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Dépression --- Depression, Mental --- Thérapeutique --- Treatment
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Cette étude, de nature exploratoire, vise à comprendre ce qu’il en est de la qualité de vie des enfants souffrant de maux de tête récurrents voir chroniques. Elle est fondée sur le modèle biopsychosocial de la douleur et elle repose sur deux objectifs : (1) vérifier si la qualité de vie des enfants migraineux chroniques est moindre que celle des enfants tout venant, et construire un module spécifique à cette problématique dans l’Inventaire Systémique de Qualité de Vie pour Enfants (ISQV-E) ; (2) vérifier les possibles variables influençant cette qualité de vie et analyser les stratégies de coping utilisées par ces enfants migraineux chroniques. Afin de mettre en évidence les domaines qui jouent un rôle important sur la qualité de vie chez les enfants souffrant de migraines et/ou de céphalées de tension chroniques, une revue de la littérature et une rencontre avec un professionnel travaillant dans le domaine des maux de tête chroniques ont été effectuées. Grâce à cela, un module spécifique aux maux de tête et aux céphalées de tension chroniques dans l’ISQV-E a été construit. Les questionnaires sociodémographiques, de qualité de vie (ISQV-E), de limitation des activités (CALI), d’anxiété (STAIC-T), de sensibilité à l’anxiété (CASI-R), de dramatisation de la douleur (PCS-C), d’anxiété par rapport à la douleur (CPASS) ainsi qu’un questionnaire sur les stratégies de coping (PPCI-F) ont été remplis et un entretien semi-structuré a été réalisé. A l'avenir, pour ce qui est des données sur la qualité de vie, il serait opportun de contrôler la dimension du moment de passation lors des prochaines études sur le sujet et d'augmenter la taille de l'échantillon. Néanmoins, le discours de l’enfant est un atout non négligeable. En outre, le lien entre les variables d’anxiété, de sensibilité à l’anxiété, de peur de la douleur et de dramatisation devra être testé sur un échantillon permettant d’obtenir des preuves empiriques fondées.Enfin, les stratégies de coping chez ces enfants migraineux ont également été évaluées. Ici aussi, les données laissent à penser qu’il serait intéressant de rechercher des résultats en faveur d’une utilisation prédominante de stratégies centrées sur les émotions ou sur le problème, celles centrée sur le problème favorise une adaptation plus positive.
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Objectifs : Cette recherche, consistant en une étude exploratoire de la qualité de vie des enfants asthmatiques, présente trois grands objectifs : (1) comparer le niveau de qualité de vie des enfants asthmatiques à celui des enfants sains et détecter une différence quelconque ; (2) identifier les variables psychologiques propres à l’enfant qui sont liées à sa qualité de vie ; (3) mettre en évidence les variables psychologiques des parents en lien avec la qualité de vie des enfants. Participants : L’échantillon total des enfants se compose de 5 garçons et 6 filles, soit 11 enfants asthmatiques. L’échantillon des parents s’élève à 20 individus, 11 mères et 9 pères. Méthodologie : Pour cette étude, nous avons tout d’abord évalué la qualité de vie des enfants asthmatiques. Pour ce faire, nous avons eu recours à l’Inventaire Systémique de Qualité de Vie-version Enfants (ISQV-E ; Missotten, Etienne & Dupuis, 2007) En ce qui concerne les variables psychologiques des enfants, nous avons évalué l’anxiété, la sensibilité à l’anxiété, les stratégies de coping, le contrôle perçu et l’intelligence émotionnelle. Pour y parvenir, nous avons utilisé différents questionnaires : le State-Trait Anxiety Index for Children (STAIC ; Spielberger, 1973) la Children Anxiety Sensitivity Index (CASI ; Silverman, Fleisig, Rabian & Peterson, 1991) l’Asthma Specific Coping Scale (ASCS ; Aalto, Härkäpää, Aro & Rissanen, 2002) le Perceived Control of Asthma Questionnaire (PCAQ ; Katz, Yelin, Eisnet & Blanc, 2002) et le Questionnaire d’Intelligence Emotionnelle (TEIQue ; Mavroveli, Petrides, Shove & Whitehead, 2008). Pour les variables parentales, nous nous sommes intéressés à l’anxiété, la sensibilité à l’anxiété et les stratégies de coping. Dans de but, nous avons utilisé le State-Trait Anxiety Index-Form Y (STAI-Y ; Spielberger, 1993) le Anxiety Sensitivity Index (ASI ; Petersen & Reiss, 1992) et le Coping Health Inventory for Parents (CHIP ; McCubbin, McCubbin, Patterson, Cauble, Wilson & Warwick, 1983). Résultats : Les statistiques descriptives montrent que les enfants asthmatiques de notre échantillon possèdent une qualité de vie dans les normes bien que les items spécifiques fassent l’objet d’une moindre satisfaction de la part des enfants, se caractérisant par un score écart plus élevé. De plus, il semblerait que ces enfants aient tendance à se fixer des objectifs moins élevés et ainsi plus faciles à atteindre, comme le montre les scores but, inférieurs à la norme. Pour le score rang calculé par l’ISQV-E, nous observons un moindre intérêt des enfants quant à leur fonctionnement émotionnel. Les résultats relatifs à l’anxiété (STAIC) et la sensibilité à l’anxiété (CASI) se situent dans les normes établies par les auteurs. En revanche, nous constatons qu’une des stratégies de coping mesurées par l’ASCS, à savoir la recherche d’information, est peu utilisée par notre échantillon. De plus, les résultats obtenus au PCAQ démontrent un faible sentiment de contrôle sur la maladie. En ce qui concerne l’intelligence émotionnelle (TEIQue), alors que les filles de notre échantillon présentent un niveau se situant dans les normes, les garçons obtiennent un score inférieur à la norme proposée par les auteurs. Du côté des parents, le STAI-Y et l’ASI n’ont pas mis en évidence de résultats plaidant pour la présence d’anxiété ou de sensibilité à l’anxiété, que ce soit chez les mères ou les pères. Le CHIP n’a pas non plus mis en exergue d’utilisation particulière de stratégies de coping. Conclusions : Les enfants asthmatiques de notre échantillon présentent une qualité de vie similaire à celle d’enfants dits « sains ». Bien que nos résultats n’aient pas mis en évidence de liens entre les variables psychologiques propres à l’enfant asthmatique et sa qualité de vie, nous avons pu mettre en lumière une relation entre le contrôle perçu et la satisfaction des enfants quant à leurs capacités respiratoires. Enfin, en ce qui concerne les relations avec les variables parentales, nous avons pu mettre en avant une relation entre le choix des stratégies de coping des parents et celles mises en place par leurs enfants.
asthme --- qualité de vie --- anxiété --- sensibilité à l'anxiété --- stratégies de coping --- contrôle perçu --- intelligence émotionnelle --- ISQV-E --- STAIC --- CASI --- ASCS --- PCAQ --- TEIQue --- STAI-Y --- ASI --- CHIP --- enfant --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Les personnes avec une maladie d'Alzheimer sont généralement perçues comme "incompétentes" (chaleureuses mais incompétentes) (O'Connor & McFadden, 2012). Il s'agit dans ce cas d'un stéréotype dit "paternaliste" qui engendrerait des émotions et attitudes "paternalistes" (Fisk & al., 2002). Selon Werner (2006), plus nous percevons les personnes avec une maladie d'Alzheimer comme "incompétentes", plus nous sommes susceptibles d'avoir des émotions "prosociales" (c'est-à-dire : se soucier de l'autre, avoir envie de le protéger et de l'aider / principe également des attitudes dites "paternalistes"). Ainsi, nous nous attendons à ce que plus les aidants perçoivent les personnes Alzheimer comme incompétentes, plus ils expriment un comportement d'aide (attitude prosociale / attitude paternaliste). Or, il a été démontré que "l'aide excessive" peut être nuisible, et ce aussi bien pour la personne aidée que pour l'aidant. La personne aidée peut, lorsqu'elle reçoit un soutien ou de l'aide de manière excessive, devenir plus dépendante que ce qu'elle n'est initialement (Avorn & al., 1983; Bonsang & al. 2013). L'aidant quant à lui, risque de se surcharger en procurant de l'aide non-indispensable, ce qui augmenterait sa détresse/épuisement (Malaquin-Pavan & Pierrot, 2007).
