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Informatique --- Computer science. --- Communication --- Communication --- Communication non verbale --- Télécommunication --- Relation interpersonnelle --- Réalité virtuelle --- Dynamique de groupe --- Personnalité --- Motivation --- media --- évaluation --- Communication --- Communication --- Communication non verbale --- Télécommunication --- Relation interpersonnelle --- Réalité virtuelle --- Dynamique de groupe --- Personnalité --- Motivation --- media --- évaluation
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But de l’étude : cette étude a pour but d’analyser comment les détenus en fin de peine perçoivent le travail et la formation en tant qu’éléments centraux d’un processus de (ré)insertion. Echantillon et méthodologie : l’échantillon est composé de douze hommes condamnés à des peines de plus de trois ans et qui sont, soit toujours incarcérés et admissibles à la libération conditionnelle et/ou à la surveillance électronique, soit qui sont sous ces mesures judiciaires. Les données étant qualitatives, elles ont été recueillies via des entretiens semi-dirigés. Résultats : les résultats montrent que les formations consécutives à un emprisonnement de longue durée intéressent peu (voire pas) les détenus. Les participants nous ont rapportés préférer se (ré)insérer en travaillant plutôt qu’en se formant. Les personnes interviewées trouvent plusieurs avantages à travailler mais peu d’inconvénients. Conclusion : plusieurs pistes de solution s’appuyant sur des cas réels s’offrent à nous : les maisons de transition, la favorisation des formations intra-muros, la considération du travail pénitentiaire comme outil de (ré)insertion, l’instauration de programmes accompagnant le détenu pendant et après sa détention. Tout cela pourrait augmenter la (ré)insertion et diminuer la récidive. Objective : this study aims to analyze how inmates at the end of their sentence perceive work and training as central elements of a (re)integration process. Sample and method : the sample is composed of twelve men sentenced to more than three years and who are either still incarcerated and eligible for parole and/or electronic supervision, or who are under these judicial measures. The data being qualitative, they were collected through semi-structured interviews. Results : the results show that training following long-term imprisonment is not appealing to inmate (if ever). Participants reported that they would prefer to (re)integrate by working rather than forming. Interviewees find several advantages of working but few disadvantages. Conclusion : several potential solutions based on actual cases are available : the halfway houses, promoting intramural training, consideration of prison work as a (re)integration tool, the introduction of progams accompanying the inmate during and after his detention. All of this could increase (re)integration and reduce recidivism.
travail --- formation --- réinsertion --- détenus --- récidive --- work --- training --- reintegration --- inmates --- recidivism --- Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie
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.Avez-vous déjà songé à ce que pouvaient ressentir les professionnels qui sont présents au quotidien pour aider les personnes en demande d’aide ? Pensez-vous que côtoyer la souffrance, journellement, a un quelconque impact sur eux ? Dans ce travail, nous nous sommes intéressés aux facteurs psychosociaux qui peuvent engendrer de la souffrance/ mal-être chez les assistants sociaux de l’aide aux victimes de Belgique francophone. Malheureusement, au vu des mesures gouvernementales liées au Covid-19, nous n’avons pas pu réaliser des entretiens semi-directifs. Malgré tout, nous avons créé un questionnaire en ligne pour récolter nos données. Nous avons pu, à l’aide de notre enquête affirmer que ces professionnels éprouvent de la souffrance/mal-être et que certains facteurs de risques affectent leur quotidien. Certains paramètres peuvent être mis en avant tels que manque de temps, les conflits entre valeurs et missions, les relations professionnelles, etc. Néanmoins, les diverses constatations suite à notre étude laissent sous-entendre que ces personnes ont toujours la même envie au fond d’eux: aider les autres, et ce, malgré les obstacles et les difficultés.
