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UCLouvain (10)


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Book
Mise au point d'une technique de cytolyse à médiation cellulaire et relation au système HLA
Authors: --- ---
Year: 1989 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

La réalisation de ce travail nous a permis de mettre au point une technique de mise en évidence de cellules cytotoxiques, à partir d’une quantité minimale de sang (10 ml) et de cellules congelées (5.106 cellules).
Le rôle des cellules cytotoxiques, dans le rejet des greffes est important et leur recherche systématique peut actuellement être faite. De même, l’évaluation de l’efficacité de divers traitement utilisés dans le but d’induire une tolérance spécifique ou non, peut bénéficier de l’utilisation de cette technique. L’influence de la comptabilité HLA sur l’évolution d’une greffe d’organe, et particulièrement d’une greffe médullaire, a été largement démontrée, si la compatibilité sérologique est indispensable, elle ne préserve cependant pas d’un rejet éventuel de la greffe. La culture lymphocytaire est une première évaluation de la réaction cellulaire responsable du rejet, mais la mise en évidence des cellules cytotoxiques est un indice plus précis de la réaction cellulaire responsable du rejet, mais la mise en évidence des cellules cytotoxiques est un indice plus précis de la réaction de rejet. La grande variation des résultats obtenus chez un même sujet vis-à-vis de donneurs différents, mettent en évidence l’hétérogénéité antigénique du système HLA et suggère l’influence d’autres facteurs sur la génération de cellules cytotoxiques


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Mise au point d'une technique de dilution limite permettant l'estimation des précurseurs de lymphocytes T auxillaires. Application en transplantation rénale
Authors: --- ---
Year: 1996 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Le risque de rejet la complication majeure des transplantations de tissus et d’organes. Cette réaction est induite par les lymphocytes T alloréactifs du receveur qui reconnaissent des antigènes d’histocompatibilité différents.
A l’heure actuelle, il n’existe pas de tests permettant d’évaluer de façon certaine les patients susceptibles de faire un rejet. Par ailleurs, l’état de tolérance d’un patient vis-à-vis du greffon qu’il porte est difficilement estimable, étant donné l’administration en continu d’un traitement immunosuppresseur.
Le but de ce mémoire est d’estimer la fréquence serait peut-être en corrélation avec le risque de rejet.
Dans un premier temps, nous avons d’abord effectué la mise au point de la méthode. Pour ce faire, nous avons étudié la sensibilité et la reproductibilité de la technique. Nous avons ensuite établis des valeurs normales grâce à l’estimation des pHTL chez les donneurs sains. Nous avons pu constater que la fréquence est comprises entre 1 / 2.475 et 1/1/6.667 dans la cas de paires « répondantes-stimulantes » ayant des Ag HLA différents, tandis que pour des paires identiques, elle varie de 1/7.123 à 1/333.333. Nous avons également observé que le nombre de pHTL ne variait pas toujours dans le même sens que la MLR.
nous avons ensuite étudié des précurseurs de lymphocytes T auxiliaires au cours du temps ainsi que la culture lymphocytaire mixte chez des patients inclus dans un protocole ayant pour but l’obtention d’une tolérance d’allogreffe rénale par transfusion de sang. Trois groupe de patients furent étudiés : receveurs de transfusions « random » (n=5), des transfusions HLA-DR compatibles (n=4) et de transfusions HLA-DR semi-compatibles (n =4). En ce qui concerne la réponse de la MLR, nous n’avons pas observé de différence entre les 3 groupes puisque les valeurs obtenues diminuaient au décours de la greffe chez l’ensemble des patients. Par contre, pour le suivi de la fréquence des pHTL, nous avons pu constater une différence entre les trois groupes étudiés


