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Les lois Dadvsi, du 1er août 2006, Hadopi, du 12 juin 2009, et Hadopi 2, du 28 octobre 2009, ont constitué des épisodes d'un long et tumultueux feuilleton législatif. Par un dispositif particulier, il a été cherché à lutter contre le téléchargement illégal, dans le cadre des échanges peer to peer(" P2P ") notamment. Il est fait ici état des arguments et des points de vue échangés. La controverse est loin d'être close. Après l'adoption des textes, demeure le problème de leur application. Celle-ci est loin d'être garantie. De telles pratiques de téléchargement illégal portent atteinte aux droits des auteurs, des artistes-interprètes, des éditeurs et des producteurs. Elles sont constitutives de contrefaçons. Elles menacent l'avenir de la création et des industries culturelles. Tous, titulaires de droits et public, auraient à en souffrir. On ne peut se satisfaire du principe de gratuité que revendiquent les jeunes générations. Partant du désir d'adopter des dispositions moins lourdes et plus souples que celles applicables à la contrefaçon en général, n'en arrive-t-on pas à un régime plus rigide et contraignant ? Celui-ci comporte, à l'issue d'interventions administratives et judiciaires, la peine complémentaire de la suspension de l'accès à internet. Celle-ci est susceptible d'être prononcée, dans des conditions spécifiques, non seulement à l'encontre des personnes coupables de tels faits, mais également de celles contre qui sera retenue la négligence dans la surveillance de l'utilisation de leur connexion. Ne conviendrait-il pas d'engager davantage la responsabilité de ceux qui fournissent les moyens (logiciel, hébergement, accès) de ces pratiques illégales et qui en tirent de substantiels avantages financiers ? Face aux difficultés rencontrées par le droit, les techniques, qui facilitent de tels usages, ne permettraient-elles pas aussi d'y faire obstacle ? Plus positivement même, par le relevé des oeuvres et des prestations téléchargées et de leur quantité, ne pourraient-elles pas contribuer à la pleine mise en oeuvre des droits en cause ? L'indispensable protection des droits des auteurs et des artistes-interprètes et, à travers eux, de l'avenir de la création sous toutes ses formes ne peut se faire que dans le respect des droits des internautes. Aucun ne doit l'emporter sur les autres ni être sacrifié aux autres. Cela serait pire que tout ou constituerait un " peer " ratage...
Computer crimes --- Internet --- Downloading of data --- Copyright infringement --- Copyright --- Criminalité informatique --- Systèmes en ligne --- Infractions au droit d'auteur --- Droit d'auteur --- Law and legislation --- Music --- Droit --- Téléchargement --- Musique --- Criminal provisions --- Criminalité informatique --- Systèmes en ligne --- Téléchargement --- Computer crimes - France --- Internet - Law and legislation - France - Criminal provisions --- Downloading of data - Law and legislation - France - Criminal provisions --- Copyright infringement - France --- Copyright - Music - France --- Propriété intellectuelle --- Poste à poste (Internet) --- Contrefaçon --- Piratage (droit d'auteur) --- France --- Droits voisins --- Lutte contre
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Le développement fulgurant et exponentiel des réseaux sociaux en ligne, auxquels participent de plus en plus d’utilisateurs (des centaines de millions d’internautes à travers le monde et même près d’un milliard pour le plus important d’entre eux), ainsi que la masse et la nature des informations de toutes sortes, y compris les plus intimes ou indiscrètes, qui y circulent et que l’on y trouve rendent indispensable la détermination d’un encadrement destiné à assurer, notamment, le respect de l’ordre public et des droits des personnes concernées. Celles-ci n’ont pas toujours conscience des risques que, du fait même de leur comportement souvent bien négligent ou imprudent, elles encourent ou font courir à d’autres, y compris à leurs prétendus « amis ». Plus que la nouveauté des questions ainsi soulevées, qui ne semblent pas vraiment nécessiter l’élaboration d’un droit spécifique mais, le plus souvent, pouvoir trouver leur solution dans le rappel de principes fondamentaux (liberté et responsabilité, équilibre des droits, respect des droits d’autrui, etc.) communs à tout mode de communication publique, la dimension internationale des réseaux et des échanges constitue assurément le principal obstacle à l’application efficace d’une réglementation qui – souveraineté des États oblige, au risque de se rendre ainsi totalement impuissants ! – demeure essentiellement nationale. Peut-on, sans utopie ou naïveté, en attendre alors davantage d’une réglementation, régulation ou autorégulation de ces activités mettant en jeu les droits et les devoirs des opérateurs, des utilisateurs et – ce sont souvent les mêmes – des victimes des réseaux sociaux ? Le bon usage de ces moyens de communication ne dépendrait-il surtout pas de la connaissance et de la conscience que chacun aurait de leur impact et d’un peu de prudence et de bon sens dans leur utilisation ? Ne serait-ce pas la meilleure manière de faire que les réseaux sociaux ne deviennent pas « a-sociaux » et d’assurer leur sociabilité ?
