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2020 (1)

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2004 (1)

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Film
Photo obsession
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2004 Publisher: [France] : 20th Century Fox,

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Abstract

Sy Parrish est un homme effacé qui dirige depuis des années un laboratoire photo de SavMart. Il vit seul et aime exercer son métier jusqu’à la perfection. Depuis des années, les Yorkin, la parfaite famille américaine, viennent lui porter leurs pellicules et Sy ne peut s’empêcher de suivre leur évolution à travers leurs photos. Mais un jour, le directeur de la grande surface le met à la porte alors que Sy vient de trouver une série de clichés montrant Will Yorkin en flagrant délit d’adultère. Perturbé par son renvoi et consterné par le comportement de ce père de famille, il décide d’agir… Mark Romanek fait sans aucun doute partie de ces réalisateurs issus du clip qui ont choisi une carrière autre que celle d'être un vulgaire fabricant d'images pour gros producteurs. Non pas que les clippeurs qui ont choisi l'option de faire du divertissement soient pour autant automatiquement mauvais, mais juste que Romanek, plus âgé que la moyenne des jeunes réalisateurs, a choisi de s'orienter vers un projet à part. Contrairement à beaucoup de ses collègues, il est également l'auteur du scénario de ce deuxième long métrage (le premier étant l'inconnu Static), qui se différencie légèrement des films du même genre. Adoptant le point de vue du maniaque plutôt que celui de la victime, Romanek dresse le portrait d'un personnage seul et traumatisé. Sans insister trop fortement sur les raisons de ses troubles, ne les révélant qu'à la toute fin, le réalisateur se distancie des récits habituels trop explicatifs. Cependant, l'ensemble reste malheureusement assez démonstratif sans véritablement être original. Etant tout à fait conscient de son statut en rien novateur, Romanek décide alors de jouer avec le spectateur en construisant un suspense plutôt malin aboutissant à un dénouement inattendu. La principale qualité du film restera son esthétique. Sans être remarquable ou révolutionnaire, la mise en scène sobre et soignée se marie au travail envoûtant du directeur de la photographie Jeff Cronenweth (Fight Club) et des compositeurs afin de conférer à l’œuvre une certaine dimension onirique. En accord avec la focalisation choisie, le spectateur se trouve dans le même monde que Sy Parrish. Une fois qu'il nous a tranquillement installés dans cet univers, Romanek crée le malaise par certaines scènes furtives, rappelant cruellement la réalité dérangeante de la nature du pauvre homme. Avec Death to Smoochy et Insomnia, qui doivent également sortir cette année, Robin Williams continue ici ces tentatives d'incarner des rôles à l'opposé de ceux dans lesquels on a l'habitude de le voir. Sa performance est authentiquement émouvante et c'est probablement là l'autre qualité de ce film. On assiste à la folie de ce personnage central avec un interprète littéralement habité par lui, les cadres du metteur en scène le replaçant constamment dans son propre petit univers.

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Film
Dark waters
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2020 Publisher: [Hilversum] : WW Entertainment,

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Abstract

En 1999, Robert Bilott est avocat à Cincinnati au sein de l'influent cabinet Taft, Stettinius & Hollister, spécialisé dans la défense des entreprises de l'industrie chimique. Wilbur Tennant, un fermier de Parkersburg en Virginie-Occidentale, prend alors contact avec lui. Le fermier, qui connait la grand-mère de Robert, l'implore de l'aider : son troupeau de vaches a été décimé et les animaux encore en vie présentent des lourdes séquelles. Son exploitation est située juste à côté du site Dry Run, appartenant à l'entreprise de produits chimiques DuPont. D'abord réticent, Robert Bilott accepte l'affaire, contre l'avis de quasiment tous ses proches. Il va peu à peu découvrir que toute la population locale est touchée. En effet, l’eau est polluée, notamment par la présence de PFOA utilisé pour des produits de la marque Téflon. Durant plusieurs années, il va tout tenter, quitte à mettre de côté sa carrière et sa famille.

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Film
Hedwig and the angry inch

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Abstract

"With this trailblazing musical, writer-director-star John Cameron Mitchell and composer-lyricist Stephen Trask brought their signature creation from stage to screen for a movie as unclassifiable as its protagonist. Raised a boy in East Berlin, Hedwig (Mitchell) undergoes a traumatic personal transformation in order to emigrate to the U.S., where she reinvents herself as an “internationally ignored” but divinely talented rock diva, characterized by Mitchell as inhabiting a “beautiful gender of one.” The film tells Hedwig’s story through her music, an eclectic assortment of original punk anthems and power ballads by Trask, matching them with a freewheeling cinematic mosaic of music-video fantasies, animated interludes, and moments of bracing emotional realism. A hard-charging song cycle and a tender character study, Hedwig and the Angry Inch is a tribute to the transcendent power of rock and roll."--

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