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ULB (5)


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film (5)


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French (4)

Undetermined (1)


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2015 (1)

2013 (1)

2012 (1)

2011 (1)

2006 (1)

Listing 1 - 5 of 5
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Film
Au nom du fils DVD
Authors: ---
Year: 2012 Publisher: Belgique, France, Yoni Productions, Hands Up,

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Abstract

Elisabeth est une catholique convaincue. Mère de famille et épouse aimante, elle met sa foi au service des autres en animant sur Radio espoir chrétien une émission de dialogue pour auditeurs en perte de repères. A la demande du diocèse, elle accueille chez elle le Père Achille qui fera dorénavant partie de la famille. Ce qu'elle croit être une vie idyllique va très vite tourner au cauchemar. Son mari meurt d'un accident de chasse lors d'un exercice d'entrainement d'un genre assez particulier et elle découvre que son fils de 14 ans est victime du Père Achille. Confrontée de plein fouet à la réalité de la vie mais surtout au silence et au déni de l'Eglise, elle perd tout sens de la charité chrétienne. Adoptant la loi du Talion, oeil pour oeil, dent pour dent, elle se lance dans une folle croisade vengeresse...

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Film
Strass
Authors: ---
Year: 2006 Publisher: [Paris] : Wild Side Video,

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Abstract

Une équipe de cinéma débarque au Conservatoire dans l'intention de réaliser un documentaire sur la classe de Pierre, un professeur de théâtre qui a développé une méthode de pédagogie ouverte qui fait la fierté de l'école. Pierre est un professeur à la personnalité marquée et aux méthodes plutôt particulières. Il travaille au départ des émotions et des réactions de ses élèves, il s'implique également très fort, constamment aux frontières de l'hystérie. L'équipe suit les leçons, fait des interviews mais filme aussi les dérapages de la méthode ou du professeur, les tensions et les conflits que ne manquent pas de susciter les techniques développées par Pierre, auprès de ses élèves, mais aussi de ses collègues. Devenue en quelque sorte participante du "psychodrame" orchestré par Pierre, quel rôle joue exactement l'équipe du tournage? Sa démarche "documentaire" ne suscite-t-elle pas finalement plus de questions qu'elle n'apporte de réponses?...

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Film
Vampires
Authors: --- ---
Year: 2013 Publisher: [France] : Actes Belges,

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Abstract

Une chaîne de télévision est contactée par une communauté de vampires belges pour suivre certains de leurs représentants. Après quelques essais manqués, qui coûtent la vie aux reporters envoyés sur place, une petite équipe parvient à pénétrer le quotidien de la famille de George Saint-Germain, qui vit avec sa femme Bertha, son fils Samson et sa fille Grace. L’équipe va ainsi découvrir au fur et à mesure les us et coutumes des vampires, faire connaissance avec la « viande » qui vit chez eux, ainsi qu’avec un couple de vampire sans enfants qui vit à la cave. Une plongée sans œillères, qui montre le fonctionnement de la société des vampires belges et va nous entraîner jusqu’à Londres et au Canada. Voilà un véritable OVNI en la matière. Filmé sans renfort de gros effets ni moyen, on se prend très vite à regarder le documentaire de Vincent Lannoo comme un épisode inconnu de Strip-Tease. Si tous les acteurs ne jouent pas parfaitement (certains surjouent un peu), force est d’avouer que l’ensemble a tout de la tranche de vie filmée de manière objective, et présente une galerie de personnages aussi surprenants que variés. Le film propose par ailleurs des scènes jouissives, comme ce cours de morsure, ou encore cette rencontre avec le maître de tous les vampires à Londres. Le réalisateur a réussi à imiter au mieux le rythme du documentaire, injectant ce qu’il faut de lenteur, de scènes plus lentes ou à l’énergie brève et débordante, qui lui permettent d’atteindre le but recherché. On nous introduit donc un chef de famille vampire qui essaie tant bien que mal de faire bonne figure, entre une fille en pleine crise d’adolescence qui rêve de redevenir humaine (et essaie régulièrement d’attenter à ses nuits), une femme soumise mais au caractère bien trempé qui ne comprend plus sa fille, et un fils insouciant qui n’en fait qu’à sa tête, au mépris des conventions. Au niveau vampirique, l’ensemble est très riche, et présente en fin de compte une société aussi codifiée que proche des codes posés par le Dracula de Bram Stoker. Les vampires sont ici des non-morts qui vivent la nuit (ils se disent « bonne nuit » au lieu de « bonjour »), et dorment les journées dans des cercueils. Ils craignent l’ail et les symboles religieux, ainsi que la lumière du soleil. Ils se nourrissent de sang humain et n’hésitent pas à garder chez eux de quoi subvenir à leur repas. Ils vont même jusqu’à sous-entendre que leurs proies leurs sont « offertes » par l’Etat, qui ramasse même les cadavres une fois par semaine. Les relations entre vampires sont gérées par un code établi par Dracula lui-même, qui a une emprise forte sur leurs décisions. Petit détail intéressant aussi, le besoin de cercueil a donné des idées à certains humains qui ont mis en place un business juteux avec les vampires, uniques clients à avoir besoin plusieurs fois de leurs services. Pour le reste, toutes les communautés de vampires ne vivent pas de la même façon. Les vampires belges semblent ainsi vivre dans l’oisiveté, tandis que les vampires québecois travaillent. Au final énormément de clins d’œil et de détails savoureux sauront être appréciés par les amateurs du genre, envers qui ce faux-documentaire pourrait faire figure d’hommage. Un film de vampires complètement à part, qui présente une famille de vampires aux personnalités variées mais attachantes, et qui sait autant s’approprier les codes classiques que proposer des ajouts judicieux. Bref une belle réussite.

