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La pensée néo-libérale dominante à la fin du 20ème siècle et le développement de l’Union européenne ont conduit à une libéralisation progressive des marchés. Les Etats ont dû s’adapter à cette nouvelle configuration. Ils sont ainsi passés d’une structure administrative à une structure de type commercial. Une des conséquences est la création d’un nouveau statut juridique, celui d’entreprise publique autonome. Par ailleurs, le financement de ces structures s’est progressivement fait par émission d’actions, voire parfois même par cotation boursière. En outre, ces nouvelles structures gagnent en autonomie dans la pratique de leurs activités commerciales. Ce qui implique que les activités de service public soient encadrées, afin d’être certain qu’elles ne soient pas délaissées. A cette fin un nouvel instrument juridique, le contrat de gestion, est créé. On constate un rapprochement important des pratiques du secteur public et du secteur privé. Ce travail se concentre plus particulièrement sur la question des rémunérations des dirigeants. Il est d’abord essentiel de souligner la différence de structure entre les actionnariats européens et nord-américains. Ces structures occasionnent divers problèmes, le premier d’entre eux, surtout en lien avec les théories de la rémunération, est celui du lien principal-agent. Il s’agit d’assurer aux propriétaires la fidélité des dirigeants. La place de la rémunération comme élément incitateur dans cette relation est importante. A ce sujet, différentes théories se développent, comme par exemple celle du travail « d’équipe » à l’opposé de celle du tournoi. Le choix entre l’une ou l’autre dépend de nombreux facteurs. Un certain encadrement des pratiques de rémunérations est apparu. Il vise notamment à l’information des actionnaires et du public quant aux politiques rémunératoires. Ces lignes directrices ont d’abord principalement relevé de la soft law et des codes de bonne gouvernance. Ceux-ci n’ont cependant trouvé de force légale que dans la mesure où le législateur les a incorporés dans son propre ordre juridique, comme c’est le cas en matière de rémunération par le biais de la loi du 6 avril 2010 sur le gouvernement d’entreprise, ou que les entreprises, elles-mêmes, les ont insérés dans leurs statuts. La loi du 6 avril 2010 vise à réglementer la composition des rémunérations, principalement leur aspect variable, leur publicité et le montant des indemnités de départ. Elle instaure pour ce faire les comités de rémunération. Cependant, cette loi tient à peine compte de la spécificité du secteur public et du débat soulevé quant au caractère apparemment excessif des rémunérations de ses dirigeants. Des évolutions sont encore à attendre dans ce domaine.
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For several years now, the financing system of the European Union budget has often been criticised for its complexity, opacity and lack of equity. Following the BREXIT, the budget will suffer a fiscal deficit of 10 billion euro. Several questions on the future of the European Union are being raised. Indeed, how such a deficit will be covered? As part of this research, the birth and then the evolution of the European Communities and their budgets is explained as well as the creation of the European Union and the European budget. Afterwards, an overview of how the European budget is adopted and the different budgetary procedures provided with analysis of the various budgetary principles governing the establishment and implementation of the European budget. Once this phase of analysis is completed, the research focuses on the question of how to finance the European budget and how it works, including the presentation of the seven decisions of the European Council on the system of the European Communities' own resources. Lastly, a study on the existing resources is established as well as an analysis on the current system with regard of various criteria, as, the adequacy of the resource, the equity, the financial autonomy, the transparency, the simplicity and the efficiency.
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En 2008, la crise financière mondiale a mis en exergue les limites des modèles économiques classiques. Une autre façon d’envisager l’économie semble désormais nécessaire. En Belgique, des entreprises cherchent depuis des années à allier « économique » et « social ». Il s’agit des entreprises d’économie sociale. Les mutualités participent à ce modèle d’économie. Maillons du système de sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les principaux interlocuteurs des citoyens en matière de soins de santé. Pourtant elles seraient également menacées. L’objectif de ce travail est de mieux comprendre une de ces mutualités, la Mutualité Solidaris Liège, en tant qu’entreprise d’économie sociale (EES) et de déterminer si cette Mutualité est effectivement une EES. Dans cet objectif, nous avons confronté les quatre principes de l’économie sociale (finalité de services, autonomie de gestion, processus de décision démocratique et primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus) au terrain mutuelliste liégeois. Nous avons ainsi dégagé les pratiques d’économie sociale à l’œuvre au sein de Solidaris Liège. Nous avons également interrogé le motif et l’effet attendu des pratiques identifiées. Pour ce faire, nous avons mené des entretiens semi-directifs avec dix responsables de la Mutualité Solidaris Liège. Pour analyser les entretiens, nous avons élaboré, pour chaque principe, une grille avec comme unités d’analyse : la pratique, le motif et l’effet attendu. Nous avons codé chaque entretien selon cette grille. Nous avons également procédé à un codage positif et négatif, en cas d’adéquation ou d’inadéquation des pratiques à la théorie. Il résulte de cette recherche que la Mutualité Solidaris Liège respecte sans équivoque trois principes sur quatre : finalité de services, processus de décision démocratique et primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus. Le respect du principe « autonomie de gestion » est discutable.
Economie sociale --- Mutualité --- Solidaris --- Sciences économiques & de gestion > Economie sociale
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la brasserie d’Achouffe une société de brassicole située en Belgique, veut conquérir le marché africain. Elle veut construire une usine de brassage de bière dans un pays africain ; elle hésite entre le Cameroun et la Côte d’ivoire. L’entreprise aimerait savoir lequel de ces deux pays possède des mesures fiscales intéressantes qui l’encouragerait à installer son usine dans un pays plutôt que dans l’autre ou alors de rester en Belgique. Notre travail consistera donc à ressortir ces avantages fiscaux en analysant la politique fiscale d’investissement de chaque pays.
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