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Theiler’s murine encephalomyelitis virus (TMEV of “Theiler’s virus”) is a murine Picornavirus, member of the Cardiovirus genus. Strains of Theiler’s virus are classified into two subgroups according to the pathology caused by these viruses when they reach the central nervous system of their host: either acute neurovirulence or viral persistence accompanied by a chronic demyelinating disease.
This work aimed to analyze the subcellualr localization of the 2A protein encoded by Theiler’s virus with the hope to collect some hint about the function of this protein. Little is know about the role of this protein. Its C-terminal domain is know to participate tit ho maturation cleavage occurring between regions 2A and 2B the viral polyprotein. Except for this C-terminal domain, protein 2A was shown to be dispensable for replication of the viral genome. Using immunofluorescent labelling with a polyclonal anti-2A antibody, we showed that protein 2A can be present in both the cytoplasmic and nuclear compartments of infected cells. Part of the cells exhibited a clear staining of protein 2A in the nucleoli. Nucleolar localization of protein 2A was confirmed by co-localization of this protein with the nucleolar B23 protein, as assessed by confocal microscopy.
Infection of cells with mutant viruses showed that nucleolar targeting of protein 2A is independent of the presence of the viral L protein with which it might interact. A positively charged segment of protein 2A appears to be important for nucleolar targeting. However, 2A-eGFP fusion proteins failed to be detected in the nucleoli of transfected cells Le virus de Theiler fait partie du genre des Cardinovirus appartenant à la famille des Picornaviridae. Les différentes souches du virus de Theiler sont classées en deux sous-groupes, les souches neurovirulentes et les souches persistantes, selon la pathologie qu’elles induisent.
L’objet de ce mémoire était d’étudier la localisation subcellulaire de la protéine 2A codée par le virus de Theiler, dans l’espoir d’en tirer des informations sur la fonction de cette protéine. Pau de choses sont connues sur la protéine 2A. Elle est constituée de 133 acides aminés et participe au clivage co-traductionnel de la polyprotéine virale qui survient entre les protéines 2A/2B. Elle n’est pas indispensable pour la réplication du génome viral.
Par immuno-fluorescence à l’aide d’un anticorps polyclonal dirigé contre la protéine 2A, nous avons montré que cette protéine peut être détectée dans le cytoplasme et le noyau des cellules infectées. De plus, la protéine 2A est détectée dans les nucléoles d’une proportion non négligeable de cellules. Cette localisation est confirmée par une co-localisation avec le protéine nucléolaire B23, observée en microscopie confocale.
L’utilisation de virus mutants indique que la localisation nucléolaire de la protéine 2A ne dépend pas de la présence de la protéine L du virus, avec laquelle elle pourrait interagir. Une région de la protéine 2A, riche en acides aminés chargés positivement, semble être requise pour l’adressage nucléolaire de cette protéine. Cependant, des fusions eGFP-2A et 2A-eGFP exprimées à partir de vecteurs d’expression ne montrent pas de localisation nuléolaire.
Enfin, nos données montrent que l’expression de la protéine 2A est toxique pour les cellules, bien que cette toxicité semble plus faible que celle de la protéine L. Les effets toxiques de ces deux protéines semblent s’additionner lorsque les deux protéines sont en présence
Theilovirus --- Virion
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Notre étude a contribué à mettre en évidence les effets d’un traitement chronique au valproate au niveau de différentes structures et composants subcellulaires de foie et de rein. Cet agent antiépoleptique hépatotoxique, qui a été incriminé dans la survenue d’accidents mortels, induit des perturbations métaboliques multiples. Une des plus importantes d’entre elles, déjà rapportée par de nombreux auteurs, est probablement l’inhibition de la β-oxydation mitochondriale. Diverses conséquences découlent de ce blocage. Tout d’abord, la production d’ATP par l’hépatocyte doit provenir en plus grande proportion d’autres voies, comme le cycle de Krebs. Nous avons montré que certaines enzymes de ce cycle étaient stimules par le valproate. L’important flux d’acides gras vers le foie doit trouver d’autres débouchés. Une partie d’entre eux reformera des triglycérides, qui, s’ils ne sont pas réexportés sous forme de VLDL, contribueront à la stéatose hépatique. On peut aussi imaginer que les voies alternatives du catabolisme des acides gras vont être stimulées. Il existe essentiellement deux voies métaboliques alternes : les acides gras peuvent subir la β-oxydation peroxysomiale, qui formera des acides gras à chaîne moyenne. Ils peuvent également être substrats de l’oméga-oxydation dont la première étape se fait au niveau du réticulum endoplasmique et nécessite le cytochrome P-450. les produits oméga, oméga-1 et oméga-2 hydroxylés pouvant, après oxydation en acides dicarboxyliques, être à leur tour substrats de la β-oxydation peroxysomiale.