Social networks --- Internet --- Réseaux sociaux --- Law and legislation --- Droit --- Online social networks --- Médias sociaux --- Réseaux d'information --- Médias --- Aspect moral --- Réseaux sociaux --- Droit. --- Aspect moral. --- Online social networks - Law and legislation --- France
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Le droit des médias est celui de toutes les formes d'expression (écrites, sonores, visuelles et audiovisuelles) et techniques de communication publique (presse, radio, télévision, film, livre, affiche, supports numériques, communication au public en ligne...), de la presse à l'internet, de l'écrit à l'écran, des médias au multimédia, quel qu'en soit le contenu (information d'actualité, documentation, fiction, divertissement, publicité...). Dès lors qu'il y a publication, le droit des médias a vocation à s'y appliquer. Mettant en oeuvre les principes de liberté d'expression et de droit à l'information, le droit des médias constitue une composante fondamentale, constructive et caractéristique d'une société démocratique. La nature du régime politique et la condition de chacun en dépendent. Le droit des médias est envisagé ici dans ses thèmes et éléments essentiels : droit économique (entreprises et activités), droit des professionnels (journalistes), droit de la responsabilité, droit d'auteur et droits voisins. Dans un contexte général d'internationalisation ou de mondialisation, les médias ignorent les frontières. Il doit en être de même de leur droit. À l'étude du droit français des médias, il a donc été nécessaire d'ajouter une présentation du droit européen et international des médias qui en constitue l'encadrement et contribue à l'harmonisation partielle des droits nationaux, condition de la libre circulation des messages et du respect des droits de chacun. Le rôle politique, social, culturel joué par les médias dans les sociétés modernes accroît l'importance du droit des médias et de sa connaissance
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"Les auteurs s'interrogent sur les fondements, réalités pratiques, insuffisances et imperfections de ce droit. Ils suggèrent quelques possibles réformes nécessaires à l'existence d'un véritable droit des médias." [Extrait de la 4e de couv.]
Médias --- Médias --- Liberté d'information. --- Responsabilité professionnelle. --- Droit --- Droit européen.
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Journaliste : ce nom évocateur cache une nébuleuse de formations, de métiers, de secteurs, de techniques et de pratiques. Autant de domaines présentés avec clarté et pédagogie dans cet ouvrage adressé aux étudiants en journalisme ou en information-communication, ainsi qu'aux professionnels des médias. Dans cette optique, ce livre propose un panorama des recherches pour connaître les mondes de l'information, et un guide pratique pour se préparer aux épreuves d'amission des écoles de journalisme. Réunissant chercheurs, formateurs et professionnels, il développe en huit chapitres les questions suivantes : ° Comment devenir journaliste ? Quelles formations choisir et comment s'y préparer ? Quelles sont les conditions d'insertion dans les métiers du journalisme ? Quels sont les secteurs les plus dynamiques ? Au contraire, quels secteurs se trouvent en difficulté ? Comment les entreprises de presse se financent-elles ? ° Qui sont les journalistes professionnels ? Quels standards et quelles contraintes façonnent leur activité ? Quelle déontologie se donnent-ils ? Comment le numérique transforme la production, la diffusion et la consommation de l'information ? ° Quels nouveaux acteurs et quelles pratiques émergentes renouvellent l'écriture et le décryptage de l'information ? Ainsi, que désignent les notions de "lanceur d'alerte", "fact-cheking", "datajournalisme", journalisme "participatif" ou "de solutions" ? Des écoles de journalisme aux marchés de l'emploi, des normes de travail et déontologiques aux contraintes techniques et économiques, de l'actualité la plus banale à la couverture des guerres, de l'info-divertissement au journalisme international, des "fake news" à l'éducation aux médias, de la dépêche d'agence au photojournalisme, du journal télévisé aux formats les plus innovants : le lecteur trouvera dans ce manuel divers itinéraires pour explorer les mondes de l'information.
Journalisme --- métier --- journalisme --- journaliste --- vie étudiante --- étudiant --- Journalisme. --- Formation professionnelle. --- Journalism --- Occupational training --- Formation professionnelle --- Vocational guidance --- Orientation professionnelle
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