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Les contributions étudient l'adaptation d'œuvres théâtrales au cinéma et comment les réalisateurs s'approprient le matériau de la fiction théâtrale pour la réécrire, en déplacer les formes et les enjeux, jeter un autre regard sur elle. Le théâtre sait s'insinuer dans le langage cinématographique. Les langages et modes de représentation peuvent aussi s'entrelacer pour multiplier les vues.
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Depuis les années 1990, les pratiques théâtrales d'inspiration documentaire ne cessent de gagner en visibilité en divers points du globe. Les études et témoignages d'artistes rassemblés dans ce volume tentent de dégager des pistes pour des futures recherches en interrogeant l'originalité de certaines des démarches actuelles (verbatim anglo-saxon, teatro-narrazione italien, pratiques documentaires russes, ...) ainsi que les liens de filiation ou de rupture entretenus avec les modèles historiques expérimentés au XXe siècle.
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Durant la période 1870-1910, des femmes règnent sur les scènes européennes. Elles se nomment Sarah Bernhardt, Eleonora Duse, Polina Strepetova, Maria Savina, Maria Ermolova, Vera Komissarjevskaïa. La dimension mythique qu'elles acquièrent entre en dialogue avec l'affirmation, dans les textes dramatiques européens, d'un mythe de l'actrice. À travers ces actrices vues sur les scènes, starifiées par la presse, rêvées par la littérature et par le cinéma, la culture occidentale d'hier et d'aujourd'hui projette et interroge ses représentations de l'individu, de l'autre, du désir, mais également de la place de la femme dans l'espace public.
Actrices. --- Actrices de cinéma. --- Théâtre --- Histoire.
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Dès ses débuts, l’État soviétique entend remplacer le Russe du passé par un « homme nouveau », indispensable pour que se concrétise le projet bolchevik : créer un « monde nouveau », avec des rapports politiques, économiques, sociaux et même humains, fondamentalement modifiés. L’Homme nouveau est donc censé être, à la fois, le moyen, la condition, le résultat et le témoignage des changements entrepris. Or, c’est aux arts et à la culture que sont confiées les tâches de représenter cet Homme nouveau et, surtout, de le créer en « rééduquant » – tel était le terme employé – les ex-citoyens de l’Empire qui pouvaient l’être, les autres étant écartés d’une manière ou d’une autre. Après la mort de Staline (1953), le discours officiel reste inchangé pour l’essentiel, mais l’image du Soviétique dans les œuvres littéraires et artistiques, y compris celles autorisées par la censure, se modifie très nettement. En outre, de plus en plus de Soviétiques tentent, par l’art et la culture, d’échapper aux règles trop strictes encadrant la vie sociale. La culture se fait double, voire triple ; plus que jamais, elle multiplie les codes, les doubles sens, l’implicite. Les œuvres d’art et leur réception, des convictions et des goûts évoluent et se complexifient, derrière les slogans officiels rabâchés et les affiches de propagande auxquelles plus grand monde ne prête attention. Un processus de déconstruction de l’Homme nouveau s’observe, tandis que des mythes s’effritent. Et ces évolutions expliquent aussi pourquoi l’URSS n’a pas survécu à cinq années de Perestroïka.
History --- Cultural studies --- Staline --- communisme --- arts soviétiques
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