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Zaalatletiek in Mechelen, een utopie?
Author:
Year: 1980 Publisher: Mechelen Leleu

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Abstract


Dissertation
Evolutie van de kieswetgeving voor parlementaire verkiezingen in België van 1893 tot 1914
Authors: ---
Year: 1972

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Keywords


Film
Meer of minder mens, een film over Vercors DVD / August Vermeylen DVD
Authors: ---
Year: 1963 Publisher: Belgique, Films LyDa, Iris Films,

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Abstract

Film 1 "Plus ou moins homme, un film sur Vercors": Portrait de Vercors, né Jean Bruller (1902-1991), dessinateur, illustrateur, écrivain, philosophe et co-fondateur, en 1942 avec Pierre de Lescure, de la maison d'édition clandestine "Les Editions de Minuit", prônant un refus non violent ainsi qu'une défense du patrimoine culturel national. Film 2 "August Vermeylen": Un portrait-hommage à cet humaniste, socialiste et écrivain (1872 - 1945). Il lutta pour une université flamande à Gand, dont il devint le premier recteur. Il a consacré sa vie à l'éveil spirituel flamand. Déjà il donna le conseil: "Soyez flamand pour être européen".

Keywords


Film
Formation du personnel médical
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Fondée en 1926, la FOMULAC (Fondation médicale de l'Université de Louvain au Congo) fut à l'origine des premiers centres de formation pour infirmiers, microscopistes et assistants médicaux congolais. Le premier centre créé dans ce but fut celui de Katana au Kivu, en 1928. Celui de Kalenda au Kasai (1949), évoqué dans ce film, avait pour objectif principal de former des assistants médicaux destinés à devenir de précieux auxiliaires en chirurgie. Les étudiants y suivaient quatre années de cours, puis deux ans de stage, avant d'être répartis entre les hôpitaux de la colonie. L'école de Kalenda se trouvait à proximité d'un hôpital moderne où les étudiants, sous la surveillance d'assistants diplômés et de médecins, acquéraient pratique et expérience. Des écoles pour infirmières avaient également commencé à être créées à l'époque: à Mikalai, des jeunes filles suivaient un programme en quatre ans, en internat. Cette formation, prévue notamment pour pallier le manque d'effectifs dans les maternités congolaises, est également abordée dans la seconde partie du film


Film
Viadana, couvent dominicain
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Ce court métrage documentaire présente la vie quotidienne dans un couvent dominicain «au cœur de la forêt d'Afrique». Il se déroule chronologiquement du réveil des frères au son de cloche jusqu'au soir. Une douce musique donne un ton particulièrement chaleureux et convivial au sujet traité. La journée commence par la toilette, le commentaire du film décrit et nomme les différents attributs vestimentaires des «frères». Puis, il évoque les différentes occupations des jeunes prêtres qui sont, tour à tour, fermiers, menuisiers, maçons, charpentiers, mécaniciens ou tailleurs. Toutes ces activités répondent aux besoins de la communauté, où «le travail ne manque pas». La formation des candidats au sacerdoce dure sept années au cours desquelles ils se forment à la théologie et à la philosophie. Le film présente ensuite une séquence de repas communautaire, qui se passe en silence. La lecture d'un frère rythme le moment de « recueillement et de partage». Les images montrent ensuite les loisirs au cours desquels les prêtres peuvent laisser place à leurs «préférences individuelles», en jouant au volley-ball ou en faisant de la musique, en s'adonnant aussi à l'étude ou aux activités qui leur permettent de reprendre contact avec la nature.Le ton du film est fidèle au sujet qu'il traite. Ainsi, la conclusion du documentaire souligne la morale générale du couvent: «La modestie de chacun souligne la grandeur de la tâche commune».Il faut remarquer que ce film de commande s'attache à faire l'éloge du couvent et de la vie religieuse. Il semble que ce contexte particulier déjoue les hiérarchies raciales qui caractérisent souvent le système colonial. Subsumé par la foi chrétienne, Blancs, Noirs, riches et pauvres semblent vivre dans les mêmes conditions: tel est du moins le discours qui transparaît


Film
Le Jardin du frère Gillet
Authors: --- --- --- ---
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Documentaire sur les jardins de Kisantu, œuvre du missionnaire Justin Gillet. Arrivé au Congo en 1893, il y consacra sa vie à la création d'un jardin botanique, d'un jardin potager et d'un jardin expérimental jusqu'à son décès en 1943. Il introduisit au Congo de nombreuses semences et espèces: bambous géants, teck, plantes aquatiques, orchidées, anthurium, gingembre, mangoustanier, noyer brésilien. Il y fonda également une école d'agriculture. En 1951, dans le prolongement de son travail, fût créée la Coopérative des agriculteurs de Kisantu. De très nombreuses variétés de légumes y étaient cultivées. Destinée à ravitailler les centres extra-coutumiers des villes, de la farine de manioc était en outre produite par la Coopérative. Les grands centres urbains étaient approvisionnés par ce biais également. Ce film a été réalisé dans le cadre de l'Exposition Internationale de Bruxelles en 1958, à la demande de l'Institut national pour l'Étude agronomique au Congo belge (INEAC) qui souhaite, par ce biais, montrer l'étendue et la variété des ses activités sur le terrain


Film
La lèproserie de Yonda
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

