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Marxist intellectuals and the Chinese labor movement : a study of Deng Zhongxia (1894-1933)
Author:
ISBN: 0295976012 Year: 1997 Publisher: Seattle : University of Washington Press,


Film
Swiss Army Man
Authors: ---
Year: 2017 Publisher: [place of publication not identified] Lionsgate

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Keywords


Book
On hydrodynamic limits of the Vlasov-Navier-Stokes system
Authors: ---
ISBN: 9781470479671 1470479672 Year: 2024 Publisher: Providence, RI : American Mathematical Society,

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Abstract


Film
Everything everywhere all at once
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2023 Publisher: [France] : Originals Factory,

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Abstract

Une femme sino-américaine usée par la vie est emportée dans une aventure irréelle où elle doit sauver ce qui est important pour elle en se connectant aux vies qu'elle aurait pu avoir dans d'autres univers parallèles. Première partie: Tout (Everything): Evelyn Quan Wang est une femme sino-américaine issue des premières générations d'immigrants du pays qui tient une laverie avec Waymond, son mari. Les tensions montent dans sa famille: la laverie est inspectée par l'IRS; Waymond essaie désespérément de lui faire signer un acte de divorce; Gong Gong, son père, vient d'arriver de Hong Kong; Joy, sa fille, essaye de lui faire accepter sa relation lesbienne avec Becky. Lors d'un rendez-vous avec Deirdre Beaubeirdre, une inspectrice de l'IRS, la personnalité de Waymond change totalement alors que son corps est brièvement emprunté par Alpha Waymond, une version de Waymond venant d'un univers parallèle appelé “l'Alphavers”. Alpha Waymond explique à Evelyn l'existence du multivers, composé de tous les choix faits dans l'univers. Des habitants de l'Alphavers, menés par la regrettée Alpha Evelyn, ont réussi à développer une technologie permettant aux gens d'accéder aux talents, aux souvenirs et au corps de leurs homologues d'univers parallèles par des “sauts d'univers” en remplissant des conditions loufoques. Le multivers est menacé par Jobu Tupaki, qui se révèle être la version de Joy dans l'Alphavers: son esprit a été scindé après plusieurs expériences de sauts d'univers menées par Alpha Evelyn; Jobu Tupaki expérimente à présent tous les univers à la fois et peut manipuler la matière et les univers selon sa volonté. Omnipotente, elle a créé un trou noir sous la forme d'un bagel capable de détruire le multivers. Alpha Waymond donne à Evelyn la technologie nécessaire aux sauts d'univers alors que les sbires de Jobu Tupaki commencent à infiltrer le bureau de l'IRS. Evelyn apprend que Waymond veut divorcer et découvre ses vies alternatives, dont l'une où elle est devenue maîtresse de kung-fu et star de cinéma après avoir refusé de partir de Chine avec Waymond, qui est devenu un important homme d'affaires. Alpha Waymond pense qu'Evelyn, étant la version d'Evelyn la plus ratée de tous les univers, a le pouvoir caché de pouvoir vaincre Jobu Tupaki. Alpha Gong Gong ordonne à Evelyn de tuer Joy afin d'affaiblir Jobu Tupaki, mais Evelyn refuse et décide d'affronter Jobu Tupaki en acquérant les mêmes pouvoirs qu'elle: elle combat alors les sbires de Jobu Tupaki et les soldats d'Alpha Gong Gong avec des sauts d'univers à répétition. Après la bataille, Alpha Waymond est localisé et tué par Jobu Tupaki et l'esprit d'Evelyn se scinde. Deuxième partie: Partout (Everywhere): Evelyn fait des sauts d'univers dans d'autres univers dont certains très étranges, comme celui où les humains ont des saucisses à la place des doigts et où elle a une relation amoureuse avec Deirdre, et un autre où elle travaille avec Chad, un chef de teppanyaki manipulé par “Ratontouille”, un raton laveur. Elle apprend que Jobu Tupaki n'a pas créé le trou noir pour tout détruire, mais pour se détruire elle-même, et cherchait une Evelyn qui puisse la comprendre. Jobu Tupaki pense que la multitude d'univers et le chaos qui en découle font que rien n'a réellement de sens et souhaite simplement ne plus exister. Dans d'autres univers, les Wang perdent la laverie à cause de leurs dettes, la relation entre Evelyn-saucisse et Deirdre-saucisse prend fin, Evelyn-chef révèle la supercherie de Chad et Waymond-businessman rejette Evelyn-star après leurs retrouvailles. Après une longue discussion philosophique dans plusieurs univers, Evelyn est presque ralliée à la cause de Jobu Tupaki et poignarde le Waymond de son univers. Elle s'apprête à entrer dans le bagel avec Jobu Tupaki mais s'arrête quand elle entend Waymond suppliant la fin du combat, en demandant d'être gentil et d'avoir espoir même dans un univers où rien ne semble faire sens. Evelyn vainc les soldats d'Alpha Gong Gong et de Jobu Tupaki non pas en les blessant, mais en trouvant ce qui leur apporte du bonheur grâce à sa connaissance du multivers. Evelyn atteint Jobu Tupaki et lui dit qu'elle n'est pas seule et qu'elle choisira toujours d'être avec elle, peu importe ses choix. Pendant ce temps, dans un autre univers, Evelyn fait face à Gong Gong, se réconcilie avec Waymond et Joy, et trouve un commun accord avec Deirdre. Jobu Tupaki rejette d'abord Evelyn, avant de se retourner et de l'embrasser. Conclusion: Tout à la fois (All at Once): Peu de