Nous avons montré qu’un traitement au valproate avait un effet sur ces deux voies : non seulement il induit une prolifération peroxysomiale, mais encore il stimuler l’activité d’enzymes impliquées dans cette β-oxydation. En outre, nous avons suffisamment souligné son effet sur les cytochromes P-450 et b5, deux hémoprotéines impliquées dans l’oméga-oxydation des acides gras.
Ces premiers résultats nous ont permis d’entrevoir l’existence d’un lien entre les nombreuses perturbations biochimiques occasionnées par cet agent antiépileptique. Une analyse plus fouillée et des expériences complémentaires nous permettront sans doute de mieux comprendre les mécanismes responsables des manifestations toxiques observées. Nous pensons en premier lieu à des études enzymatiques sur préparation enrichies en organites intracellulaires et à une analyse chromatographique des acides gras microsomiaux. L’étude des mitochondries isolées permettrait de mieux préciser les effets sur les enzymes du cycle de Krebs et de la chaîne des phosphorylations oxydatives. Elle permettrait également de mesurer l’utilisation de substrats par ces organites, soit grâce à l’oxydation de ferricyanure de potassium, selon la technique d’Osmundsen & Bremer (1977). L(étude pourrait aussi porter sur une fraction enrichie en peroxysomes dans laquelle l’utilisation des acides gras, des oméga-hydroxyacides et des acides dicarboxyliques serait mesurée. L’étude d’une fraction enrichie en peroxysomes dans laquelle l’utilisation des acides gras, des oméga-hydroxyacides et des acides dicarboxyliques serait mesurée. L’étude d’une fraction enrichie en microsomes immobilisés soumis à un flux de substrats pourrait révéler l’importance métabolique de ce compartiment subcellulaire.
Une meilleure compréhension de l’effet du valproate sur l’oméga-oxydation s’avère indispensable : ce sujet est neuf et d’un intérêt tout particulier puisqu’on a montré que c’est par cette voie que sont produits les métabolites stéatogènes (Rettie et al., 1987).
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Deoxycytidine kinase (dCK) catalyzes the phosphorylation of deoxycytidine, deoxyadenosine and deoxyguanosine, using ATP or UTP as phosphate donor. This is the rate-limiting reaction in the salvage of deoxyribonucleosides, which supplies cells with dNTPs for DNA synthesis. In addition, dCK phosphorylates and activates a number of nucleoside analogues used in anticancer and antiviral chemotherapy. Studies of the mechanisms that control the activity of the enzyme are thus of particular interest. Recently, it has been demonstrated in our lab that dCK is a phosphoenzyme containing at least four phosphorylation sites. Moreover, phosphorylation of Ser-74 was found to be essential for the control of dCK activity. However, the signalling pathway leading to the phosphorylation and the activation of dCK is not known yet.
The first objective of my study was to analyze in EHEB cells whether GSK-3 was implicated in the regulation of dCK. Indeed, TDZD-8, a specific inhibitor of GSK-3, was able to suppress the activation of dCK induced by the nucleoside analogue 2-chloro-2’-deoxyadenosine (CdA). First, we have shown that TDZD-8 also reduced the activation of dCK induced by several other genotoxic agents, such as genistein and aphidicolin. However, other inhibitors of GSK-3, such as Li+ and alsterpaullone, were unable to reduce dCK activation by CdA or others agents, despite the fact that they were found to inhibit GSK-3 in vitro as well as in intact cells. These results disagreed with a role of GSK-3 in the regulation of dCK activity. This conclusion was strengthened by our observation that CdA, which activates dCK, did not modify GSK-3 activity. Moreover, GSK-3 was not able to phosphorylate recombinant dCK in vitro. Concerning the TDZD-8, we have shown that its effect in intact cells could neither be explained by a direct effect on dCK activity nor by inhibition of CdA metabolism. Thus, we suggest that TDZD-8 reduces dCK activation not via inhibition of GSK-3, but via inhibition of another protein kinase that remains to identify.