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Film
Little Glory
Authors: --- --- --- ---
Year: 2011 Publisher: [Belgique] : Artemis Productions,

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Abstract

Shawn (19 ans), un jeune oisif largué depuis la mort de sa mère, vit avec sa sœur Julie (7 ans) et son paternel imprévisible et volontiers violent. Quelques vols et autres bêtises avec son pote Matt lui permettent de remplir ses courtes journées. Mais quand le père tombe saoul d’un échafaudage, Shawn se retrouve orphelin et sans le sou. Sa tante réclame la garde de la petite Julie sans même en parler au grand frère qui n’inspire confiance à personne sauf à son chien, Richard. Touché dans son orgueil, Shawn décide de s’occuper de sa sœur qu’il connaît finalement assez peu. Mais le jeu en vaut la chandelle: à la clé, il y a de l’argent, beaucoup. Assez pour consacrer tout son temps à sa Playstation chérie sans se préoccuper d’autre chose. Il se révèle hélas bien plus compliqué de prendre soin d’une fillette que de passer les niveaux de jeux vidéo. La partie n’est pas gagnée, ni pour Shawn, ni pour Julie… Shawn, Matt? On n’a pas l’impression d’être du côté de Wépion ou de Quévy. Avec Little Glory, Vincent Lannoo nous emmène en fait dans le Michigan. Avec des acteurs anglo-saxons. Un univers de film indépendant façon Sundance. Sauf qu’une bonne part de ce drame a bien été tournée en Wallonie. Ha! La magie du cinéma! Vincent Lannoo n’est pas un nouveau venu dans le sérail des réalisateurs belges. Little Glory est déjà son troisième long métrage. En fait, le grand Vincent est un peu le Michael Winterbottom belge, un cinéaste caméléon capable d’aborder à chaque long métrage un registre différent. A son palmarès: Strass, Vampires (prix du jury au BIFFF), Little Glory, donc, et le tout récent Au Nom du Fils qu’il vient de terminer. Chacun évolue sur ses propres terres, selon ses propres codes. Un film, un univers, un genre aussi. Qu’on ne s’y trompe pas: Vincent Lannoo est un surdoué. Hyper sympathique en plus, ce qui ne gâche rien. Dans Little Glory, chaque plan, chaque séquence, chaque note de musique, chaque chanson respirent l’admiration que le réalisateur voue à type de long métrage qu’on estampillerait volontiers « Sundance ». Il en maîtrise les codes, les climats, le rythme également. Son film a tous les atouts pour séduire ceux qui ont aimé Winter’s Bone, par exemple. Ceux qui se repaissent d’un cinéma américain qui épouse au plus près la trajectoire de personnages chamboulés par la vie et qui se débattent ou s’abandonnent selon les circonstances et l’humeur. Son grand atout pour attirer le public? La présence du magnétique Cameron Bright (dans les bras du réalisateur au festival de Rome), qui, les demoiselles s’en souviennent sûrement, incarne Alec dans Twilight. Avant son rôle dans la saga vampires que, Cameron a presté dans X-Men 3 de Brett Ratner. Il y campait le mutant Leech. Il était aussi à l’affiche de l’excellent Thank You For Smoking, le pamphlet de Jason Reitman nominé aux Golden Globes. Cameron y jouait le fils d’Aaron Eckhart. Dans le thriller de Wayne Kramer, Running Scared, il épaulait Paul Walker et dans l’étrange Birth, on le voyait aux prises avec une Nicole Kidman au bord de la crise de mère. Sa performance dans ce thriller flippant lui permit d’ailleurs de remporter le Broadcast Critics Choice Award for Best Young Actor. Les films d’horreur avec enfant problématique semblent une bénédiction pour la jeune star qui figure au générique de Godsend grâce auquel il croise Robert DeNiro et Greg Kinnear. Joli palmarès, non? Parmi les récents longs métrages de Cameron on note, outre Little Glory, Walled In, Normal et An American Affair. Preuve que le jeune homme a de vraies ambitions cinématographiques. Avouez qu’on ne trouve pas tous les jours dans un drame social belge des acteurs américains avec ce pedigree. Lors du Be Film festival, Little Glory fut présenté pour la première fois aux spectateurs belges, devant une salle comble. L’occasion de rencontrer une belle équipe hétéroclite, mais soudée. Aux côtés de Vincent Lannoo, exubérant et rigolard, comme à son habitude, son producteur John Engels qui l’a accompagné dans cette folle entreprise et quatre de ses comédiens (de gauche à droite): Martin Swabey (« on retournera ensemble, c’est certain »), la délicieuse Astrid Whettnall (« je cherchais une actrice, j’ai trouvé un chef-d’œuvre ») Hannah Murray (« la seule personne devant laquelle je suis complexé de parler en anglais ») et la petite Isabella Blake-Thomas qu’il prend dans ses bras quand émue et impressionnée par le nombreux public, elle fond en larmes. Film étonnant, car inclassable dans l’univers il est vrai très hétérogène du cinéma belge, Little Glory ouvre les portes d’une coproduction totalement atypique puisqu’à l’origine le scénario se déroulait en Wallonie. Ce qui montre son universalité.

