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Mauss, Marcel --- Social sciences and psychoanalysis --- Gifts --- Sciences sociales et psychanalyse --- Cadeaux --- Social aspects --- Aspect social --- Mauss, Marcel, --- 316.2 MAUSS, MARCEL --- Sociologische richtingen. Sociologische scholen. Sociologen--MAUSS, MARCEL --- 316.2 MAUSS, MARCEL Sociologische richtingen. Sociologische scholen. Sociologen--MAUSS, MARCEL --- Fait social --- Sociologie --- Critique et interprétation --- Sociologie. --- Fait social. --- Critique et interprétation. --- Social contract --- Mauss, Marcel, - 1872-1950. - Essai sur le don --- Mauss, Marcel, - 1872-1950
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Dans ses différentes tendances, même lorsqu'elles paraissent antagoniques, la sociologie contemporaine fait couramment retour à la pensée durkheimienne. Il y a là un paradoxe, le paradigme réputé le plus rigide étant celui que l'on s'approprie le mieux et le plus volontiers dans les débats actuels. Faut-il penser que ses principes étaient en fait assez lâches, voire inconsistants ? Les études réunies dans ce livre vont dans le sens contraire : c'est en revenant à la radicalité de cette pensée, et en la comprenant à rebours des lieux communs que dispense la doxographie - le culte objectiviste du " fait ", le sociologisme réducteur, la fiction de la " conscience collective " - que sa fécondité se mesure.Les concepts originaux autour desquels elle se construit engagent une redéfinition complète des phénomènes politiques, juridiques et moraux. Une théorie sociale s'affirme, opposée aux courants dominants de la philosophie de son époque, qui modifie de fond en comble les questions relatives aux formes de la pensée et de l'action, à la nature des normes, à la constitution de l'individualité et de la personne, au statut de la vérité.Avec elle, d'un seul et même mouvement la sociologie s'érige en discipline scientifique et marque la singularité de son geste spéculatif - geste auquel les courants contemporains sont conduits à revenir afin de creuser leurs lignes de force.
Individualism --- Durkheimian school of sociology --- Individualisme --- Ecole durkheimienne de sociologie --- Durkheim, Emile, --- Criticism and interpretation --- Durkheim, Émile, --- Sociologie. --- Durkheim, Émile --- Critique et interprétation. --- Criticism and interpretation. --- Sociology --- #SBIB:316.20H32 --- General Social Development and Population --- Social theory --- Social sciences --- French sociologists (Durkheimian school) --- Schools of sociology --- De sociologie van Emile Durkheim: secundaire bronnen --- Durkheim, Émile, --- Tʻu-erh-kan, --- Di︠u︡rkem, E., --- Durkheim, David Émile, --- Di︠u︡rkgeĭm, Ėmilʹ, --- Dyurukēmu, Emīru, --- Durkheim, Emilio, --- Dirkem, Emil, --- Durkheim, Émile, - 1858-1917
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Les juifs sont juifs en Moïse, qui ne l'était pas. Ainsi se résume la proposition scandaleuse de Freud. Scandaleuse pour les juifs sans doute, mais aussi pour la culture occidentale tout entière, où la singularité comme la persistance de ce peuple se donnent toujours comme une énigme. De quoi est faite l'idée de peuple dont nous héritons ? Comment se transforme-t-elle depuis l'irruption monothéiste où interviennent conjointement les trois instances du grand homme, du Dieu unique, et du peuple élu '? Questions qui deviennent plus insistantes encore lorsque les modernes en viennent à se définir, avec Rousseau, à partir de l'"acte par lequel un peuple est un peuple" - non sans admettre que l'art du grand législateur est plus pour eux qu'un ancien souvenir, mais une source dont ils voudraient de nouveau bénéficier à l'heure où ils prétendent se donner à eux-mêmes leurs lois.C'est pourquoi, en dépit de l'incertitude qui plane sur son existence, le législateur mosaïque n'a de cesse de hanter la conscience moderne. En lui se mêlent deux interrogations : comment se constitue l'expérience politique occidentale, et quelle place vient occuper le peuple juif dans cette histoire, sachant qu'elle est évidemment traversée par des lignes culturelles hétérogènes, et marquée décisivement par le christianisme ? Une lecture du dernier livre de Freud permet d'affronter ces deux questions, pour autant que l'on s'efforce d'en restituer la portée politique