The second step of our study was to examine whether the transcription factor p53 was involved in the regulation of dCK activity. Indeed, it had been reported that pifithrin-, a pharmacological inhibitor of p53, abolished the activation of dCK by CdA. The hypothesis of a role of p53 in the control of dCK activity was attractive because the majority of the agents that activate dCK are genotoxic and induce p53 activation. However, the effect of pifithrin- reported in the literature was not reproduced in our lab. Moreover, we showed that elevation of p53 was not always followed by an activation of dCK. Finally, we noted that inhibition of protein kinases responsible for the phosphorylation and the activation of p53 did not affect dCK activation by CdA. Taken together, these results indicate that the p53 pathway is not involved in the control of dCK activity. La désoxycytidine kinase (dCK) catalyse la phosphorylation de la désoxycytidine, de la désoxyadénosine et de la désoxyguanosine, l'étape limitante de la voie de récupération des désoxynucléosides qui mène à la formation des dNTPs, précurseurs de l'ADN. En plus de ce rôle physiologique, la dCK phosphoryle et active un grand nombre d'analogues de nucléosides utilisés en chimiothérapie anticancéreuse et antivirale, d'où l'intérêt porté à cette enzyme. Il a été récemment démontré au laboratoire que l'activité de la dCK était régulée par phosphorylation, en particulier de la Ser-74. La voie de signalisation qui mène à la phosphorylation et l'activation de la dCK n'est cependant pas encore élucidée.
Le premier objectif de mon travail était d'analyser si la GSK-3 était impliquée dans la régulation de l'activité de la dCK. En effet, un inhibiteur spécifique de cette protéine kinase, le TDZD-8, était capable de supprimer l'activation de cette enzyme provoquée par l'analogue de nucléoside 2-chloro-2'-désoxyadénosine (CdA). Nous avons commencé par montrer que le TDZD-8 supprimait aussi l'activation de la dCK induite par d'autres agents génotoxiques, comme la génistéine et l'aphidicoline. Malheureusement, ces effets ne purent être reproduits par d'autres inhibiteurs de la GSK-3 (Li+, alsterpaullone, SB-216763), qui pourtant semblaient efficaces aussi bien in vitro que dans la cellule intacte. Ces résultats mettaient en doute un rôle de la GSK-3 dans la régulation de la dCK. D'autre part, la GSK-3 n'est pas capable de phosphoryler directement la dCK recombinante in vitro. De plus, la CdA qui active la dCK ne modifie pas l'activité de la GSK-3, ainsi que nous l'avons constaté après avoir mis au point le dosage de cette protéine kinase. Nous en concluons qu’il est peu probable que la GSK-3 joue un rôle dans la régulation de l'activité de la dCK. Quant à l'effet du TDZD-8, nous avons montré qu'il ne peut s'expliquer ni par un effet direct sur l'activité de la dCK, ni par une inhibition du métabolisme de la CdA. Nous suggérons qu'il inhibe une autre protéine kinase que la GSK-3, qui serait elle réellement impliquée dans le contrôle de l'activité de la dCK.
Le second objectif de mon travail était d'examiner si le facteur de transcription p53 jouait un rôle dans la régulation de l'activité de la dCK. La littérature rapportait en effet que l'activation de la dCK par la CdA était supprimée par la pifithrin-, un inhibiteur de l'activité transcriptionnelle de p53. Cette hypothèse était plausible puisque la plupart des agents qui activent la dCK sont génotoxiques et activent p53. D'une part, l'effet de la pifithrin- décrit dans la littérature n'a pu être reproduit au laboratoire. D'autre part, nous avons montré que l'activation de p53 n'était pas toujours suivie d'une activation de la dCK. Finalement, l'inhibition des protéines kinases responsables de la phosphorylation et de l'activation de p53 n'affecte pas l'activation de la dCK. Ces résultats suggèrent que la voie p53 n'est pas impliquée dans le contrôle de l'activité de la dCK.
glycogen synthase kinase 3 beta --- Tumor Suppressor Protein p53 --- Deoxycytidine Kinase --- Dideoxyribonucleases --- Humans --- Tumor Cells, Cultured --- Leukemia, Lymphoid
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