires sur la situation des travailleurs. ©Electre 2019
Marché du travail -- Effets des innovations technologiques --- Economie politique --- Industrie 4.0 --- Effets des innovations technologiques --- condition de travail --- flexibilité de l'emploi --- organisation du travail --- mondialisation --- sociologie du travail --- Work --- Social change --- Labor market --- Foreign trade and employment --- Technological innovations --- Labor supply --- Employment forecasting --- Manpower policy --- Work - Technological innovations
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Aujourd’hui, le « numérique » est partout.Du transport à l’alimentation en passant par la santé ou le logement, difficile de trouver une sphère d’activité qui échappe encore à son emprise. Du moins dans les pays du Nord.Au Sud, les progrès de la numérisation restent plus inégaux. Ils n’en posent pas moins question.D’abord, parce que les technologies numériques reposent sur une exploitation massive des ressources de la nature – ce qu’on appelle l’«extractivisme» – et une fuite en avant écologique dont le Sud est la première victime à l’échelle mondiale.Ensuite, parce que leur déploiement profite avant tout à une poignée de multinationales qui concentrent un pouvoir inédit grâce à l’exploitation de quantités toujours croissantes de «données».Enfin, parce que la gouvernance et l’infrastructure globales du numérique sont aujourd’hui dominées par le Nord et le secteur privé, avec à la clé de nouvelles formes de dépendance et d’exploitation. Mais les résistances s’organisent.Des États cherchent à promouvoir leur « industrialisation numérique » ou plus largement leur «souveraineté technologique».En parallèle, des mouvements sociaux défendent un usage démocratique, écologique et émancipateur du numérique, face aux instrumentalisations du capitalisme de plateforme, mais aussi de la surveillance étatique.
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L’«avenir du travail» est le sujet du moment dans le petit monde de la «gouvernance mondiale». Toutes les organisations internationales, ou presque, en ont fait une priorité, sans parler des think tanks et autres cabinets de conseil. Leur point commun: penser cet avenir sous l’angle étroit de la «quatrième révolution industrielle» avec ses robots, ses imprimantes 3D et ses plateformes numériques pour mieux vendre des (dé)régulations du travail. Mais de quel travail parle-t-on exactement? À qui ces discours et analyses sont-ils destinés? Dans quels buts? Aujourd’hui, les trois quarts des travailleur·euses de la planète font partie de ce qu’on peut appeler le «Sud global». Leur écrasante majorité sans accès à un emploi formel ni aux protections qui lui sont encore liées. Les imprimantes 3D et les algorithmes sont le cadet de leurs soucis. Ce sont pourtant les grand·es absent·es du débat sur l’«avenir du travail». Il est urgent de faire la critique de ce «débat» pensé et organisé par les multinationales et les États, avant tout du point de vue de celles et ceux qu’ils s’obstinent à marginaliser. Ce livre donne la parole à des activistes, syndicalistes et universitaires qui sont en première ligne pour penser et agir sur l’«avenir du travail» dans les périphéries de l’économie mondiale.
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En Belgique, le caractère en principe illimité dans le temps des allocations de chômage est attaqué de longue date par le patronat et la droite. En principe, car depuis 2004, sous leur pression, les allocations de chômage sont désormais conditionnées à la preuve d’une recherche active d’emploi dans le chef des bénéficiaires avec sanctions et exclusions à la clé. En 2012, le gouvernement Di Rupo a également imposé la dégressivité accrue et généralisée des allocations de chômage, ainsi qu’une limitation dans le temps des allocations d’insertion. En outre, si les allocations de chômage belges sont à durée illimitée, elles sont aussi très largement plus basses que dans les pays voisins et les conditions d’accès y sont plus strictes
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