Monotheism. --- Psychology, Religious. --- Psychoanalysis --- Judaism --- Monothéisme --- Psychologie religieuse --- Psychanalyse --- Judaïsme --- History. --- Histoire --- Freud, Sigmund, --- Moses --- Judaism and psychoanalysis --- Moïse (personnage biblique) --- Et les Juifs --- Moïse --- Freud, Sigmund --- Monothéisme --- Judaïsme --- Et les Juifs. --- Freud, Sigmund, - 1856-1939 - Mann Moses und die monotheistische Religion --- Moses - (Biblical leader)
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À l'origine, avec Socrate, la philosophie est une forme singulière de discours par lequel, selon les termes de Max Weber, on "coince quelqu'un dans un étau logique ". Acte politique de résistance à un certain dévoiement de la parole publique et politique, le dialogue philosophique exige de ses interlocuteurs non plus qu'ils se conforment à un type de vérité susceptible d'exposition doctrinale, mais qu'ils entrent dans sa recherche commune - que la vie commune se reconfigure à travers le type d'expérience dont la philosophie voudrait dégager le socle. Or, avec l'émergence des sciences sociales au XIXe siècle, la situation change du tout au tout. La sociologie et les autres sciences sociales s'emparent, à l'âge démocratique, de la connaissance relative au gouvernement des hommes, aux groupements qu'ils forment, aux liens qui les rassemblent, aux régimes de pensée et d'action qu'on peut y rattacher. Auguste Comte appelle à passer de la philosophie métaphysique à une autre philosophie, positive, dont la seule fonction, ancillaire et résiduelle, est d'aider à la clarification et à l'articulation méthodologiques des travaux scientifiques. L'enfermement des disciplines institutionnalisées dans leur champ respectif a fait le reste et convaincu chacune d'entre elle que la philosophie était seconde par rapport à leur rationalité propre. Assurément, les sciences sociales ont réalisé à leur tour quelque chose d'analogue à ce qui s'était passé dans la Grèce ancienne : elles tentaient d'imposer un nouvel " étau logique " au discours public, opposaient leur résistance mentale et normative à une conjonction délétère entre parole et pouvoir politique, et en définitive, n'ont depuis lors cessé de vouloir modifier la perception que les individus ont de leur existence dans la situation sociale et politique qui est la leur, en même temps que de trouver une manière d'agir sur et dans cette situation. C'est justement à l'articulation de ces disciplines et ambitions, montre Bruno Karsenti, que la philosophie doit se déployer : si le discours des sciences sociales est bel et bien requis par le développement des sociétés modernes en ce qu'elles sont vraiment démocratiques, la philosophie se doit, elle, d'interroger cette exigence par delà toute contrainte imposée par la division en disciplines particulières.
Political science --- Sociology --- Science politique --- Sociologie --- Philosophy. --- Philosophie --- Philosophy --- Political philosophy --- Political science - Philosophy --- Sociology - Philosophy
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Depuis l’entrée dans l’âge moderne de l’émancipation, c’est-à-dire depuis l’époque des Lumières et de la Révolution française, on admet en général que les juifs ont brisé un carcan qui les confinait dans des communautés fermées pour participer à la modernité européenne sans se renier et tout en restant juifs. Comment ce cheminement a-t-il eu lieu ? Qu’a-t-il réellement impliqué, à la fois pour les juifs et pour les sociétés auxquelles ils s’intégraient ? Bruno Karsenti reprend le fil de ce récit. Sous l’angle philosophique, il examine les opérations intellectuelles par lesquelles certaines figures d’exception – écrivain (Heine), sociologue (Durkheim), historiens (Salvador, Bloch), philosophe (Strauss) et linguiste (Benveniste) – sont entrées dans cette modernité, au prix de quelles tensions et de quels efforts : comment ces hommes ont-ils pensé les liens entre judaïsme et modernité, et comment par là ont-ils éclairé les principes des sociétés démocratiques qui sont aujourd’hui les nôtres ? À l’heure où les juifs d’Europe sont inquiets de leur avenir jusqu’à être parfois poussés au départ, à l’heure aussi où théologie et politique, loin de régler leurs rapports, se conjuguent en menace pour les démocraties elles-mêmes, ce livre cherche à redonner tout son sens à l’émancipation sociale et politique qui est notre héritage.