temps après, les vies et les relations de la famille se sont améliorées: Becky est considérée comme faisant partie de la famille; Waymond et Evelyn partagent un bref moment romantique pour la première fois depuis longtemps; ils retournent dans le bureau de Deirdre pour classer leurs taxes. Pendant que Deirdre parle, l'attention d'Evelyn est momentanément attirée par le multivers, mais elle parvient à revenir dans son propre univers. Le film est universellement acclamé pour son originalité, sa réalisation et son jeu d'acteur. C'est aussi par la représentation de concepts philosophiques tels que l'existentialisme, le nihilisme et l'absurde et par l'analyse des thèmes communs que sont la dépression, l'identité et le choix que le film se démarque. Véritable « comédie familiale engloutie dans un blockbuster hypnotique » selon “Le Monde”, le film rapporte lors de sa sortie 112 millions de dollars, devenant le premier film A24 à franchir la barre des cent millions. Everything Everywhere All at Once est officiellement le film le plus récompensé de tous les temps. Il reçoit lors de la 95e cérémonie des Oscars onze nominations et en obtient sept, ce qui fait de lui le film le plus récompensé de la cérémonie. Dans l'appréciation générale de Doctor Strange and the Multiverse of Madness, nombreux sont ceux à saluer l'inventivité du film mais, même parmi les amateurs, il est à noter que cette appréciation se teintait tout de même d'un certain nivellement par le bas Marvelien et qu'en ce qui concernait l'exploitation du concept de multivers, l'ouvrage demeurait encore relativement sage vis-à-vis de son potentiel foisonnant. Hasard du calendrier ou tout simplement du zeitgeist, propice à ce type de postulat, Everything Everywhere All At Once est le film que Doctor Strange aurait pu être. Le vrai multivers de la folie. Une folie de genres, mariant le drame domestique à une histoire d’immigration, le tout dans un film de science-fiction rythmé par des séquences d’arts martiaux. Une folie d’idées, les mots manquant pour décrire le niveau d'inventivité d’un film qui ne recule vraiment devant rien, du concept le plus complexe au gag le plus en dessous de la ceinture. Une folie pour épouser le vertige ressenti par un aperçu de toutes les vies que l’on aurait pu s’imaginer avoir. Une folie réconciliant la plus tristement quotidienne des vies avec son potentiel infini. L’exploration frénétique au parfum d'exhaustivité que les auteurs font de leur postulat n’a d’égal que le caractère résolument débridé des règles tout à fait improbables qu'ils s'inventent pour régir leur création et pour rendre leur œuvre encore plus originale. Aucune description ne saurait faire honneur à la ressource des Daniels, il faut voir le film pour croire son idiosyncrasie sans pareil. À l'instar de leur premier long métrage, Swiss Army Man, c'est la foi absolue de ses créateurs dans l'humour le plus potache caractérisant leur univers qui fait de ces consignes arbitraires non seulement des gags à pleurer de rire mais surtout une expérience unique. En plus d'être une avalanche d'idées hilarantes débitées à un rythme presque éprouvant, le scénario est réellement une merveille narrative. Très vite, ce n'est plus seulement l'abattage de saynètes - tous ces différents aperçus d'univers parallèles, toutes ces scènes de combat comportant à chaque l'élément décalé qui va lui donner tout son sel (comme ces improbables éléments utilisés comme armes de wu xia pian) - ni l’accumulation d'effets de style qui rend l'expérience vertigineuse mais l'écriture dans sa vue d'ensemble qui déroule en quasi-temps réel un récit d'une densité écrasante. Travaillant les mêmes thèmes que le précédent film du tandem, ce deuxième opus s'avère toutefois infiniment plus fort et touchant, parvenant, sans en faire un gimmick, à étendre les questions qui se posaient déjà entre deux hommes perdus dans une forêt à une cellule familiale, puis à leurs alter ego et finalement non seulement à un univers mais à un multivers tout entier. L'exercice fait preuve d'intelligence également dans l'emploi des acteurs et des codes, amenant une dimension méta mais sans le moindre sourire en coin facile. Il y a évidemment toute la carrière de Michelle Yeoh, parfaite dans un rôle en or à multi-facettes, qui résonne derrière son personnage mais, sans forcer le trait, le film propose même une déconstruction des velléités de destruction des antagonistes de ce type de récit, ramenant une fois de plus tout à l'intime et à l'introspection. Une nouvelle fois, il est question de s'ouvrir aux autres pour ne pas laisser nos frustrations et nos différences nous tuer, de l'amour comme clé du salut, de l'optimisme à toute épreuve. Non seulement Everything Everywhere All At Once est un trip d'une richesse et d'un ludisme comme on en voit rarement, traversant allègrement les genres et les influences, des sœurs Wachowski à Wong Kar-wai, mais le film peut se targuer en outre de présenter une philosophie de vie qui émeut aux larmes. Il est même difficile d’en parler tant c'est le genre de film où l’on pourrait passer l'après-séance à énumérer une par une toutes les choses, toutes les scènes, toutes les blagues, toutes les idées qui surprennent, impressionnent et s’avèrent destinées à rester gravées en tête. Un idéal de cinéma qui se classe d’office comme l’un des meilleurs films de l’année.