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Rôle des lymphocytes B du rat dans la production d'anticoprs thymo-indépendants
Authors: --- ---
Year: 1995 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Chez le rat, la rate est composée de pulpe rouge renfermant essentiellement des globules rouges et de pulpe blanche composée d’une zone marginale et d’une zone folliculaire. Ces deux zones renferment des lymphocytes B caractérisés par des marqueurs membranaires spécifiques. On retrouve au niveau de la zone folliculaire des lymphocytes IgMfaible IgMdfort tandis qu’au niveau de la zone marginale on retrouve des lymphocytes IgMfort IgMdfaible. Ces lymphocytes de la zone marginale pourraient intervenir dans la production d’anticorps thymo-indépendants, principalement d’isotype IgM et IgG2c. dans la pulpe blanche, il existe aussi une zone peuplée de lymphocytes T, autour de l’artériole centrale.
Le but de ce mémoire est de démontrer que la zone marginale de la rate intervient bien dans les réponses immunes aux antigènes thymo-indépendants chez le rat.
Nous avons d’abord étudié la prédominance de certains isotypes d’immunoglobulines par organe lymphoïde en quantifiant le nombre de plasmocytes sécréteurs de différents isotypes au niveau de ces organes. Nous avons alors mis au point un protocole de transfert de lymphocytes de rate ou de ganglions lymphatiques entre animaux d’allotypes différents pour étudier la réponse de ces animaux vis-à-vis d’un antigène thymo-dépendant ou d’un antigène thymo-indépendant. Enfin, nous avons mis au point, à l’aide du MACS, une technique de purification de lymphocytes B de la zone marginale, se basant sur les caractéristiques des immunoglobulines de membrane de ces lymphocytes, afin de prouver leur rôle dans la production d’anticorps thymo-indépendants.
On constate que c’est dans la rate d’un rat normal que l’on retrouve le plus grand nombre de plasmocytes sécréteurs d’IgM alors que, chez un rat immunisé avec un antigène thymo-indépendant, on retrouve des plasmocytes sécréteurs d’anticorps spécifiques d’isotype IgG2c et IgM.
Nous avons observé, qu’après un transfert de lymphocytes provenant d’une rate totale, la zone folliculaire était repeuplée par des lymphocytes IgMfaible IgMdfort et la zone marginale par des lymphocytes IgMfort IgMdfaible. Provenant du donneur. Après transfert de lymphocytes provenant de ganglions lymphatiques, seule la zone folliculaire de la rate était repeuplée par des lymphocytes IgMfaible IgMdfort.
Lors du transfert de lymphocytes de rate, on obtient une réponse aux antigènes thymo-indépendants tandis qu’après transfert de cellules de ganglions mésentériques on n’obtient pas cette réponse ce qui suggère que la zone intervient bien dans la production d’anticorps thymo-indépendants.
nous n’avons malheureusement pas pu étudier la réponse des cellules de la zone marginale vis-à-vis d’un antigène thymo-indépendant car la quantité de lymphocytes récoltée au cours de la purification était trop faible pour obtenir un repeuplement suffisant de la rate.
Afin de confirmer que les lymphocytes B de la zone marginale interviennent dans la production d’anticorps thymo-indépendants, il faudrait pouvoir purifier plus de lymphocytes B de la zone marginale. Un moyen d’y arriver serait toujours d’utiliser la technique du MACS mais avec une colonne de plus gros calibre (SUPER MACS). Une autre possibilité serait d’utiliser la colonne du MACS décrite dans ce mémoire, pour récolter une petite quantité de lymphocytes de la zone marginale que l’on mettrait ensuite en culture afin de les faire proliférer et ensuite d’étudier leur réponse, in vitro, vis-à-vis d’antigènes thymo-dépendants ou thymo-indépendants.


