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Experimental films --- History and criticism --- Brecht, Bertolt --- Aesthetics.
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McKean, Dave --- (069) --- 741.5.07 --- Beeldverhalen ; d.m.v. fotografie ; schilderkunst, film, grafiek --- Dave McKean (° 1963, Taplow, Berkshire, Engeland) --- Stripverhalen ; Narcolepsy ; retrospectieve ; Dave McKean --- 753 --- grafische vormgeving --- illustraties --- (Musea. Collecties) --- Tekenkunst ; striptekenaars ; cartoonisten A - Z --- grafische vormgeving , geschiedenis, grafische vormgevers afzonderlijk --- 766.07 --- Grafische industrie en ontwerp (algemeen) ; grafisch ontwerpers (allround) --- beeldverhalen
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Atom Egoyan juxtapose des vidéos familiales de son fils Arshile avec un auto-portrait du célèbre artiste Arshile Gorky à l'aide de photos d'enfance durant le génocide arménien, commenté par Atom en anglais, et par sa femme Arsinée Khanjian en arménien.
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Emporté par une passion dévorante mais non partagée, le Dr Emmanuel Droz, neurologue méphistophélique et inventeur ayant découvert le secret de la résurrection, veut s'unir à jamais à la femme qu'il aime, la belle cantatrice Malvina van Stille. Afin de réaliser son dessein il la tue, l'enlève, puis la maintient dans un état de mort apparente. Droz engage l'accordeur de pianos Felisberto pour réviser ses instruments, des automates actionnés par les marées qui gouvernent mystérieusement le rythme de la vie dans sa propriété isolée sur les bords de l'océan, la Villa Azucena. Felisberto découvre peu à peu l'intention du docteur : mettre en scène un "opéra diabolique" qui enchaînera la destinée de Malvina. Il se jure secrètement de la sauver, mais se trouve en fait lui-même pris au piège dans l'univers pervers de Droz.
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Steroid hormones --- Immunoassay --- Radioimmunoassay --- Steroids --- Analysis --- Congresses --- congresses --- analysis --- congresses. --- Steroid hormones - Analysis - Congresses --- Immunoassay - Congresses
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Les apparitions magiques de sa femme défunte et de son fils disparu depuis des années confirment à Oncle Boonmee que sa fin est proche. Dans son domaine apicole, entouré des siens, il se souvient alors de ses vies antérieures. Accompagné de sa famille, il traverse la jungle jusqu'à une grotte au sommet d'une colline, lieu de naissance de sa première vie. De cette première vie, Oncle Boonmee ne se souvient de rien, s'il était animal ou végétal, homme ou femme; mais il sait à présent qu'il est prêt à aborder la mort avec apaisement...
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L’institut Benjamenta, délabré et moribond, est une école de formation pour majordomes auxquels est perpétuellement enseignée la même et unique leçon. Jakob, qui vient de s’inscrire, erre parmi les couloirs labyrinthiques de l’institut, essayant de percer les mystères de la vie des occupants hagards de cet étrange établissement… Les frères Quay se sont fait un nom dans le domaine du court-métrage basé sur l’animation de marionnettes. Toutefois, ces œuvres avant-gardistes ne sont aucunement destinées au jeune public et constituent plutôt des expérimentations dignes de figurer dans des expositions d’art contemporain. Avec Institut Benjamenta, ils se lancent en 1995 pour la première fois dans le domaine du long-métrage live et adaptent pour cela un roman de Robert Walser intitulé Jakob von Gunten. Cet écrivain suisse de langue allemande décrit dans son roman datant de 1909 les différentes étapes qui permettent à un homme de devenir un domestique. Le lecteur suivra donc la dissolution progressive d’un être humain dans sa fonction et non l’affirmation de sa personnalité, comme dans la plupart des romans traditionnels. Toutefois, les amateurs du bouquin seront pour le moins étonnés de ne pas retrouver grand-chose de l’œuvre originale dans un film qui se veut avant toute chose une expérimentation visuelle et auditive. Loin de proposer une structure narrative claire, les frères Quay préfèrent laisser errer leurs personnages au fil de séquences plus ou moins oniriques. Dans ce délire visuel qui s’appuie sur un splendide noir et blanc de Nicholas Knowland, les acteurs ne sont plus que des modèles qui n’expriment rien. On pense au cinéma formaliste de Peter Greenaway, Guy Maddin ou Derek Jarman, tandis que le cadre de l’institut elle-même nous fait songer à La clepsydre de Wojciech Has. Malheureusement, les frères Quay se noient bien souvent dans leur esthétisme de pacotille et oublient de proposer autre chose qu’un bel objet en papier glacé. Oubliant de raconter une histoire ou même d’approfondir une thématique pourtant intéressante (une sorte de traité sur la servitude volontaire), les frangins livrent une œuvre à la beauté transcendantale inversement proportionnelle à la profondeur du propos. Devant tant de préciosité, il n’est pas interdit de s’ennuyer ferme, entre deux séquences réellement ébouriffantes.
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