Jewish philosophy --- Jews --- Jews in literature --- Philosophie juive --- Juifs --- Juifs dans la littérature --- Emancipation --- Identity --- Cultural assimilation --- Identité --- Acculturation --- Question juive. --- Intellectuels juifs --- Émancipation --- Question juive
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La sociologie n'est pas un savoir quelconque. Dans son statut scientifique, elle entretient un rapport à la politique qui, loin d'être extérieur, touche à sa définition même. Voulue par une société déterminée, à un moment déterminé de son histoire, la sociologie a surgi sur l'onde de choc de la Révolution française comme un savoir manquant, une tâche à remplir pour que la politique moderne puisse enfin s'accomplir. Son but fut d'abord d'élever la pensée à la hauteur du grand défi lancé par la Révolution : faire de la société le sujet de ses propres transformations, lui fournir les moyens d'agir sur elle-même. Bruno Karsenti explore ici cette refondation de la politique au prisme de l'œuvre d'Auguste Comte. Grâce à Comte, une alternative s'ouvre, en marge des conceptions qui dominent et structurent le débat public, où les conditions de fonctionnement des sociétés post-révolutionnaires sont projetées en pleine lumière. A l'appui d'une conception de l'esprit radicalement nouvelle qui culmine dans une anthropologie, il s'agit de déployer sans fléchir toutes les conséquences du fait qu'une société parvienne au gouvernement d'elle-même. Et il s'agit aussi, en contrepoint, de rendre plus apparents nos propres évitements, lorsque nous nous contentons d'une acception convenue, et au fond peu exigeante, de la démocratie.
Positivisme. --- Philosophie sociale. --- Sociologie et philosophie. --- Comte, Auguste --- Sociology - History - 19th century --- Social sciences - History - 19th century --- Comte, Auguste, - 1798-1857 --- Sociology --- Political science --- Sociologie --- Science politique --- Philosophy. --- Philosophy --- Philosophie --- Comte, Auguste, --- Political and social views. --- Social sciences
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Depuis l'entrée dans l'âge moderne de l'émancipation, c'est-à-dire depuis l'époque des Lumières et de la Révolution française, on admet en général que les juifs ont brisé un carcan qui les confinait dans des communautés fermées pour participer à la modernité européenne sans se renier et tout en restant juifs. Comment ce cheminement a-t-il eu lieu ? Qu'a-t-il réellement impliqué, à la fois pour les juifs et pour les sociétés auxquelles ils s'intégraient ? Bruno Karsenti reprend le fil de ce récit. Sous l'angle philosophique, il examine les opérations intellectuelles par lesquelles certaines figures d'exception – écrivain (Heine), sociologue (Durkheim), historiens (Salvador, Bloch), philosophe (Strauss) et linguiste (Benveniste) – sont entrées dans cette modernité, au prix de quelles tensions et de quels efforts : comment ces hommes ont-ils pensé les liens entre judaïsme et modernité, et comment par là ont-ils éclairé les principes des sociétés démocratiques qui sont aujourd'hui les nôtres ? À l'heure où les juifs d'Europe sont inquiets de leur avenir jusqu'à être parfois poussés au départ, à l'heure aussi où théologie et politique, loin de régler leurs rapports, se conjuguent en menace pour les démocraties elles-mêmes, ce livre cherche à redonner tout son sens à l'émancipation sociale et politique qui est notre héritage.
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« Ce que Dieu ou l'idée de Dieu est actuellement capable de déclencher provoque dans l'opinion éclairée de l'effroi. Face aux violences de l'époque qui s'en réclament, elle réagit par conjuration, affirmant soit qu'il n'y a pas de Dieu, soit que Dieu ne s'y trouve pas. Pour elle, la place de Dieu n'est pas dans la politique : le théologique et le politique n'ont en aucun cas partie liée. Ce livre prend un autre point de vue. Il cherche à fournir une parade à notre désemparement sans esquiver le problème théologico-politique contemporain, en le traduisant en termes socio-politiques. Pour cela, il ne fixe pas une fois pour toutes la place de Dieu – dans ou hors de la politique – mais suit les variations de son tracé au sein des sociétés modernes selon le sens de la justice qui les anime. Cette généalogie des nouages entre Dieu et l'idée moderne de justice a pour enjeu de retrouver une prise là où, aujourd'hui, nous vacillons le plus. »--
Religion et politique -- Europe --- Religion et politique --- Religions abrahamiques --- Modernité. --- Aspect politique. --- Abrahamic religions --- God --- Religion and politics --- Religion and sociology --- Religion and state --- Civilization, Modern --- Dieu --- Sociologie religieuse --- Religion et État --- History of doctrines. --- Religious aspects. --- Europe
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