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Effets in vitro d'agents immunosuppresseurs

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Abstract

Une meilleure connaissance de l’efficacité des médicaments immunosuppresseurs utilisés en clinique, peut être utile dans la conduite des traitements. On a donc essayé d’observer in vitro dans des conditions déterminées les effets des immunosuppresseurs (CsA, MP, AZA et OKT3).
Notre étude nous a permis de déterminer dans des tests in vitro la dose de médicaments immunosuppresseurs qui inhibe 50% de l’incorporation de thymidine tritiée mors de la stimulation mitogénique des lymphocytes. Nous avons vérifié si les différentes associations d’immunosuppresseurs, qui ont été testées, montrent une synergie d’action. Seules le couple Cyclosporine A et méthylprednisolone provoque une inhibition significativement plus importante de la prolifération cellulaire en MLR. Ce résultat soutien l’importance de cette association dans le traitement des greffés. L’association de médicaments immunosuppresseurs, tels que CsA, l’AZA ou la MP, est également utilisée lors d’injections d’OKT3 afin de permettre de diminuer la fréquence et l’importance de l’apparition d’anticorps anti-OKT3 (35,38).
Il est à remarquer que ces tests mesurent l’effet des produits purs, et non ceux agissant réellement in vivo, valable surtout pout l’Azathioipine.
Il serait peut-être utile d’étendre cette étude en utilisant les sera des patients traités, et d’établir une corrélation entre l’effet immunosuppresseurs obtenu in vitro, et les concentrations sériques des divers métabolites des produits. Une comparaison de ces résultats à ceux avec les produits purs, permettrait d’évaluer l’influence du métabolisme.
Pour mettre en évidence l’activité, in vitro, inhibitrice des anticorps monoclonaux anti-CD3, il nous a fallu notamment dépléter en monocytes les cellules utilisées dans les tests de transformation lymphoblastique. En l’absence de monocytes, tant l’anticorps monoclonal OKT3 que le T3 inhibent la prolifération cellulaire par la phytohémagglutinine. Ces résultats confirment une des hypothèses du mécanisme d’action des anticorps anti-CD3, selon laquelle ces anticorps induiraient un état de « non réponse » des lymphocytes T en l’absence d’un second signal délivré par les monocytes.
Les lymphocytes T doivent, pour être activés, reconnaître un antigène étranger via leurs récepteurs cellulaire T. Ce récepteur est associé avec un complexe de protéines de surface dénommé CD3. Les anticorps anti-CD3 induiraient une comodualtion sélective de la surface cellulaire des récepteurs T et des antigènes CD3. Cette comodualtion des complexes récepteur T/CD3 par les anticorps anti-CD3 pourrait expliquer en partie l’efficacité des ses anticorps monoclonaux dans le traitement des crises de rejet aigu en transplantation rénale. Après avoir mis en évidence la modulation de l’antigène CD3 par l’OKT3 et le t3, il serait intéressant d’analyser le rapport entre la modulation observée et les modifications de comportement cellulaire au sein de la réponse immunitaire qu’elle engendre.


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Inhibition chez le rat LOU/C adulte de la maturation des lymphocytes B par l'administration in vivo d'un anticorps monoclonal anti-IgM : utilisation potentielle en xénogreffe discordante

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Abstract

En transplantation humaine, l’utilisation d’immunosuppresseurs tels que la cyclosporine A ou plus récemment le FK506, a permis une augmentation significative du taux de réussite des allogreffes. Ces succès ont favorisés l’accroissement et la diversification des allogreffes au point que, actuellement, le facteur limitant n’est plus la difficulté de l’acte technique ou le traitement immunosuppresseurs, mais bien la disponibilité d’organes (Hardy et coll., 1984). En effet, actuellement la demande d’organes dépasse largement l’offre et face à ce déficit croissant, une alternative potentielle est apparue : la réalisation des xénogreffes, c’est-à-dire l’utilisation d’organes provenant d’une espèce différente de celle du receveur. Le domaine des xénogreffes suscite un vif intérêt dans de nombreuses équipes des Cliniques universitaires Saint-Luc et de la Faculté de médecine de l’UCL dont le Laboratoire d’immunologie expérimentale du Prof. H. Bazin. Au sein de ce laboratoire, nous nous sommes proposé d’étudier les mécanismes immunologiques pouvant expliquer le rejet des xénogreffes discordantes.


