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Un ogre, pas très bien rasé, avec deux enfants vivants dans son garde-manger, veut répudier son épouse pour se marier avec une demoiselle qu'il tient captive dans une chapelle. Deux chevaliers partent le combattre : l'un a un lion, l'autre pas, et tous deux portent des pantalons en toile de Gênes.Eugène Green nous livre ici une chanson de geste moderne (à plus d'un titre). La "diction blanche" n'est peut-être pas ici ce qu'il y a de plus troublant, mais c'est plutôt l'habillage moderne de ce récit de chevalerie qui interpelle. En plongeant des personnages de notre temps dans ce récit médiéval, Green pose sa réflexion sur le langage cinématographique. Sans jamais tomber dans l'intellectualisme ronflant, il parvient à insufler à son film un humour totalement décalé et improbable. Un film rare et sérieusement drôle coincé quelquepart entre "Perceval le Gallois" et "Holy Grail".

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"À 50 ans, Alexandre a derrière lui une brillante carrière d’architecte. En proie à des doutes sur le sens de son travail et sur son mariage, il part en Italie accompagné de sa femme, avec le projet d’écrire un texte qu’il médite depuis longtemps sur l’architecte baroque Francesco Borromini. En arrivant à Stresa, sur les rives du Lac Majeur, ils font la rencontre de jeunes frère et sœur, qui donneront un tout autre tour à cette échappée italienne".A l'écran : très belles images des architectures et des paysages italiens, accompagnées de commentaires et d'analyses sur le Baroque et la lumière, sur la rivalité entre Borromini et Le Bernin. Musique de Claudio Monteverdi.Le titre du film est une référence directe au nom de l'église Sant'Ivo alla Sapienza construite à Rome par l'architecte Francesco Borromini.

Image de l'architecture --- Architecture baroque --- Église --- Analyse de l'architecture --- Rapport lumière-architecture --- Histoire de l'architecture --- Image de l'architecte --- Couple --- Années 2010 --- Italie --- Stresa --- Rome --- Turin --- France

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Faces of English explores the phenomenon of increasing dialects, varieties, and creoles, even as the spread of globalization supports an apparently growing uniformity among nations. The book's chapters supply descriptions of Jamaican English in Toronto, English as an L2 in a South African mining township, Chinese and English contact in Singapore, unexpected, emergent variants in Canadian English, and innovations in the English of West Virginia. Further, the book offers some perspective on internet English as well as on abiding uniformities in the lexicon and grammar of standard varieties. In the analyses of this heterogeneous growth such considerations as speakers' sociolinguistic profiles, phonological, morpho-syntactic, and lexical variables, frequencies, and typological patterns provide ample insight in the current status of English both in oral and electronic communities. The opening chapter presents a theoretical framework that argues for linguistic typology as conceptually resourceful in accommodating techniques of analysis and in distinguishing the wide arrays of English found throughout the globe. One clear function for Faces of English is that of a catalyst: to spur studies of diversities in English (and in other languages), to suggest approaches to adapt, to invite counterargument and developments in analysis.

E-books --- Anglais (langue) --- Variation linguistique

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Music --- opera's --- Mozart, Wolfgang Amadeus

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