Keywords


Book
Plastic Surgery Case Review : Oral Board Study Guide
Authors: --- --- --- --- --- et al.
ISBN: 1638536449 1684202655 1684200636 Year: 2021 Publisher: New York, NY : Thieme Medical Publishers, Inc.,

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Abstract

"Plastic Surgery Case Review: Oral Board Study Guide, Second Edition by Albert S. Woo, Reena A. Bhatt, and esteemed contributors, features new cases in each chapter, as well as updated and expanded content. Like the widely acclaimed prior edition, the book is an excellent resource for plastic surgery residents and trainees of all skill levels, highlighting key adult and pediatric cases commonly featured on the plastic surgery oral board examination. The text is written in a "mock oral" format - designed to encourage critical thinking and analysis of case management - from initial workup to preventing key errors in judgment. Organized in 10 sections, the short, high-yield chapters provide a thorough yet quick review of the most pertinent information. The second edition features extensive updates including section restructuring, all new cases, and an additional section providing a more comprehensive review of plastic surgery. Each case includes high-quality photographs and one- to three-page descriptions including work-up, initial assessment, history, physical examination, diagnostic imaging, patient counseling, treatment, ethical considerations, potential complications, and critical errors. Key Highlights Additional topics include non-operative cosmetic techniques, Pierre Robin sequence, prominent ear deformity, giant congenital hairy nevus, male-to-female and female-to-male transgender, secondary breast deformities, electrical burns, degloving injury, traumatic amputation, and brachial plexus injury A concise, reader-friendly format ideal for learning core topics and prepping for the oral board exam quickly and efficiently High quality board examination-type case photographs, figures, and illustrations enhance visual learning and knowledge retention This is an essential resource for every plastic surgery resident looking to prepare for the oral boards, as well as medical students and trainees interested in developing a quick understanding of "bread and butter" plastic surgery topics. Albert S. Woo, MD, is Chief of Pediatric Plastic Surgery and Director of the Craniofacial Program, Division of Plastic and Reconstructive Surgery, The Warren Alpert Medical School of Brown University, Providence, Rhode Island, USA. Reena A. Bhatt, MD, is Associate Professor of Surgery (Hand and Microsurgery, General Reconstructive Plastic Surgery), Division of Plastic and Reconstructive Surgery, The Warren Alpert Medical School of Brown University, Providence, Rhode Island, USA"--

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