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Immunological monitoring after organ transplantation : general overview and potential role of soluble CD30 blood level measurement
Authors: --- --- ---
Year: 2005 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

The aim of this work is to review the definitions of tolerance, the current knowledge regarding its immunological mechanisms, and the candidate assays proposed for immunological monitoring of alloreactivity in clinical liver transplantation. When compared to other solid-organ transplant, liver allografts are considered as immunologically privileged, and, accordingly, constitute a favourable setting to develop experimental as well as clinical strategies for minimization of immunosuppression and even induction of operational tolerance. However, the ways of investigation to achieve these latter aims are controversial, considering the redundancy of rejection pathways and the diversity of immunological mechanisms described in experimental models of tolerance. In contrast to research in rodents claiming the development of donor-specific tolerance in case of graft survivals of over 100 days, it is impractical to confirm tolerance assays in the clinic, such markers are still not validated in human transplantation. Encouraging venues of research include the detection of early post-transplant immune deviation, of circulating precursors of dendritic cells subtypes, and of circulating clinical liver transplantation is also proposed


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La détermination des variants D du système Rh
Authors: --- ---
Year: 2006 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Les groupes sanguins érythrocytaires représentent des antigènes présents à la surface des globules rouges. Leur transmission est génétique. Ils sont reconnus par des anticorps spécifiques. La détection de ces antigènes et des anticorps correspondants détermine les règles de comptabilité transfusionnelle et le suivi immuno hématologique de la femme enceinte.
Le premier système de groupe sanguin découvert, le système ABO, le fut en 1900 par Karl Landsteiner. Il s’agit d’un groupe tissulaire. Vinrent ensuite les systèmes MNS et P1. D’autres antigènes seront ensuite découverts au fil du temps. Actuellement, on compte environ 2700 antigènes érythrocytaires regroupés en 29 systèmes.
La majorité des antigènes de groupes sanguins sont synthétisés par la cellule érythroïde. D’autres sont absorbés à la surface des hématies à partir du plasma : c’est le cas des systèmes Le et CH/RG.
L’antigène P est bien développé à la naissance. Il sert de récepteur à certaines bactéries comme E Coli.
Il faut tenir compte du polymorphisme des groupes sanguins érythrocytaires et du risque d’alloimmunisation humaine dans la transfusion, la grossesse et, pour certains d’entre eux, la transplantation. Le formation d’auto anticorps contre ces antigènes spécifiques entraîne parfois des anémies hémolytiques auto-immunes.
Le système Rh est d’une importance capitale en transfusion ou pendant la grossesse. C’est la première cause d’immunisation par transfusion ou par grossesse.
L’immunogénicité liée à ce système est très importante. Selon l’âge et le statut immunitaire, certains sujets Rh- développent des anticorps anti-Rh dans les 6 moins après transfusion avec du sang Rh+. Il est donc nécessaire avant toute transfusion de faire un typage du groupe Rh.
Exceptionnellement, transfuser des sujets Rh- avec du sang Rh+ peut se faire, mais uniquement, pour des hommes ou des femmes qui ne sont plus en âge de procréer : par exemple en cas de manque de sang Rh- ou transfusion massive à des personnes âgées. Dans ce cas une Recherche d’Anticorps Irréguliers (RAI) devra être faite avant et dans les 6 mois suivant la tranfusion.
L’allo immunisation peut aussi survenir en cas d’incompatibilité fœto-maternelle. Il peut s’en suive une maladie hémolytique du nouveau-né lors de grossesse ultérieures (MHNN). Il faut éviter l’immunisation de femmes en âge de procréer en les transfusant toujours avec du sang iso-phénotypé (Rh et Kell)


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Greffes de cellules souches hématopoïétiques : étude rétrospective des indicateurs qualité cliniques et biologiques
Authors: --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

