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Alcoolisme. --- Alcoolisme --- Troubles de la cognition. --- Complications (médecine)
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De récentes études suggèrent que les processus automatiques sont importants pour comprendre l'étiologie des comportements addictifs. Cette recherche a pour but d'identifier les substrats neuronaux impliqués chez les jeunes gros consommateurs d'alcool dans le phénomène de biais attentionnels, ainsi que l'influence de la prise d'alcool sur les processus de récompenses. Huit adolescents ont été soumis à des questionnaires d'attentes et de craving, ainsi qu'à des tests cognitifs implicites avant de réaliser deux sessions (alcool/placebo) d'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (fMRI).
Alcoolisme --- Adolescent --- Jeune adulte --- Imagerie cérébrale fonctionnelle --- Cerveau --- Cognition --- Cognition implicite --- Tâche cognitive --- Substance nocive --- Processus cognitif --- exposition
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Depuis des années, dans la littérature, les jeux de rôle ont été testés comme méthode de formation à la communication. Dans certaines études (Jackson et Back, 2011 ; Jaeken et al., 2014 ; Jarvis et al., 2002; Lane et al., 2008; Martinez Perez et al., 2015 ; Nestel et Tierney, 2007), cette méthode d’entraînement a montré des résultats positifs sur les capacités de communication. Dans le cadre de notre recherche, nous nous sommes inspirée des études récentes de Jaeken et al. (2014) et Martinez Perez et al. (2015). Nous avons émis l'hypothèse que le jeu de rôle comme méthode d’entraînement supplémentaire à la formation de base a un impact positif sur les compétences en communication des étudiants en psychologie. Nous avons non seulement testé l’effet sur les aptitudes et les techniques communicationnelles vues par Van der Molen et al. (2014), mais également sur la compétence avancée de l'empathie. Nous faisons une deuxième hypothèse sur l'influence des jeux de rôle sur la communication empathique. Au total, une quarantaine d'étudiants (entre 22 et 58 ans) ont participé à cette étude et ont accepté de mettre leurs vidéos à notre disposition pour cette étude. Nous avons constitué deux groupes d'étudiants, le groupe contrôle et le groupe expérimental, de vingt étudiants chacun. Le groupe expérimental a participé aux quatre séances de jeux de rôle. La performance des étudiants dans les jeux de rôle enregistrés au début et à la fin du dispositif a été évaluée par la mémorante, qui a utilisé deux échelles, l'une pour évaluer les compétences de communication verbale et non verbale et l'autre pour les compétences de communication empathique. Les résultats de cette étude ne montrent pas d'effets significatifs des jeux de rôle sur les capacités de communication des élèves, ni pour les compétences verbales ou non verbales, ni pour les compétences empathiques. En conclusion, nous ne pouvons pas confirmer l'hypothèse selon laquelle les jeux de rôle ont un effet sur les compétences de communication verbale ou non verbale ou sur les compétences de communication empathique. Ces résultats contrastent avec ceux des études que nous avons trouvées dans la littérature. Cependant, notre étude donne la possibilité de discuter des différents effets et biais présents dans cette recherche. Notre étude devrait donc être reprise et discutée plus en profondeur.
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Les migraines et céphalées de tension font partie des maladies chroniques les plus fréquentes chez l’enfant et l’adolescent. Les maux de tête peuvent être une source d’inconfort pour l’enfant. Il peut se plaindre d’une douleur aiguë ou continue ou encore d’une sensation pulsatile. La littérature fait état que les maux de tête impactent significativement la qualité de vie de l’enfant, ses performances scolaires, ses relations, son sommeil, la dynamique familiale et sont souvent accompagnés de problèmes psychologiques tels que de l’anxiété ou de la dépression. L’approche pharmacologique a montré son efficacité mais les études concluent souvent qu’il serait souhaitable que les médicaments ne soient pas prescrits en monothérapie mais plutôt en combinaison avec des traitements non médicamenteux. Une attention particulière a donc été apportée aux interventions non pharmacologiques. La littérature a ainsi mis en avant que la psychologie peut être impliquée dans la perception de la douleur. Notre attention se porte sur une intervention non pharmacologique en particulier : le yoga, une pratique psychocorporelle que l’on qualifie aujourd’hui de médecine du corps et de l’esprit. Notre étude a comme objectif d’évaluer l'efficacité du yoga dans le traitement des migraines et céphalées de tension pédiatriques. 22 enfants et leurs parents ont été recrutés via des neuropédiatres sur plusieurs hôpitaux de Liège. Les enfants ont assignés de manière aléatoire à un des deux groupes constitués : groupe expérimental ou contrôle. Les participants ont été évalués via des questionnaires (Questionnaire socio-démographique, Inventaire Systémique de Qualité de Vie pour enfants, Trait Anxiety Inventory for Children, Child Pain Anxiety Symptom Scale, Pain Catastrophizing Scale for Child and for Parents et Child Activity Limitations Interview-21 for parents) avant l’intervention, après l’intervention et deux mois plus tard. Nos résultats rejoignent ceux de la littérature en confirmant que le yoga montre une efficacité certaine en tant que thérapie alternative simple et efficace. Les séances de yoga ont diminué la fréquence et la douleur des maux de tête chez l’enfant, ont amélioré sa qualité de vie, lui ont permis d’être moins limité dans ses activités et enfin ont entrainé la diminution de sa dramatisation de la douleur mais également de celle de son parent. La pratique du yoga apporte donc toutes ses promesses dans la réduction de l'impact fonctionnel et émotionnel des maux de tête.
