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La croyance dans une Nature harmonieuse qui prédominait au XVIIIe siècle a progressivement été mise à mal par les avancées de la biologie. Aujourd'hui, les débats concernant notamment les biotechnologies et la gestion de la planète exigent que scientifiques et citoyens partagent acquis et incertitudes dans les domaines de la génétique, de l'écologie ou de l'éthologie.
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Reflet des débats théoriques et philosophiques des années 2000, cet ouvrage illustre un point d’étape des discussions des scientifiques dont les recherches portent sur l’évolution des systèmes génétiques des végétaux, dans leur milieu écologique naturel ou artificiel. Ces recherches touchent alors tous les mécanismes fondamentaux de la biologie des végétaux, sur lesquels l’homme est intervenu prioritairement pour adapter les plantes et les milieux à l’agriculture. Les biotechnologies commencent à poser question, les interrogations sont envisagées au niveau planétaire et les controverses science-citoyen voient le jour, donnant naissance à de nouvelles questions éthiques.
Biologie. --- Évolution (biologie) --- Génétique.
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Bioethics --- Bioengineering --- Philosophical anthropology --- Biology --- Bioéthique --- Biotechnologie --- Anthropologie philosophique --- Biologie --- Philosophy --- Philosophie --- Synthetic biology --- Moral and ethical aspects --- Sciences de la vie --- Bioéthique --- Philosophie. --- Bioengineering - Moral and ethical aspects --- Biological science disciplines --- Biotechnology
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Même si l’Anthropocène est l’ère de prouesses techniques qui améliorent et embellissent la vie, il est aussi celle d’une dévastation sans précédent de la biodiversité. Mais pour l’auteur de cet ouvrage, la science et l’éthique peuvent encore lui porter secours.Jacques Blondel rappelle d’abord les fondements écologiques des habitats de tout être vivant, en observant que les humains en ont poussé très loin l’aménagement. Il analyse ensuite les mécanismes du déclin de la biodiversité. Puis, au rebours d’une vision catastrophiste du monde et d’une « nature confisquée », il plaide pour une pacification de nos rapports au vivant non-humain et démontre les chemins à emprunter pour y parvenir. Dans cet ouvrage, l’auteur convoque à la fois les acquis les plus récents de la recherche scientifique dont, écrit-il, le rôle est de révéler ce qui est inaccessible à nos sens, et ceux d’une éthique environnementale empreinte de spiritualité pour montrer qu’il est parfaitement possible de rétablir un pacte du vivre ensemble avec un environnement enfin respecté, autrement dit « de prendre à cœur le monde » selon une expression de Hannah Arendt. Nous guidant peu à peu vers des options d’écologie intégrative, où « tout est lié », il soulève la question de la légitimité d’un anthropocentrisme conquérant au détriment de cette autre composante de la vie qu’est le vivant non humain, sachant que ce dernier doit être valorisé et respecté pour ce qu’il nous rapporte mais aussi pour ce qu’il est.
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Dans leurs laboratoires, des biologistes espèrent aujourd'hui pouvoir « fabriquer la vie ». Grâce aux formidables avancées des sciences et des techniques, nous disent-ils, « tout est possible ». Et pourtant, dans nos sociétés postmodernes, cette vieille croyance qui fondait l'idéologie du progrès, garant du bonheur à venir, apparaît définitivement obsolète : la fin de cette idéologie a accouché en Occident de la domination sans partage de l'individualisme, qui mine désormais profondément le lien social. Comment expliquer ce paradoxe entre la technoscience triomphante et la profonde crise des fondements de la pensée qui caractérise notre époque ? En s'intéressant sérieusement aux défis philosophiques et scientifiques que soulèvent les récentes explorations des sciences du vivant, de la création de la vie en laboratoire aux recherches fondamentales en génétique : c'est ce que proposent dans cet ouvrage Miguel Benasayag et Pierre-Henri Gouyon, sous la forme d'un dialogue aussi vif qu'accessible. La philosophie et la biologie y croisent leurs problématiques, se complétant et s'enrichissant. Loin de se limiter au champ scientifique, expliquent les auteurs, le modèle organique permet de porter un autre regard, riche de surprises, sur les phénomènes sociaux. Soucieux de rendre compte de la complexité inhérente à la vie, en évitant le double écueil de l'irrationnel et du scientisme, ils croisent les questions qui leur tiennent à cœur, bousculant les idées pour qu'émergent de nouvelles clés de compréhension du monde. Et pour agir, individuellement et collectivement, afin de faire surgir une autre époque, plus joyeuse et constructive.
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Le Petit Prince nous avait prévenus : « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour nos yeux. » Dans son acception la plus large, l’environnement représente en effet tout ce qui nous entoure. Les éléments et les paysages, les animaux, les micro-organismes et nos alter ego. Tous devenus invisibles à force d’être là ; invisibles, et pourtant essentiels à notre existence.Depuis un siècle, la perception individuelle et collective de notre environnement est passée d’une approche locale à une vision planétaire, confirmée par les clichés de la Terre que nous envoient les satellites. Ainsi l’environnement est-il aujourd’hui perçu à la fois comme un droit (mais aussi un devoir vis-à-vis des générations futures), un territoire à ménager, voire à restaurer, un capital-nature à faire fructifier sans le ruiner.Voilà pourquoi il faut sans doute parler non pas de l’environnement mais des environnements. C’est l’approche de ce livre, qui se penche par exemple sur les interactions qui existent entre les gènes et leurs multiples niveaux d’environnement, entre les différentes espèces qui constituent la microfaune du sol ou encore entre les virus, les bactéries et les hommes. Sont sollicités ici non seulement des systématiciens – pour débusquer l’arbre dans la forêt du vivant –, mais aussi des écologues, des biologistes évolutionnistes et des anthropologues, des philosophes et des géochimistes, des généticiens et des économistes, qui, tous, aident à comprendre la trame complexe de ce « tissu planétaire ».Un environnement dont l’être humain n’est évidemment pas absent. La sédentarisation d’Homo sapiens, sa croissance démographique et son incroyable expansion ont, pour partie, contribué à fragiliser ce tissu qui l’entoure. Or « ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil », rappelait Sitting Bull dans sa Lettre au président des États-Unis en 1886, ajoutant : « Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même. » Dans la lignée des précédents ouvrages de la collection, Aux origines de l’environnement a pour ambition de relier, voire de renouer, un à un, tous ces fils.
Environmental sciences --- Human ecology --- Sciences de l'environnement --- Ecologie humaine --- History --- Histoire --- Biodiversité --- Changements climatiques --- Bioclimatologie
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angiosperms --- angiosperms --- Inflorescences --- Inflorescences --- Flowers --- Flowers --- Morphogenesis --- Morphogenesis --- Plant morphology --- Plant morphology --- Phylogeny --- Phylogeny --- Pollination --- Pollination --- Sexual reproduction --- Sexual reproduction --- Parthenogenesis --- Parthenogenesis --- gene expression --- gene expression --- Hybridization --- Hybridization
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Sex --- Sex (Biology) --- Sex customs --- Sexualité --- Sexualité (Biologie) --- Vie sexuelle --- Biology - Genetics - Anthropology - Sexuality - Evolution --- Sexualité --- Sexualité (Biologie) --- Biology --- Genetics --- Anthropology --- Sexuality --- Evolution --- Éthologie humaine --- Comportement sexuel des animaux --- Histoire
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