Les greffes de cellules souches hématopoïétiques sont effectuées depuis plusieurs dizaines d'années au sein des Cliniques Universitaires Saint-Luc. La qualité des soins prodigués a permis l'octroi d'une accréditation JAClE (Joint Accreditation committee - ISCT& EBMT) en 2009 et en 2013. Suite à cette accréd itation, une analyse des indicateurs qualité proposés par les Cliniques s'est avérée intéressante afin de permettre une évaluation des soins administrés aux patients.Le programme d'accréditation JACIE est un système de contrôle qualité qui vise à conférer aux patients candidats à une greffe de cellules souches hématopoïétiques une qualité de soins optimale en ce qui concerne la prise en charge du patient ainsi qu'au niveau de la préparation et de la prise en charge du greffon. Ce travail en amont de la greffe consiste en la collecte et la préparation des cellules souches avant la transplantation au patient, dans le respect des critères de qualité prédéfinis. Ces différents aspects nécessitent une grande collaboration des différentes parties.Suite à cette accréditation, une étude rétrospective des indicateurs qualité utilisés afin d'évaluer le processus de greffe a été imaginée, et ce afin de faire le point sur différents aspects cliniques et biologiques liés à une greffe de cellules souches hématopoïétiques.Cette étude comparera les données de Saint-Luc avec les données publiées par l'EBMT (European Group for Blood and Marrow Transplantation) ainsi que d'autres publications de la littérature et permettra, d 'une certaine manière, d'évaluer la qualité des soins prodigués aux patients. De plus, les résultats obtenus permettront d'éventuellement définir de nouveaux indicateurs qualité qui pourront être pris en considération dans l'avenir, toujours dans le but d'améliorer la qualité de soin des patients. Hematopoietic stem cell transplantations are since several years currently performed in Saint-Luc hospital. The quality of care allowed the hospital to get a JACIE (Joint Accreditation committee - ISCT & EBMT) accreditation in 2009 and 2013. Thank to this accreditation, a review of the quality indicators established by the hospital seemed to be interesting in regard to evaluate the care which are given to the patients.JACIE accreditation program is a quality control system which aim is to offer the best quality of care to the patient candidate to a hematopoietic stem cell transplantation. This quality concems the patient but also the preparation of the graft. This upstream work consist in collection and preparation of stem cells before transplanting them to the patient , in regard of the respect of predeterminated quality criteria. These differents aspects require a huge collaboration between the differents parts.In regard to this accreditation, a retrospective study conceming quality indicators evaluating the graft process were thought, to evaluate different clinicat and biological aspects linked to hematopoietic stem cell transplantation .This study will compare data coming for Saint-Luc hospital with data published by the EBMT (European Group for Blood and Marrow Transplantation), but also with other publications and will allowed to evaluate the quality of care given to the patients. Moreover, the results obtained will allow to define new quality indicators which could possibly be taken into account in the future, always with the aim of improving the quality of care given to the patients.


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Etude des effets, in vivo et in vitro, des anticorps monoclonaux LO-CD2-a, sur les différentes populations de lymphocytes T et sur les cellules NK