migraine --- yoga --- pediatric --- children --- headache --- complementary and alternative medicine --- migraine --- yoga --- pédiatrique --- enfant --- mal de tête --- médecine alternative --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Introduction : Le stress est une problématique qui touche beaucoup de monde, de tous milieux confondus. Les techniques de relaxation sont des outils qui ont montré leur efficacité pour améliorer la gestion du stress. Ces techniques se concentrent généralement sur la respiration, le contrôle du tonus musculaire et l’induction de sensations. Ce projet a pour objectif d’étudier l’effet d’un groupe de relaxation sur le stress et l’anxiété vécus par des étudiants de l’Université de Liège. Méthodologie : Nous évaluerons l’efficacité de ce groupe dans un protocole d’étude de cas. Deux designs seront appliqués conjointement. Le premier, utilisant les lignes de base multiples, permettra d’administrer durant toute la durée d’intervention un questionnaire de suivi quotidien. Le second, un design pré et post-intervention, proposera une batterie de questionnaires standardisés avant et après l’intervention. Hypothèses : Nous faisons l’hypothèse que ce programme aura une influence bénéfique sur le stress, l’anxiété ainsi que sur le sentiment d’auto-efficacité. Nous avons également pour idée que certains traits de personnalité impactent positivement la pratique de ces techniques de relaxation. Résultats : Les résultats montrent une amélioration globale du bien-être chez deux participantes. Cependant, les résultats sont plus nuancés pour la troisième participante. De plus, nous ne pouvons tirer de conclusion concernant la relation entre la personnalité et la pratique de ces techniques.
stress --- anxiété --- relaxation --- personnalité --- lignes de base --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique
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Résumé Objectif : Cette étude a pour objectif d’évaluer l’efficacité́ d’un jeu de réalité virtuelle dans la réduction de la douleur et de l’anxiété durant la réalisation d’un test allergique (prick-test) sur une population pédiatrique entre 4 et 7 ans. Participants : L’échantillon est exclusivement composé d’enfants. Il comprend 24 enfants âgés de 4 à 7 ans devant réaliser un test allergique de type prick-test. Parmi ceux-ci, il a 9 garçons et 15 filles, dont la moyenne d’âge est de 5,77 ans. Méthodologie : Les 24 sujets sont répartis de façon aléatoire en deux groupes : un groupe d’enfant recevant un outil de distraction de type réalité virtuelle (n=12) et un autre groupe d’enfants recevant un outil de distraction de type livre (n=12). Dans chacun des deux groupes, nous avons évalué le niveau de douleur ressentie (FPS-R) et observée (FLACC), le niveau d’anxiété (Glasses fear scale ) de l’enfant et de son parent, ainsi que le niveau de satisfaction de l’enfant et de son parent quant à la distraction proposée. Le groupe d’enfants ayant utilisé le jeu de réalité virtuelle se sont également vu évaluer leur degré de cybermalaise. Résultats : Les analyses statistiques des résultats ne montrent pas de différences significatives entre le groupe d’enfants recevant un distracteur de type réalité virtuelle et celui recevant un distracteur moins immersif de type livre, concernant les variables douleur (ressentie et observée), anxiété (parent et enfant) et satisfaction de l’enfant. Néanmoins, nous retrouvons une différence significative quant à la satisfaction des parents en faveur de la distraction de type réalité virtuelle. Chez les enfants ayant fait l’expérience de la réalité virtuelle, il n’y a pas de différence significative entre l’évaluation de la variable cybermalaise avant l’expérience de réalité virtuelle ainsi qu’à la suite de celle-ci : ainsi notre population ne semble pas avoir souffert de ce désagrément. Conclusion : En regard des résultats obtenus, nous ne pouvons pas affirmer qu’un jeu de réalité virtuelle interactif soit un outil distractif potentiellement efficace pour réduire la douleur et l’anxiété́ chez de jeunes enfants de 4 à 7 lors de la réalisation d’un prick-test, ni que la réalité virtuelle ait un pouvoir davantage distracteur qu’un livre ( de type cherche et trouve). Ces résultats ne soutenant pas ce qui ressort dans la littérature, et en considérant les limites identifiées dans notre étude, nous pensons que de futures recherches sur le sujet seraient 108 intéressantes et nécessaires dans le but d’approfondir et de nuancer les résultats que nous avons obtenus.