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Film
Les âmes de papier
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2015 Publisher: [France] : Filmedia,

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Abstract

Paul exerce un drôle de métier, il écrit des oraisons funèbres. Victor, son ami et voisin, ne sait plus comment s’y prendre pour le sortir de sa solitude. Un jour, Emma, une jeune veuve, fait à Paul une demande inédite: raconter son mari disparu à son fils de 8 ans. Mais, alors qu’une idylle se noue entre Paul et Emma, les fantômes du passé ressurgissent… Une histoire d’amour… et de revenants! Sans faire beaucoup de bruit, et sans que le grand public ne soit nécessairement au courant, Stéphane Guillon est un acteur confirmé, ce nouveau métrage en étant la preuve. Dans "Les Âmes de Papier", son seizième film, il incarne un romancier, reconverti en auteur d’oraisons funèbres, qui semble préférer les défunts dont il parle que les personnes qu’il côtoie. Mais lui se contente largement de sa situation, jusqu’au jour où la belle Emma, veuve dont le fils ne se remet pas du décès de son père, entre dans sa vie. Et dès les premiers instants, la magie d’un coup de foudre semble opérer sur ces deux tourtereaux. Mais nécessité scénaristique oblige, les évènements ne vont pas se dérouler comme prévus… Comédie douce-amère sur le thème du deuil, lorgnant très clairement du côté de Woody Allen, "Les Âmes de Papier" bénéficie d’une originalité indéniable, en particulier par le mélange des genres qu’il nous offre. En effet, en injectant plusieurs doses de fantastique dans cette comédie romantique, le métrage part dans des contrées surnaturelles inattendues, transformant le vaudeville en conte de Noël. Si la plupart des ressorts et des enjeux sont attendus, le charme qui se dégage de la pellicule et l’alchimie entre les comédiens emportent nos réserves, nous permettant de profiter pleinement de ce « petit film sans prétention ». Et si on attendait des étincelles entre Stéphane Guillon et Julie Gayet, c’est plus la relation Guillon-Richard qui fait mouche, la complicité du duo amenant ce vent de folie nécessaire. On peut néanmoins regretter une mise en scène aux abonnés absents, et qui plombe quelque peu le résultat final, et l’absence de maîtrise de la part du metteur en scène dans l’hybridation de ses nuances narratives. En effet, ce mélange des genres bancal est à limite de tomber dans le pot-pourri fourre-tout au fur et à mesure que l’on avance dans l’intrigue. Mais en se préservant de tomber dans le pathos, le film dégage une certaine émotion et un sentiment de sincérité libérateur. Car si l’humour noir n’est pas des plus incisifs, le métrage parvient tout de même à développer une atmosphère mystique où le pouvoir des mots et de l’imaginaire occupe une place centrale, le tout en nous offrant des moments de pure cocasserie jouissifs. La tâche n’était pas aisée, le trajet est parfois désagréable, mais la mission est bien accomplie!

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