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Abstract

Depuis déjà longtemps, les transplantations d’organes entre individus d’une même espèce ont permis de guérir de nombreux patients présentant des pathologies telles, qu’ils s’agissait du dernier acte thérapeutique envisageable.
Malgré les fantastiques progrès réalisés en ce domaine, tous les problèmes ne sont pas encore solutionnés et dans certains cas, la greffe est rejetée.
Nous assistons néanmoins aujourd’hui à une demande si importante d’organes sains, qu’un état de pénurie se fait durement ressentir, limitant les chances de guérisons voire de survie des patients. Cette situation conduit la recherche à envisager un autre type de greffe : la greffe entre individus d’espèces différentes. Outre les inévitables problèmes éthiques qu’elle pose, il est à espérer qu’un jour cette thérapeutique pourra être appliquée avec succès.
La tolérance d’une greffe dépend essentiellement de l’histocompatibilité existant entre le donneur et le receveur.
celle-ci est définie génétiquement par le complexe majeur d’histocompatibilité (CMH), représenté chez l’homme par le système HLA.
Toutefois, d’autres systèmes peuvent jouer un rôle non négligeable dans l’apparition du rejet, tels sont, le système d’antigènes érythrocytaires ABO et les antigènes mineurs d’histocompatibilité.
De manière générale, il existe 4 types de greffes :
- L’autogreffe ; le greffon est prélevé et transplanté chez un même individu.
- La greffe syngénique ; le donneur et le receveur sont génétiquement identiques (jumeaux homozygotes).
- L’allogreffe ; le donneur et le receveur sont génétiquement différents, mais appartiennent à la même espèce.
- La xénogreffe ; le donneur et le receveur sont génétiquement différents et appartiennent à des espèces différentes.
De ces 4 types de greffes, l’allogreffe est la plus pratiquée, ne serait-ce que par le biais de la transfusion sanguine.
Le succès à long terme dépend de la création d’un état de tolérance immunologique prolongé qui nécessite une connaissance des mécanismes du rejet et la recherche de moyens de le prévenir.
Les réussites actuelles ne sont obtenues que grâce à l’administration continue d’une immunosuppression non spécifique dont les complications immédiates (infectieuses et hématologiques) et retardées (risque carcinogène) ne sont pas négligeables.
Parmi les méthodes immunosuppressives, la sérothérapie faisant appel à des sérums polyclonaux de cheval ou le lapin contenant des anticorps contre les lymphocytes humains , est utilisée avec succès depuis deux décennies dans le traitement et la prévention du rejet d’allogreffes.
L’apparition des anticorps monoclonaux a permis une autre approche du traitement immunosuppresseur. Ces anticorps, par leur capacité de reconnaissance spécifique d’un déterminant antigénique préalablement choisi des cellules lymphocytaires immunocompétentes, permettent d’espérer une efficacité mieux ciblée et une réduction des effets secondaires observés avec les sérums polyclonaux.
Actuellement, un seul anticorps monoclonal est utilisé dans le traitement des rejets de greffes, il s’agit d’un anticorps de souris anti CD3 humain, appelé OKT3. Malheureusement, des effets secondaires peuvent survenir lors de son utilisation, tel qu’un choc anaphylactique, des complications infectieuses majeures et le développement de lymphomes.
Dans des études thérapeutiques en transplantation, d’autres anticorps monoclonaux ont également été utilisés.
Au sein de notre Laboratoire d’immunologie expérimentale, le LO-TACT-1, un anticorps de rat récepteur de l’interleukine 2 (IL-2) humaines, a été produit et testé in vitro et in vivo.
la synthèse de l’IL-2, facteur de croissance des lymphocytes T, ainsi que l’expression de son récepteur membranaire (IL-2R), sont deux éléments fondamentaux impliqués dans le phénomène du rejet de greffes. D’autres anticorps monoclonaux, capables d’inhiber in vitro des cultures lymphocytaires mixtes humaines ont été produits par notre laboratoire.
Au cours de ce travail, nous avons étudié l’anticorps monoclonal LO-CD2-a, IgG2b-Kappa-1a de rat dirigé contre l’antigène de différenciation CD2 humain. La molécule CD2 est exprimée à la surface de tous les lymphocytes circulants, de la plupart des thymocytes et sur presque toutes les cellules « Natural killer ».
La première étape de caractérisation in vitro a déjà montré que cet anticorps est un puissant immunosuppresseur de réactions mixtes lymphocytaires, modèle d’une réactions mixtes lymphocytaires, modèle d’une réaction de rejet.
Notre travail consistera donc à effectuer une série d’expériences, visant à mieux comprendre les mécanismes d’action de cet anticorps monoclonal, aussi bien ion vitro que in vivo


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Les interleukines 6 et 10 et l'infection à EVB en transplantation hépatique pédiatrique