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Les migraines et céphalées de tension font partie des maladies chroniques les plus fréquentes chez l’enfant et l’adolescent. Les maux de tête peuvent être une source d’inconfort pour l’enfant. Il peut se plaindre d’une douleur aiguë ou continue ou encore d’une sensation pulsatile. La littérature fait état que les maux de tête impactent significativement la qualité de vie de l’enfant, ses performances scolaires, ses relations, son sommeil, la dynamique familiale et sont souvent accompagnés de problèmes psychologiques tels que de l’anxiété ou de la dépression. L’approche pharmacologique a montré son efficacité mais les études concluent souvent qu’il serait souhaitable que les médicaments ne soient pas prescrits en monothérapie mais plutôt en combinaison avec des traitements non médicamenteux. Une attention particulière a donc été apportée aux interventions non pharmacologiques. La littérature a ainsi mis en avant que la psychologie peut être impliquée dans la perception de la douleur. Notre attention se porte sur une intervention non pharmacologique en particulier : le yoga, une pratique psychocorporelle que l’on qualifie aujourd’hui de médecine du corps et de l’esprit. Notre étude a comme objectif d’évaluer l'efficacité du yoga dans le traitement des migraines et céphalées de tension pédiatriques. 22 enfants et leurs parents ont été recrutés via des neuropédiatres sur plusieurs hôpitaux de Liège. Les enfants ont assignés de manière aléatoire à un des deux groupes constitués : groupe expérimental ou contrôle. Les participants ont été évalués via des questionnaires (Questionnaire socio-démographique, Inventaire Systémique de Qualité de Vie pour enfants, Trait Anxiety Inventory for Children, Child Pain Anxiety Symptom Scale, Pain Catastrophizing Scale for Child and for Parents et Child Activity Limitations Interview-21 for parents) avant l’intervention, après l’intervention et deux mois plus tard. Nos résultats rejoignent ceux de la littérature en confirmant que le yoga montre une efficacité certaine en tant que thérapie alternative simple et efficace. Les séances de yoga ont diminué la fréquence et la douleur des maux de tête chez l’enfant, ont amélioré sa qualité de vie, lui ont permis d’être moins limité dans ses activités et enfin ont entrainé la diminution de sa dramatisation de la douleur mais également de celle de son parent. La pratique du yoga apporte donc toutes ses promesses dans la réduction de l'impact fonctionnel et émotionnel des maux de tête.
migraine --- yoga --- pediatric --- children --- headache --- complementary and alternative medicine --- migraine --- yoga --- pédiatrique --- enfant --- mal de tête --- médecine alternative --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Le télétravail, par sa forme particulière, c’est-à-dire à distance de l’entreprise à l’aide des technologies de communication et d’informations, remet en cause la structure et les relations internes et externes du monde professionnel. Le développement de cette nouvelle forme de travail a impliqué de nombreuses transformations communicationnelles et relationnelles dans les équipes. Le télétravail comporte des risques : sentiment d’isolement et d’exclusion professionnelle, diminution des interactions informelles ou spontanées avec les collègues ou encore remise en cause de la gestion de carrière. Le télétravail demande alors une adaptation des pratiques de gestion des ressources humaines telles que la reconnaissance professionnelle, le contrôle sur l’activité et les pratiques de management. Peu d’études ont évalué si la perception de reconnaissance était influencée par le fait de pratiquer le télétravail. Cette étude a pour but d’évaluer si le télétravail influence la reconnaissance au travail. Trois acteurs internes à une entreprise peuvent jouer un rôle dans les pratiques de reconnaissance au travail : l’entreprise, les supérieurs hiérarchiques et les collègues. 112 employés d’une entreprise de télécommunication ont répondu à un questionnaire mesurant leurs perceptions de reconnaissance de la part l’entreprise, des supérieurs hiérarchiques et des collègues. 72 pratiquent le télétravail et 40 ne le pratiquent pas. Nous avons donc pu procéder à une comparaison des résultats obtenus entre les deux groupes afin d’analyser s’il existait une différence de reconnaissance et par conséquent, une possible influence du télétravail. Notre étude ne montre pas d’influence du télétravail sur la reconnaissance au travail. Les télétravailleurs de cette entreprise ne semblent pas être impactés par le travail à distance, les deux groupes présentent des niveaux de reconnaissance satisfaisants et similaires. L’entreprise qui a servi de terrain d’étude à ce mémoire montre une implémentation formelle du télétravail basée sur la flexibilité, l’autonomie, l’accès à des télécentres et sur l’équilibre entre le travail à distance et travail dans les locaux. Ceci semblerait réunir de bonnes conditions pour éviter que le télétravail n’impacte les relations avec l’organisation, les superviseurs hiérarchiques et les collègues.