À Yonda, près de Coquilhatville, une léproserie fondée par des missionnaires catholiques fonctionnait intensivement vers la fin des années 1950, lorsque fut tourné ce reportage.Il nous montre différents aspects de cette institution, dans laquelle séjournait environ un millier de malades. Ils y demeuraient quelques années, et parfois jusqu'à la fin de leur vie selon qu'ils étaient curables ou non. Plus qu'un dispensaire, Yonda était un «centre agricole d'isolement» et les lépreux, durant leur séjour, y étaient encouragés à poursuivre des activités: ils subvenaient à leur propres besoins en cultivant leurs champs ou en exerçant un métier contre rémunération. Des cours d'alphabétisation étaient aussi proposés. Deux foyers sociaux accueillaient également les femmes, malades ou épouses de malades. Yonda était par ailleurs un centre de recherche médicale et scientifique, où des investigations étaient menées sur la lèpre et les actions concrètes de la bactérie sur les muscles et les autres organes du corps humains. Des soins adaptés étaient également dispensés aux victimes de la lèpre en fonction de l'avancée de la maladie

Keywords

Colonie --- Cinéma --- Sources --- Maladie --- Médecine --- Lèpre --- Santé --- Congo belge


Film
Soeurs congolaises
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

Ce documentaire est consacré à la vie quotidienne d'une communauté de religieuses congolaises. L'action se déroule à la maison de formation des sœurs dominicaines de Sainte-Catherine-de-Sienne, au bord de l'Uele, congrégation fondée en 1941 et qui compte une cinquantaine de membres. Pendant que l'image montre les sœurs qui vaquent aux tâches quotidiennes (nourrir les poules, couper des fleurs, cultiver les champs, puiser de l'eau, faire la lessive, repasser et coudre, dactylographier, aller au marché et préparer le repas traditionnel), une voix off commente l'atmosphère de paix et de sérénité dans laquelle la vie monacale permet de s'épanouir. Outre la prière et les activités quotidiennes liées à la communauté religieuse, les sœurs s'adonnent également à des activités sociales: plusieurs d'entre elles enseignent dans des écoles maternelles et primaires, tandis que d'autres accompagnent et soutiennent les mères villageoises des environs en leur donnant des conseils pratiques sur l'éducation et le ménage


Film
Lovanium
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2012 Publisher: Bruxelles: CUD,

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Abstract

L'université de Lovanium, émanation de l'université catholique de Louvain, a été créée en 1954 sur les hauteurs du mont Amba, près de Léopoldville. Par cet ouvrage, la colonie souhaite «couronner un siècle d'action civilisatrice en matière d'enseignement». En quelques mois, les travaux ont permis la construction de bâtiments imposants prévus pour accueillir quelque cent professeurs et de nombreux élèves issus des deux communautés, belge et congolaise, de même que des auditoires, des chambres d'internat et un restaurant universitaire. Le nombre d'étudiants inscrits accroît chaque année. Ils suivent les cours théoriques avec une grande assiduité et participent activement aux démonstrations pratiques. La bibliothèque qui les accueille est abondamment fournie. Des lieux d'étude aux espaces de détente, tout est prévu pour faire de cette jeunesse, indique le commentaire, la future élite intellectuelle du pays.Présenté à la section du Congo belge et du Ruanda-Urundi de l'Exposition Internationale de Bruxelles en 1958, ce petit film insiste sur la mixité des étudiants de Lovanium : mixité non seulement raciale, puisque «Blancs et Noirs se côtoient comme il se doit», le message vise à un rapprochement des deux communautés, mais également sexuelle puisque les femmes européennes occupent une grande place dans le reportage. Seule la Congolaise reste encore exclue de ce portrait des 'élites de demain'


Film
En cinquante ans

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Abstract

Pour présenter les réalisations de l’œuvre coloniale, le film introduit, comme de coutume, le stéréotype d'un pays figé dans l'immobilisme, l'esclavage et la maladie avec des hommes «venus d'un autre âge». Le premier plan présente, pour l'illustrer des vues d'animaux sauvages : métonymie d'un «continent sans histoire». Ce pays a pu se développer depuis, grâce à la colonisation qui y est apparue il y a un demi-siècle et qui a apporté des techniques modernes et le travail minier.C'est justement pour mettre en évidence ces réalisations que le film a été réalisé à la demande de l'Union Minière du Haut-Katanga. Il s'agit de montrer la richesse de l'organisation sociale mise en œuvre pour le confort, l'assistance et le loisir de ses travailleurs.La réalisation du film semble avoir été minutieusement étudiée, la composition des couleurs, les mises en scène rappellent un parfait film de science-fiction. Peut-être est-ce la condition nécessaire à la construction d'une image glorieuse de l'entreprise coloniale. À ce titre ce film est très beau, les thèmes qu'il aborde sont les mêmes que dans la plupart des films coloniaux: les infrastructures scolaires (enseignement primaire, «pré-professionnel», professionnel, écoles du soir pour adultes), infrastructures médicales (hôpitaux, maternités), d'accompagnement social (jardins d'enfants et orphelinats). Les travailleurs engagés sont également encadrés dans des cités ouvrières conçues à leur intention et par des activités sociales et des loisirs (promenades, réunions familiales, sports).Le film se termine par la fête annuelle de «remise de distinctions honorifiques aux travailleurs méritants », accompagnée d'un défilé tandis que dans un théâtre de verdure, des activités artistiques et le chœur des Petits Chanteurs à la Croix de Cuivre» témoignent de la vitalité culturelle de la région

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