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Un « casus belli » c’est, littéralement, un motif de guerre. Ce motif peut être essentiel ou futile, et le feu qu’il allume une guerre mondiale ou une querelle de voisinage. Certaines étapes se retrouvent quelle que soit la taille du conflit : incompréhension - interprétations de signes, actes ou paroles - dénigrement - insultes franches ou voilées - escalade. Le feu est plus facile à allumer qu’à éteindre ! Ce film s’intéresse au difficile travail de ramener les humains en discorde à une paix relative. Deux métiers et deux lieux sont explorés : le médiateur de quartier, qui écoute, s’abstient de tout conseil, tâche de faire émerger la solution des parties elles-mêmes et le juge de paix, qui tantôt tranche, tantôt s’efforce de dégager un accord – parfois au forceps. Devant eux, le théâtre de l’humanité, avec ses ruses, ses fanfaronnades, ses manœuvres de séduction, et sa sincérité.
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-Le rêve de Gabriel :En 1948, Gabriel de Halleux, riche industriel belge, décide de changer de vie. Il vend tous ses biens et choisit de s'embarquer avec sa femme et ses neuf enfants pour la Patagonie, une terre désolée dont le gouvernement chilien cède gracieusement des parcelles à quiconque désire s'y installer. À travers films d'archives, témoignages et reportage sur place, l'histoire d'une épopée exceptionnelle et une interrogation sur les raisons qui ont poussé cet homme à bouleverser sa vie et celle des siens et qui l'ont finalement métamorphosé en un être semi-légendaire même pour ses proches.-Sur la pointe du coeur : Qu'y a-t-il de commun entre une ville médiévale, la vie humaine et un hôpital ? Voilà trois espaces clos, d'une certaine taille, dans lesquels on entre un jour et dont on sort après un certain temps. Qui comportent des portes discrètes, des passages détournés, des histoires, et aussi des leçons à apprendre.Ce film est un poème épique sur la naissance et la mort, tourné dans un grand hôpital du centre-ville de Bruxelles, avec la complicité de son personnel et de ses usagers. On y apprend cet art indispensable : traverser les murs.-Manneken Pis, l'enfant qui pleut :À mi-chemin entre l'enquête historique et la balade buissonnière, Anne Lévy-Morelle entreprend de comprendre pourquoi la capitale belge a choisi pour emblème dérisoire l'effigie d'un petit garçon en train d'uriner, le Manneken Pis, dont la célébrité est inversement proportionnelle à la taille. Cherchant à démêler le vrai des innombrables rumeurs, elle dévoile à travers l'histoire de cette statue une Bruxelles chaleureuse mais marquée par la tragédie.Avec cette enquête ludique, policière et historique autour du célèbre petit bonhomme, la réalisatrice en profite pour sonder l'âme de Bruxelles, son désordre harmonieux, sa fausse modestie, son histoire, ses habitants,...
Histoire --- Famille --- Voyage --- Mode de vie --- Migration --- 20e siècle --- Bâtiment hospitalier --- Mort --- Années 2000 --- Art populaire --- Sculpture --- Tourisme --- Urbanisme --- Comportement --- Population --- Amérique du Sud --- Argentine --- Chili --- Patagonie --- Bruxelles --- Belgique --- Europe
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Hôpital Saint-Pierre, à Bruxelles. Des salles d'accouchement du dernier étage à la morgue, située au sous-sol, en passant par les couloirs et les chambres, Anne Lévy-Morelle observe, écoute le personnel soigant et les patients, raconte leur histoire.
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