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Introduction. L’objectif de cette étude était de tester l'efficacité de la TERV (Thérapie par exposition à la réalité virtuelle) pour les troubles anxieux. Entre cinq et quinze patients adultes (femmes et hommes confondus) en consultation à la Clinique Psychologique et Logopédique de l’Uliège (CPLU) pour une problématique de trouble anxieux selon les critères du DSM-V (American Psychiatric Association, 2013) seront inclus à l'étude. Méthodologie. Un design en lignes de base multiples sera utilisé pour analyser l’efficacité de l’intervention chez cinq à quinze personnes ayant reçu un diagnostic de trouble anxieux selon le DSM-V. Un total de plus ou moins dix séances sont prévues une fois toutes les deux semaines. Les questionnaires EVA et EVA (BIS) seront proposés à chacune des trois séances pré-intervention. Ils seront proposés également à chaque séance de la phase d’intervention. La phase d’intervention dure environ sept séances. Elle inclura de la psychoéducation, de la restructuration cognitive, l’apprentissage de technique de relaxation et de l’exposition à la RV. Les données seront analysées par des analyses visuelles et par pourcentage de non-chevauchement grâce au logiciel NAP (Nonoverlap of All Pairs) (Gage & Lewis, 2013). Enfin, une analyse pré-post de questionnaires de mesures auto-rapportées sera réalisée (SCL-90-R, STAI-Y, FSS-III, PPAG, Cognitions anxieuses de Chambless et GSES). Hypothèses. Parmi les symptômes et processus possibles, seront évalués : l’intensité de l’anxiété, les symptômes physiques, la fréquence des évitements, les cognitions anxieuses et le sentiment d’auto-efficacité avec pour hypothèse d’observer une réduction des symptômes et une amélioration des mécanismes cognitifs au fur et à mesure des expositions en réalité virtuelle. Résultats. Ni les données, ni les résultats n’ont pu être recueillis en raison du confinement dû à la COVID-19. Conclusion. Les études de cas n’ont malheureusement pu être menées à terme. Le changement de direction pris lors de ce travail fut donc de se pencher plus avant sur la littérature existante et de définir au mieux la méthodologie afin de mettre en lumière ses avantages et ses limites pour, in fine, être capable d’appréhender les troubles anxieux de la manière la plus objective et la plus efficace possible.
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Il est indéniable que l'épidémie de COVID-19 s'est accompagnée et s'accompagne toujours de difficulté psychologiques. Mais reste encore trop peu étudié chez l'enfant et l'adolescent. Comprendre leurs réactions et émotions est essentiel pour répondre correctement à leurs besoin. Ce mémoire implique l'étude des états émotionnels et comportementaux tels que perçu par les parents. Ainsi que les influences possibles de différentes variables sociodémographiques, la fréquence des contacts sociaux et la nervosité liée aux informations perçues de la pandémie.
COVID-19 --- Enfant --- Adolescent --- COVID-19 --- Children --- Adolescent --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Tout le monde veut être heureux, et plusieurs sources de données démontrent clairement les avantages du bonheur sur divers résultats importants, tels que le bonheur subjectif, la satisfaction de vivre, le bien-être psychologique et la santé physique (Diener, Suh, Lucas et Smith, 1999 ; Lyubomirsky, King et Diener, 2005). En outre, depuis le développement de la psychologie positive, la recherche a souligné que de simples activités positives pouvaient accroître le bien-être (Layous, Chancellor, & Lyubomirsky, 2014 ; Lyubomirsky & Layous, 2013). Cependant, une littérature émergente apporte des nuances, et une question en particulier concerne l'impact de la poursuite du bonheur : est-ce toujours positif ? La poursuite du bonheur peut être contre-productive pour plusieurs raisons : parce que les gens peuvent avoir des normes élevées irréalistes trop difficiles à atteindre, parce qu'ils peuvent se concentrer continuellement sur leur niveau de bonheur au lieu de se comporter normalement, ou parce qu'ils peuvent utiliser des méthodes inefficaces pour atteindre le bonheur (Ford & Mauss, 2014 ; Gruber, Mauss, & Tamir, 2011). Des données récentes ont suggéré que l’attention portée au bonheur, c'est-à-dire la tendance à faire attention à son bonheur la plupart du temps dans la plupart des circonstances, peut entraîner une diminution des sentiments positifs et du bonheur, ainsi qu'une augmentation des symptômes dépressifs et de la solitude (Gentzler, Palmer, Ford, Moran et Mauss, 2019 ; Ford, Shallcross, Mauss, Floerke et Gruber, 2014 ; Mauss, Tamir, Anderson et Savino 2011 ; Mauss, Savino, Anderson, Weisbuch, Tamir et Laudenslager, 2012). Le projet vise à investiguer l’effet négatif de l’attention portée au bonheur sur le bien-être. Il sera demandé à deux groupes de participants de donner deux activités plaisantes qu’ils feront le jour-même ou le lendemain durant 48 heures. Après les activités réalisées, les participants devront rapporter leur bien-être ressenti durant ces activités. Dans un des deux groupes, il sera demandé aux participants d’essayer d’être attentif le plus possible à son bonheur pendant les activités. L’hypothèse est que le bonheur ressenti sera plus faible dans le groupe où l’attention au bonheur sera induite.
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Ce mémoire est une revue systématique de littérature, étudiant le potentiel d'induction de craving dans un environnement de réalité virtuelle.
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