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Abstract

Aims. To investigate the role of interleukins 6 and 10 in primary EBV infection, and their predictive role in the development of post-transplant lymphoproliferative disease (PTLD) in pediatric orthotopic liver transplantation (OLT).
Patients and methods. Among 45 children who underwent OLT between 1998 and 2001 at Saint-Luc University Clinics, 12 children with primary EBV infection post-OLT were included. Patients were divided into two groups according to the evolution of primary EBV infection : group I (primary EBV infection without PTLD, n=6), and group II (primary EBV infection with PTLD, n=6). Median patient age was 1.5 years (range: 0.4 – 5.6) at the time of OLT. All children were regularly followed for clinical, biochemical and virological assessement. IL-6 and human IL-10 were measured in plasma by using the “sandwich” enzyme-linked immunoadsorbent assay (ELISA).
Results. Mean delay or primary EBV infection following OLT was 5,2 ± 1,1 weeks in group I, and 4,7 ± 0,6 weeks in group II (NS). PTLD occurred at 17,4 ± 18,2 weeks after OLT. Primary EBV infection was asymptomatic in all children. In group II, five (83.3%) children developed PTLSD with fever, three (50.0%) with tonsillitis, and one (16.7%) with stridor. Regarding the immunological assessement, IL-6 and IL-10 were detected in all patients during primary EBV infection and were correlated with the evolution of the patient’s cellular immunity and the viral load, respectively. The IL-6 and IL-10 serum levels did not differ significantly between the two groups at different time points of follow-up. In addition, the IL-6 and IL-10 levels in group II increased at the time of primary EBV infection, fluctuated after this infection, reaching a peak at the time of PTLD.
Conclusions. The presence of Il-6 was not specific for primary EBV infection in pediatric OLT. The increase of IL-10 following primary EBV infection might predict the development of PTLD. Further prospective studies are required to explore the role of IL-10 in the pathogenesis of PTLD Objectifs. Cette étude a été réalisée afin d’étudier l’évolution des interleukines (IL) 6 et 10 dans la primo-infection à EBV chez l’enfant transplanté hépatique, ainsi que leur rôle prédictif dans le développement d’un syndrome lymphoproliphératif (PTLD) associé à l’EBV chez ses enfants.
Patients et méthodes. Parmi 45 enfants transplantés hépatiques de 1998 à 2001 à Saint-Luc, douze enfants avec primo-infection à EBV post-transplantation ont été inclus. Les patients ont été divisés en deux groupes en fonction de l’évolution après la primo-infection à EBV : groupe I (primo-infection à EBV sans développement d’un syndrome lymphoprolifératif, n=6), et groupe II (primo-infection à EBV avec développement d’un syndrome lymphoprolifératif, n=6). L’âge médian des receveurs est de 1,5 ans (range : 0,4 – 5,6) au moment de la transplantation. Tous les patients ont été suivis régulièrement pour examen clinique, biochimie et virologie. Le dosage d’IL-6 et d’IL-10 humaine a été réalisé en utilisant la technique d’ELISA « sandwich ».
Résultats. Le délai moyen de la primo-infection est de 5,2 ± 1,1 semaines pour le groupe I, et de 4,7 ± 0,6 semaines pour le groupe II après la greffe (NS). Le PTLD est survenu après un délai moyen de 17,4 ± 18,2 semaines post-transplantation. La primo-infection est asymptomatique chez tous les patients. Dans le groupe II, les PTLD se manifestent cliniquement par une fièvre inexpliquée chez cinq (83,3%), angine chez trois (50,0%), et stridor chez un (16,7%) patients. Concernant le suivi immunologique, l’IL-6 et l’IL-10 sériques sont détectables dans les deux groupes pendant la primo-infection, en relation avec l’évolution de l’immunité cellulaire et de la charge virale, respectivement. La différence de concentrations d’IL-6 et d’IL-10 entre les 2 groupes n’est pas statistiquement significative à différents moments du suivi. Dans le groupe II, la concentration d’IL-6 et d’IL-10 est élevée au moment de la primo-infection, fluctuante durant les semaines suivant la primo-infection, et atteint un pic au moment du PTLD.
Conclusions. L’élévation de l’IL-6 n’est pas spécifique de la primo-infection à EBV en transplantation hépatique. La réaugmentation de l’IL-10 après la primo-infection EBV pourrait prédire l’évolution vers le PTLD. Des études prospectives seront nécessaires pour mettre en évidence son rôle dans le développement d’un PTLD

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