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Saint-Malo (France) --- Saint-Malo Region (France) --- History.
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À la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe, les Anglais et les Néerlandais se lancent à l’assaut de l’empire établi depuis un siècle dans l’océan Indien par les Portugais, qui contrôlaient le lucratif commerce des Indes orientales, notamment celui des épices. On considère souvent que les Français n’ont rien entrepris dans ce domaine avant 1664, lorsque Colbert fonda la célèbre Compagnie française des Indes orientales, qui est la seule retenue par l’histoire. Au contraire, cet ouvrage, qui souhaite s’adresser à la fois à des chercheurs et à un public élargi de non-spécialistes, démontre que les Français ont eux aussi pris part à cette « course aux épices » dans le premier quart du XVIIe siècle. La confrontation de différentes sources françaises, anglaises et néerlandaises (récits de voyages dignes de romans d’aventures, documents manuscrits contemporains, archives…) permet de faire revivre ces événements presque oubliés de l’histoire maritime française. Sont ainsi relatées quatre expéditions entreprises entre 1601 et 1622, ainsi que la fondation d’une première compagnie par Henri IV dès 1604. Ces tentatives constituent ainsi véritablement la préhistoire de la Compagnie des Indes orientales.
History --- épices --- voyage --- XVIIe siècle --- Asie du Sud-Est --- Henri IV --- Beaulieu Augustin de --- Martin François --- Pyrard François --- compagnies de commerce et de navigation --- navires de commerce --- industrie et commerce
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Europe --- Industries --- History --- Economic conditions --- Social conditions --- Industrie --- Histoire --- Conditions économiques --- Conditions sociales
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Entre le xviie siècle et la chute de Napoléon Ier, le port terre-neuvier de Granville pratique régulièrement la guerre de course. Toute une population littorale se retrouve ainsi impliquée dans une aventure maritime où le désir de faire fortune côtoie constamment le risque d’y laisser sa vie, son bien et ses illusions. Portée par une poignée d’armateurs particulièrement entreprenants et audacieux, l’activité du port bas-normand est éclatante. Des bâtiments de toutes tailles – du simple lougre de 3 tonneaux aux grands navires, pouvant jauger jusqu’à 530 tonneaux – se retrouvent armés pour le meilleur et pour le pire. Les satisfactions des uns côtoient les déceptions des autres. Granville devient pourtant le 3e port corsaire métropolitain français sous Louis XVI par le nombre d’armements et par la valeur des prises rapportées. De quoi contenter tout le monde, pourrait-on penser. C’est toutefois oublier que la course est une activité périlleuse. Ce livre, tiré d’une thèse en histoire, est avant tout une étude sociale de la guerre de course granvillaise. Pourquoi les armateurs et les gens de mer s’engagent-ils dans une activité qui comporte autant de risques ? Vers quels risques, d’ailleurs, et quels bénéfices ? Pour la première fois, une étude est menée auprès de 1 350 hommes d’équipages afin de saisir la nature de ces dangers et mesurer précisément leur importance. De quoi remettre en question bien des clichés ! Avec rigueur, passion et simplicité, l’auteur réussit non seulement à expliquer les armements, les équipages, les préoccupations des armateurs et la vie des corsaires en mer, mais aussi à montrer à quel point la guerre de course correspond véritablement à une culture du risque maritime.
History --- histoire maritime --- corsaire --- Granville --- port --- guerre de course
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