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Bijna waren we hem kwijt in ons land: de grauwe kiekendief, een van de sierlijkste roofvogels ter wereld. Tot halverwege de vorige eeuw was het onze meest algemene roofvogel, maar in 1990 was hij nagenoeg verdwenen.Totdat iemand een nest ontdekte in een Groningse akker. Die ene vondst ontketende een beweging waar de Werkgroep Grauwe Kiekendief uit ontstond en wat leidde tot een internationaal netwerk aan samenwerking, bescherming en onderzoek. En de grauwe kiekendief broedt nog altijd in ons land. Wat is het geheim achter dit succes? Wie zijn deze bevlogen ‘vogelredders’ en wat weten we nu van de grauwe kiekendief? Dit boek vertelt het hele verhaal.
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De slimste vogelgids behandelt 196 vogelsoorten die in België en/of Nederland broeden. Het gaat om zogenoemde regelmatige broedvogelsoorten: soorten die sinds het jaar 1900 in minstens tien aaneengesloten jaren met zekerheid in België en/of Nederland hebben gebroed. Een vraag die de auteur vaak gesteld krijgt, is waarom de keep, de koperwiek, de drieteenstrandloper of de regenwulp niet in het boek staan. Het antwoord is simpel: deze soorten zijn geen broedvogels, maar wintergasten. Er is dus nood aan een vogelgids die je tijdens jouw uitstapjes in de herfst en de winter mee op pad neemt. Een boek waarin je de wintergasten en doortrekkers vindt, maar ook de broedvogels die België en Nederland in de herfst niet verlaten en hier dus het hele jaar door te zien zijn, zoals goudhaan, vink, huismus, goudvink, merel, houtduif, groene specht en buizerd. De wintereditie van De slimste vogelgids neem je in de herfst en de winter mee op pad, de zomereditie in de lente en de zomer. Welke soorten mag je zoal verwachten in de wintergids? Dat zijn onder meer frater, grote barmsijs, ijsgors, sneeuwgors, keep, strandleeuwerik, pestvogel, bonte strandloper, bokje, koperwiek, steenloper, goudplevier, smelleken en nog vele andere. Troeven van beide vogelgidsen zijn onder meer de rangschikking van de vogels van klein naar groot, de dubbele pagina per vogelsoort, de foto’s die van een uitmuntende kwaliteit zijn en de aanwijsstreepjes in de foto’s die de belangrijkste kenmerken van de vogel aanduiden.
Fauna. Zoological determination guides --- Birds --- Netherlands --- Belgium
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Le busard des roseaux (Circus aeruginosus), le busard Saint-Martin (Circus cyaneus) et le busard cendré (Circus pygargus) sont trois espèces de busards présentes dans l’ouest de l’Europe lors de l’estive pour la reproduction. Menacés par la perte d’habitat naturel, ils pourraient au mieux s’adapter à des habitats de substitution et, au pire, disparaitre régionalement. Pour les protéger, trois mesures sont prises : la protection de leurs nids, la mise en place des mesures agro-environnementales et climatiques (MAEC), l’étude de l’évolution des populations. Dans le but de contribuer à l’amélioration de ces mesures de protection, ce travail tente d’identifier l’habitat de nidification potentiel des trois busards en Wallonie et dans le nord de la France entre 2010 et 2020. Les résultats montrent que l’habitat utilisé est très restreint par rapport à l'habitat disponible. Les AFM et HSM mettent en évidence l'importance des variables "occupation du sol", "altitude" et "densité d'habitants" sur la répartition des busards. Elles mettent également en évidence la faible importance de l'humidité et du réseau Natura 2000 sur ces mêmes répartitions. Les HSM, via des modèles combinés de trois algorithmes (GLM, RF et Maxent) et évalués par la méthode TSS et ROC permettent de générer des projections d’aires de nidification pour les trois espèces en Wallonie et dans le nord de la France. La comparaison des projections indique que le busard des roseaux présente la plus petite répartition potentielle de nidification, le busard cendré la plus grande et le busard Saint-Martin se situe entre les deux en raison de leurs différents niveaux de tolérance par rapport aux variables environnementales "altitude" et "densité de population". Enfin, il semblerait que les mesures agro-environnementales et climatiques aient un impact important sur la protection des busards en milieu agricole.
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La pie-grièche à tête rousse (Lanius senator ) est un oiseau migrateur qui fait escale chaque année sur l’île grecque d’Anticythère. Cette étape, commune chez les migrateurs longue distance afin de reprendre des forces, est pourtant peu étudiée par les spécialistes. L’objectif ici a été de déterminer la sélection d’habitat d’après la distribution de l’espèce dans ce milieu durant l’escale printanière. Sa répartition et son modèle de distribution ont été étudiés selon quatre variables environnementales : la distance à la côte, la pente, l'élévation et les habitats. Selon le modèle généré, la distance à la côte est la variable environnementale qui contribue le plus à la distribution des individus sur l’île. Toutefois, cette variable seule s’avère insuffisante pour expliquer cette répartition. Selon le modèle généré à partir des habitats, l’habitat qui contribue le plus à la distribution est celui des cultures abandonnées. Il est considéré comme un milieu semi-ouvert auquel les pies-grièches à tête rousse sont inféodées dans leur zone de reproduction. La sélection d’habitat de l’espèce a pû être supposée d’après ces résultats mais un manque de précision persiste sur l’utilisation du milieu qui pourrait être corrigé par la combinaison avec une étude de la sélection d'habitat à une échelle plus précise comme les types de végétaux. Pour améliorer les modèles générées il serait intéressant d’ajouter des variables environnementales supplémentaires afin de préciser le modèle de distribution de l’espèce et de combiner l’étude de la sélection d’habitat à différentes échelles.
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