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Introduction. La littérature scientifique a démontré que l’auto-observation régulière de ses humeurs et de ses émotions, diminue les symptômes dans divers troubles de l’humeur et améliore le bien-être psychologique. Ce dernier serait pour certains auteurs, médié par l’augmentation du niveau de conscience émotionnelle. Il n’existe à notre connaissance, aucune étude recherchant les liens potentiels entre l’auto-observation du cycle menstruel, la conscience émotionnelle et le bien-être psychologique. En effet, c'est essentiellement sous l’angle médical ou psychopathologique, que le cycle menstruel a été étudié. Notre objectif est de mettre en évidence, au moyen d'une étude de cas multiples, les potentiels liens entre l’auto-observation du cycle menstruel, le bien-être psychologique et la conscience émotionnelle, ce, en utilisant un questionnaire dédié spécifiquement à cette auto-observation. Méthodologie. Sept femmes en âge de procréer, ont été recrutées. Pendant la durée d'un cycle menstruel entier, les participantes ont été invitées à auto-observer leur cycle menstruel, quotidiennement, en répondant à un questionnaire d’auto-observation. Ce questionnaire était composé d'items communs (mesures du bien -être psychologique, de la conscience et de la régulation émotionnelle) et d'items personnalisés, définis selon leurs difficultés propres de chaque participante qu'elles soient d’ordre physique, émotionnel ou comportemental. Avant de débuter l'auto-observation, les participantes étaient invitées à compléter différentes échelles de mesures concernant le bien-être psychologique, la conscience émotionnelle, la régulation émotionnelle et le degré de malaise. Elles ont également participé à un entretien individuel, afin d’obtenir un témoignage des caractéristiques de leurs cycles menstruels. A la suite de l'auto-observation, les mêmes échelles leur ont été proposées ainsi qu'un second entretien destiné à recueillir leur témoignage concernant l'auto-observation et le cycle menstruel en observé. Hypothèses. Pour répondre à la question de recherche suivante : L’auto-observation du cycle menstruel et de ses variations émotionnelles peut-elle contribuer au mieux-être psychologique des femmes menstruées ?, nous avons testé plusieurs hypothèses. En effet, il s’agit de tester si l’auto-observation régulière du cycle menstruel, augmente le bien-être psychologique et la conscience émotionnelle, et de vérifier si l’augmentation du bien-être psychologique est médiée par l’augmentation de la conscience émotionnelle. Résultats. Les données recueillis ont infirmé nos hypothèses, aucun changement significatif n’a eu lieu sur les niveaux de conscience émotionnelle et de bien-être psychologique des participantes, avant et après la période d’auto-observation quotidienne d’un cycle menstruel. De même, les résultats aux mesures quotidiennes du questionnaire d’auto-observation, à l’exception d’un item pour une participante, ne sont pas significatifs. Conclusion. Les résultats obtenus montrent que contrairement à la littérature étudiant l’auto-observation sur les troubles de l’humeur, la dépression ou encore la bipolarité, l’auto-observation d’un cycle menstruel ne permet pas l’amélioration du bien-être psychologique, ni de la conscience émotionnelle. Cependant, l’étude a été réalisé sur un seul cycle menstruel, il serait ainsi intéressant d’évaluer ces mesures durant plusieurs cycles menstruels et à plus grande échelle. De plus, pour la recherche future, il serait pertinent d’approfondir les résultats secondaires tels que, les mécanismes à l’origine de la volonté de nombreuses participantes de poursuivre l’auto-observation.
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Résumé Dans ce travail de recherche, nous avons examiné les facteurs cognitifs mis en œuvre lorsqu’un individu issu d’un échantillon non-clinique, c’est-à-dire d’une population tout-venant, ressent le besoin de vérifier ou de répéter certaines actions effectuées auparavant. Nous avons considéré ces « états » au travers de l’angle de la psychopathologie cognitive, qui considère les états psychopathologiques comme des manifestations extrêmes de processus émotionnels et cognitifs normaux. Ainsi, ce sentiment peut être mis en parallèle avec le symptôme de vérification chez les patients atteints de troubles obsessionnels-compulsifs. Ce besoin irrépressible peut se traduire par un dysfonctionnement du contrôle automatique des actions routinières. De plus, nous avons examiné les représentations de ces actions, de leurs buts, ainsi que de leurs conséquences dans la littérature. Lors de l’expérimentation, nous avons administré à 195 sujets divers tests psychométriques ainsique la « tâche de l’illusion » (Arts et al., 2005). Nous avons évalué la capacité des sujets à identifier un évènement comme étant la conséquence directe de sa propre action. De plus, une procédure d’amorçage subliminal a été produite, activant ainsi une illusion de contrôle. Plus précisément, la perception non-consciente d’une adéquation parfaite ressentie par le sujet entre les représentations des effets attendus et les effets que cette même personne peut observer suite à celle-ci, fait en sorte que les sujets s’auto-attribuent les effets obtenus, bien qu’ils n’en soient pas responsables. Les mesures psychométriques vont permettre de mettre en avant une éventuelle propension à la vérification, mais également de contrôler une potentielle symptomatologie dépressive ou anxieuse. Bon nombre de résultats ont pu être dégagé. Cependant, les résultats obtenus ne sont pas tous compatibles à ce à quoi nous nous attendions. En outre, un nombre conséquent d’études en la matière ont apportés des résultats contradictoires aux recherches antérieures, et n’en sont pas pour autant sans valeurs théoriques.
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