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Thematology --- Utopias in literature --- Bible --- In literature --- 291.35 --- 221.06*7 --- 246 --- 246 Art et symbolisme chretiens --- 246 Christelijke kunst en symbolisme --- Art et symbolisme chretiens --- Christelijke kunst en symbolisme --- 221.06*7 Oud Testament: symbolisme --- Oud Testament: symbolisme --- 291.35 Heilige plaatsen: altaren; tempels; pagoden; kerken; moskeeën; bossen; grotten; heilige landen en steden --- Heilige plaatsen: altaren; tempels; pagoden; kerken; moskeeën; bossen; grotten; heilige landen en steden
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Version remaniée d'une thèse, cet essai aborde la thématique du mystère, qu'il soit profane ou religieux, dans l'oeuvre poétique de Saint-Pol-Roux. Le mystère établit, dans sa poésie, le rôle transfigurateur du poète et révèle l'être, permettant à l'écriture de refonder le réel à partir de l'imaginaton.
Mystery in literature --- French poetry --- Mystère dans la littérature --- Poésie française --- History and criticism --- Histoire et critique --- Saint-Pol-Roux, --- Mystère dans la littérature --- Poésie française
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Poetry --- French literature --- anno 1900-1999
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Saint-Pol-Roux occupe, à la charnière du XIXe siècle et du XXe siècle une position particulière : héritier du romantisme, disciple du symbolisme, il participe de « l’esprit nouveau » et prépare les recherches de la modernité poétique. Dans sa solitude bretonne, il se fait l’écho des recherches esthétiques de son temps, dans le domaine de l’écriture (surréalisme), de la musique (Beethoven, Wagner, Meyerbeer) et de la peinture (Gauguin et les nabis). C’est sa situation privilégiée de « passeur » et de médiateur que ce colloque a voulu étudier : passage du monde méditerranéen au monde celtique, de l’humble réalité aux images les plus audacieuses, de l’instant à l’éternel, du monde visible au « seuil du mystère »… Il s’agissait surtout de faire entendre la voix singulière qui fit résonner « un chant d’étoile et d’argile ensemble ».
Literature (General) --- Saint-Pol-Roux --- écrivain --- littérature --- littérature française
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Destin extraordinaire que celui du mystère ! Secret à ses origines, puis extrêmement populaire au Moyen Âge et de ce fait interdit en France. Quasi oublié dans les siècles qui suivent, toujours repris, souvent trahi, le genre du mystère ressurgit en force à la fin du xixe siècle un peu partout en Europe, et semble toujours bien vivace en ce début du xxie siècle. Mais les spectacles pluriels qu'il désigne, les pratiques théâtrales qu'il implique, n'affichent plus qu'un lointain rapport avec les modèles antique et médiéval. De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux. Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité.
Literature --- Renaissance --- mystère --- littérature
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La supplication est un discours risqué. Acte de langage de « la dernière chance », elle tente d'inverser un rapport de force, ne serait-ce que ponctuellement. On songe aux demandes de grâce, à toutes sortes de placets, aux supplications amoureuses. Et fondamentalement, la supplication dérange, elle a un caractère potentiellement importun et menaçant, puisqu'elle place l'interlocuteur devant la nécessité de répondre. Elle représente souvent une expérience limite pour les interlocuteurs comme pour les spectateurs. Avec le suppliant, entre sur la scène un spectre inquiétant : celui de l'infortune et du malheur, de la souffrance dont nul ne voudrait se tenir responsable – mais aussi la possibilité d'un autre système de valeurs. Elle représente en effet l'appel direct possible à une justice que le suppliant espère envers et contre tout. Son geste même la postule, même s'il ne l'argumente pas explicitement. Cette espérance (qui va du plus concret au plus eschatologique) fait toute la force de la supplication, et pousse celui qui n'a (plus) rien à parler aux puissants. Cette tension vers la justice peut participer à la constitution du présupposé pragmatique, au principe de son ethos : c'est justement l'absolue faiblesse qui autorise le pauvre à parler. Inversement, le supplié étant un puissant, se prête à ce rôle, dans la mesure où il entre dans la scénographie où l'attire le suppliant. Le travail sur le rapport de force suppose donc de subtils réglages en même temps qu'une extraordinaire ouverture à l'inédit du cœur humain. Qu'il soit écouté et exaucé ou non, le discours de la supplication se prête par excellence à une analyse des actes de langage qui puisse mettre en évidence l'articulation entre les mots (acte locutoire), l'acte (illocutoire) et les effets de la parole (perlocutoire). L'échec ou la réussite dépendent autant du cœur du supplié que de la pertinence des mots, de l'adaptation paradoxale aux circonstances sociales, juridiques, politiques, institutionnelles…
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