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La contamination d'une personne au coronavirus en Chine fin de l'année 2019 a provoqué la plus grande paralysie mondiale jamais constatée. En Belgique, la population a été confinée du-rant de nombreux mois afin de lutter contre la propagation de ce virus. Près d'un an après les premières mesures prises par le Gouvernement, nous sommes toujours confrontés à un confi-nement "strict". Le coronavirus n'a épargné aucune catégorie de la population, mais il affecte particulièrement les jeunes : ils sont les premiers à subir les conséquences psychologiques et sociales de la pandémie. Le but de cette recherche à caractère exploratoire est de tenter de ré-pondre à la question de recherche suivante : "Quelles sont les conséquences psychologiques et sociales des mesures de confinement sur les étudiants âgés de 18 à 25 ans durant la crise de la Covid-19 ?". Pour ce faire, nous avons interrogé dix jeunes via des entretiens individuels semi-dirigés ; la moitié de sexe féminin et l'autre moitié de sexe masculin, étudiants à la Haute Ecole ou à l'Université et inscrits dans un établissement scolaire pour l'année 2020-2021. Il ressort de cette étude que ces jeunes ont une santé mentale fragilisée, qu'ils font face à un parcours sco-laire "chaotique" et qu'ils sont inquiets pour l'avenir. Les raisons menant à ces états sont souvent complexes et toujours uniques mais ces jeunes gardent l'espoir de pouvoir reprendre une vie "comme avant".
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La violence en milieu médical et précisément en milieu psychiatrique est très présente mais pas suffisamment abordée du point de vue du personnel. il est donc question dans ce travail de faire ressortir les différentes stratégies mises en place pour prévenir et gérer cette violence.
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Objectif : Cette recherche a pour intention de relever et d’analyser les perceptions de la contrainte chez 14 justiciables sous sursis probatoire. Parmi les conditions à respecter, ceux-ci doivent entreprendre un suivi psycho-social. Nous nous sommes uniquement intéressés aux suivis psycho-sociaux réalisés par des psychologues ou des criminologues dans des services d’Aide Sociale aux Justiciables de l’arrondissement judiciaire de Liège. Méthode : De fin mars à début mai 2021, 14 entretiens individuels semi-directifs ont été menés sur base d’un guide d’entretien. Plusieurs thèmes ont été questionnés : la perception des faits commis, de la mesure probatoire, de la contrainte judiciaire ainsi que du suivi psycho-social. Résultats : La majorité de nos 14 participants reconnaissent les faits reprochés, la moitié ressent la contrainte judiciaire et malgré tout, 8 d’entre eux adhèrent à leur suivi psycho-social. Conclusion : Il faut tenir compte de la subjectivité des justiciables et du chercheur dans l’analyse des résultats. La perception de la contrainte n’impacte pas forcément de manière négative l’efficacité du suivi psycho-social et la motivation des justiciables. La posture d’adhésion est la plus présente, le sursis probatoire n’étant qu’un déclencheur.
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Ces dernières années les violences conjugales à l’ égard des femmes ont été l’objet de nombreuses campagnes de sensibilisation européennes et nationales via les médias et les campagnes d’affichages. Elles ont particulièrement ciblé les femmes pour leur faire prendre conscience de l’ampleur de la situation qu’elles pourraient vivre et pour leur donner des moyens d’action. Les femmes immigrées sont les plus vulnérables et victimes de ces violences conjugales. Cet article s’intéresse aux violences conjugales subies par ces dernières, comprises comme des femmes qui n’ont pas la nationalité de l’un des États européens mais sont mariées ou vivent en cohabitation avec un belge ou un résident belge. Ces dernières arrivées pour la plupart avec un statut souvent précaire sont confrontées à un dilemme entre choisir les papiers ou bien la sécurité. En effet une grande majorité de ces femmes venues des pays sous-développés, engagées soit dans le mariage soit dans la cohabitation légale supportent les violences à l’effet de préserver le droit au séjour qui dépend généralement de la poursuite de la vie commune avec leurs conjoints violents. Les politiques anti migratoires du pays d’accueil souvent très contraignantes pour ces femmes étrangères notamment l’obligation de consommer le mariage ou la cohabitation pendant au moins cinq (5) ans placent celles-ci dans une position très vulnérable. Ainsi l’on se doit de se questionner sur l’influence que le statut d’immigré peut avoir sur le vécu des violences conjugales faites aux femmes immigrantes. A l’analyse, suivant les méthodes administrées, le statut d’immigré place ces femmes immigrantes contrairement aux autres femmes dans une position sociale qui amplifie les risques de victimisation notamment la recherche d’un statut légal, la crainte de se retrouver dans la rue, la dépendance économique, la problématique linguistique du pays d’accueil et l’isolement social etc. Une analyse thématique a été faite sur la base de huit (8) entretiens semi-structurés auprès des femmes immigrantes victimes de violences conjugales âgées entre 25 et 35 ans. Elles ont permis de mettre leurs difficultés en perspective et de documenter l’évaluation qui est faite des risques que ces violences conjugales dans un contexte migratoire leur font vivre. Mots clés : statut d’immigré, violences conjugales, femmes immigrantes
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Ce travail de fin d'études explorera et investiguera l'impact de la crise covid sur le complotisme, l'éventuel lien du complotisme avec les mouvements extrémistes, religieux islamistes ou politiques comme extrême-droite ou extrême-gauche. La méthodologie de cette étude consistera en un questionnaire en ligne via la plateforme Google Forms. Ce questionnaire s'adressera à une population d'étudiants du supérieur (univesitaires ou haute-école) âgés de 18 à 26 ans. Cette étude de cas multiples sera constituée d'un échantillon non-probabiliste sur base volontaire.
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La réinsertion de personnes détenues et sortants de prison reste au cœur des débats dans ce domaine notamment ses moyens d’actions : la remise sur le marché de l’emploi et l’accompagnement psychologique. Ces deux moyens sont généralement imposés et considérés comme conditions sine qua non au bon déroulement d’une réinsertion. Qu’en pensent ceux qui travaillent chaque jour avec ce public à mettre en place ces projets ? Quel est l’intérêt de cette valeur travail et de cet accompagnement psychologique dans le processus de réinsertion des personnes détenues et sortant de prison ? Pour cette étude, nous avons interrogé 8 participants professionnels du milieu de la réinsertion travaillant au sein de Centre d’Insertion Socioprofessionnel ou d’un service d’Aide Social aux Justiciables et en contact avec notre public cible à l’aide d’un guide d’entretien préétabli. Il apparait, qu’à l’avis des personnes interrogés, la valeur travail prend beaucoup d’importance dans le processus de réinsertion au détriment d’autres méthodes pouvant se révéler tout aussi efficace, voire être un complément nécessaire. L’accompagnement psychologique, lui, est aussi bien vu comme quelque chose d’indispensable et aidant que comme un moyen de sortir plus rapidement d’incarcération. Les méthodes disponibles et mises en place aujourd’hui pour favoriser la réinsertion de personnes détenues et sortants de prison semblent encore avoir besoins d’ajustement pour prouver leur efficacité auprès des professionnels du milieu.
Réinsertion --- Valeur travail --- Détenus --- Emploi --- Accompagnement psychologique --- Psychologisation --- Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie
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La littérature scientifique actuelle souligne que les personnes autistes présentent un risque plus important de connaitre des évènements d’abus sexuels au cours de leur vie, que leurs pairs ne présentant aucun trouble du développement. L’objectif principal de ce travail est de comprendre pourquoi ces abus sexuels existent en plus grand nombres au sein de cette population. Pour ce faire, nous avons pris contact avec différentes structures médico-sociales françaises afin rencontrer des sujets porteur d’un trouble du spectre autistique et présentant peu ou pas de déficiences intellectuelles. Nous avons élaboré un guide d’entretien, que nous avons présenté à une population autiste. Nos résultats mettent en exergue que la présence d’un trouble du développement associé à des problèmes de communications, est étroitement lié à un risque de subir des abus sexuels plus important. Face à ces résultats, nous estimons qu’il est aujourd’hui nécessaire de proposer des dispositifs spéciaux aux victimes porteuses d’un handicap et ayant subis des abus sexuels.
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