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Language

French (5)


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2017 (1)

2016 (4)

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Paul Auster : Gravité et légèreté de l’écriture
Author:
ISBN: 2868474926 275354588X 9782753545885 Year: 2016 Publisher: Rennes : Presses universitaires de Rennes,

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Abstract

Ce livre examine l’œuvre en prose de Paul Auster, de L’Invention de la solitude à Léviathan. À la fois chronologique et simultané, l’espace textuel d'Auster est caractérisé par une combinatoire lexicale et référentielle qui dévoile des enjeux littéraires toujours revisités. Tandis que L’Invention de la solitude, mêlant passé et présent, introspection et écriture, fait l’inventaire d’une mémoire, les romans publiés à sa suite prolongent ces notions, tout en présentant un monde en forme d’énigme, où tout semble faire signe, et où les personnages-détectives, à l’affût d’un ordre caché sous le chaos des apparences, sont sous la menace constante de l’amnésie et de la désintégration. Tout y est double, répétition, coïncidence, algèbre magique, nominalisme prophétique qui confondent les héros : nombre de ces signes s’adressent en effet non aux personnages, mais au lecteur, qui discerne bientôt la marque d’une écriture ironique. Les niveaux de lecture se dédoublent. Sur le plan du récit, le réel est la proie de forces chaotiques, menant à la confusion psychologique, à l’épuisement des ressources et des corps. Puis le geste métafictionnel se dévoile. Sous la surcharge baroque des masques et des impostures, dans le dépli de la conscience et des hasards nécessaires, une écriture-miroir, un texte largement autographique se découvrent. Sous les oripeaux de la fiction, apparaît la figure en trompe-l’œil de l’écrivain. La galaxie des signes, d’abord condensée autour du centre de gravité de la mémoire et de l’identité, est bientôt mue par une force centrifuge ironique. Entre jeu et gravité, les romans d'Auster dévoilent une écriture de l’écriture, un texte spéculaire, à la fois intime et ludique. Sous les formes superposées de la cartographie historico-littéraire et de l’autographie, surgit alors le portrait d’un joueur, ni jamais tout à fait même, ni jamais tout à fait autre.


Book
(R)apports textuels
Authors: --- --- --- --- --- et al.
ISBN: 2869064845 2869062303 Year: 2017 Publisher: Tours : Presses universitaires François-Rabelais,

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Ce recueil explore les « (r)apports textuels » envisagés comme une érotique de l'écriture, tout autant que de la lecture, au fil des textes de grands écrivains de langue anglaise pour la plupart, de la Renaissance à nos jours, en passant par les précurseurs du postmodernisme américain. La problématique intertextuelle adoptée ici vise avant tout à permettre au chercheur-lecteur de poursuivre ses explorations sans pour autant tomber dans les poncifs d'un simple repérage statique, et s'attache à évaluer, de façon parfois critique, une tradition Épistémologique élaborée dans les années soixante-dix et abondamment utilisée de nos jours.


Book
L'impersonnel en littérature : Explorations critiques et théoriques

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« Le but de l’écriture, c’est de porter la vie à l’état d’une puissance non personnelle », nous dit Gilles Deleuze. En définissant ainsi la littérature, Deleuze nous demande de ne plus la penser en termes thématiques, ni même génériques, mais plutôt en termes d’activité et de créativité. De sa définition, entre esthétique et esquisse d’une théorie de la réception, de « l’impersonnel » du texte littéraire comme « flux qui conjugue avec d’autres flux », naissent de nombreuses questions : l’impersonnel peut-il nous aider à mieux penser le texte et, inversement, aider le texte à se penser soi-même ? Comment le texte et l’écriture amènent-ils l’écrivain à dépasser le seuil de sa propre vie, son propre contexte, sa propre histoire pour toucher quelque chose en dehors de la vie ? Qu’arrive-t-il au lecteur d’un tel texte ? Qu’advient-il dans cette rencontre entre lecteur et texte impersonnel ? Ouvert à toutes les littératures d’Europe et d’Amérique, cet ouvrage est la réponse de chercheurs, de philosophes et de poètes à cette notion problématique. Par-delà la définition deleuzienne, il s’agit d’établir un dialogue entre l’impersonnel et les concepts connexes d’impersonnalité, de dépersonnalisation et de voix collective en littérature. Pour que l’impersonnel ne soit pas simplement le négatif d’une personnalisation valorisée.


Book
Le superflu : Chose très nécessaire

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Le superflu, chose très nécessaire selon Voltaire, est éminemment protéiforme et traverse tous les domaines et toutes les époques de l’activité humaine soumise à la norme et aux échanges. De Shakespeare à Paul Auster, du mélancolique de Burton au dandy, de Keynes au jazz, de Hume à Sherlock Holmes, le superflu a toujours eu un rôle moteur, sinon fondateur dans la redéfinition incessante des champs esthétiques, sociaux, économiques et philosophiques. Ce qui était considéré comme superflu devient souvent nécessaire, et vice versa, au gré des changements d’époques et de représentation. À partir d’exemples pris dans le monde anglophone, des chercheurs d’horizons divers rassemblés par le CEIMA (Centre d’études interdisciplinaires du monde anglophone) à Brest se sont penchés sur la force opératoire d’une notion intimement liée à la fluidité et au mouvement de la vie. Cet ouvrage présente un bilan raisonné de leurs réflexions croisées et tente, in fine, de proposer une ontologie du superflu.


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Le superflu : Chose très nécessaire

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Le superflu, chose très nécessaire selon Voltaire, est éminemment protéiforme et traverse tous les domaines et toutes les époques de l’activité humaine soumise à la norme et aux échanges. De Shakespeare à Paul Auster, du mélancolique de Burton au dandy, de Keynes au jazz, de Hume à Sherlock Holmes, le superflu a toujours eu un rôle moteur, sinon fondateur dans la redéfinition incessante des champs esthétiques, sociaux, économiques et philosophiques. Ce qui était considéré comme superflu devient souvent nécessaire, et vice versa, au gré des changements d’époques et de représentation. À partir d’exemples pris dans le monde anglophone, des chercheurs d’horizons divers rassemblés par le CEIMA (Centre d’études interdisciplinaires du monde anglophone) à Brest se sont penchés sur la force opératoire d’une notion intimement liée à la fluidité et au mouvement de la vie. Cet ouvrage présente un bilan raisonné de leurs réflexions croisées et tente, in fine, de proposer une ontologie du superflu.

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