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Des brutes sauvages et sanguinaires rôdant au cœur de la cité, des policiers qui volent, des médecins qui assassinent, des surhommes punissant en dehors des lois : les mystères urbains offrent au lecteur une imposante galerie de criminels dans une société où les honnêtes gens semblent confinés au rôle de victime. Leur principale contribution au mythe de la ville moderne consiste ainsi à cristalliser une criminalité urbaine anxiogène et à affirmer déchiffrer un espace social chaotique et incompréhensible pour le non-initié.Entre 1840 et 1860, E. Sue, A. Dumas, P. Féval, L.-F. Raban, C. Robert et E.-F. Vidocq offrent chacun leurs mystères urbains. De ce riche corpus, peuplé de criminels caractérisés par une perpétuelle tension entre tradition et modernité menaçante, émergent une poétique complexe et une fascinante conception de la lecture. C’est à cartographier les voyages qu’ils proposent à leur lecteur que s’attache cet ouvrage, afin de mettre en évidence une dramatisation du crime kaléidoscopique, ambivalente et, à bien des égards, toujours pertinente.
Cities and towns in literature. --- Crime in literature. --- Criminalité dans la littérature. --- Criminals in literature. --- Criminels dans la littérature. --- Detective and mystery stories, French --- Detective and mystery stories, French. --- Roman policier français --- Villes dans la littérature. --- History and criticism --- Histoire et critique --- 1800-1899.
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Première synthèse consacrée aux Enfants d’Horus, dieux incontournables dans le paysage iconographique funéraire dès le début du Nouvel Empire. Protecteurs des viscères d’Osiris, ils se voient aussi confier ceux du défunt qui aspire à associer son devenir à celui du dieu. Les Enfants d’Horus occupent donc une place privilégiée aux côtés du défunt qui souhaite vivre éternellement dans l’au-delà.L’objectif de cet ouvrage est de présenter, dans un premier temps, chaque Enfant d’Horus individuellement à travers son nom, sa figuration, son costume, ainsi que sa fonction, et les formules qui lui sont associées.Dans un second temps, l’attention sera portée sur le groupe cohérent qu’ils forment et qui prends place tantôt sur une fleur de lotus, tantôt autour du défunt, tant sur le mobilier funéraire que dans les tombes et les temples.Cette étude s’appuie sur un catalogue d’attestations issues des temples, des tombes et du mobilier funéraire royal, de nombreux papyrus funéraires ainsi que des tombes privées dont plusieurs sont inédites. Un chapitre entier est consacré à la traduction des légendes qui accompagnent les Enfants d’Horus.
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Le catalogue raisonné des antiquités égyptiennes de la Faculté des Lettres de l'Université d'Alexandrie a été réalisé en partenariat avec l'Université d'Alexandrie, le Centre d'Études Alexandrines et le Musée royal de Mariemont (Belgique). L'inventaire manuscrit de cette collection compte une numérotation discontinue de 1 à 1437 numéros. Aussi, les éditeurs ont sélectionné près de 620 objets égyptiens limitant la présentation des pièces nubiennes à quelques œuvres représentatives. Chronologiquement, la sélection des œuvres commentées commence à l'époque pré et protodynastique et s'arrête avant l'époque ptolémaïque. N'ont pas été retenus les nombreux silex préhistoriques, les tessons de céramique, les poids ou les objets donnés par le Musée de Khartoum.Une équipe de spécialistes belges a rédigé les notices en français à l'exception de celles qui concernent les collections prédynastiques et protodynastiques ainsi que les vases en pierre, quant à elles, en anglais. Les notices en arabe composées par deux professeurs de la Faculté des Lettres sont originales et complètent les notices en français et en anglais. Les photographies ont été réalisées par les photographes du CEAlex. Le catalogue apporte une contribution majeure à la connaissance de cette collection par la mise à jour de la bibliographie, l'identification de matériaux, en particulier des pierres, l'actualisation des questions de datation. Il met ainsi en lumière une collection archéologique majeure issue de fouilles de l'université d'Alexandrie ainsi que des œuvres mises en dépôt par le Musée égyptien du Caire et un ensemble très complet d'amulettes provenant de donations privées.
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Si l'Égypte doit une bonne partie de sa célébrité à ses monuments anciens, parfois de plusieurs millénaires, et en particulier aux tombes - principalement celles de ses souverains - dont la décoration suscite toujours l'émerveillement, l'examen détaillé des motifs funéraires met en exergue notamment l'amour des Égyptiens pour la vie par le souci quasi obsessionnel de tout mettre en oeuvre pour permettre une vie après la vie. La mythologie égyptienne met en scène plusieurs divinités qui président aux démarches permettant cette survie. Les quatre Enfants d'Horus (Hapy, Douamoutef, Amset, Qebehsenouf), sans être des divinités à part entière, apparaissent très souvent dans la figuration des scènes liées à la vie dans l'au-delà, pour le rôle considérable qu'ils jouent dans ce processus. Comme on le lira, chaque Enfant se voit attribuer la tâche de veiller sur une partie bien déterminée des viscères du défunt et de favoriser leur restitution au défunt pour une vie éternelle. Ainsi Amset veille sur le foie, Hapy les poumons, Douamoutef a en charge la rate et les poumons et Qebehsenouf veille à l'intégrité des intestins. Jusqu'ici peu d'études véritablement approfondies se sont concentrées sur ces quatre génies. La méthodologie a demandé la patiente recension des scènes où sont représentés les quatre enfants d'Horus et la comparaison détaillée des particularités - constantes et/ou variables - de leur figuration. Le caractère élevé du nombre de représentations a amené à restreindre le champ des investigations à une période qui s'étend de la 18e dynastie à la fin de l'époque ptolémaïque et romaine. L'objectif du présent mémoire est de dégager tant les constantes que les variations dans leur iconographie (la morphologie de la tête, les vêtements qui leur sont attribués, les couleurs de ces vêtements, la disposition des Enfants d'Horus par rapport aux personnages principaux, la direction dans laquelle leur regard est orienté), pour mettre en évidence, lorsque c'est possible et avec toute la rigueur scientifique qui s'impose à l'historien, les interprétations à donner à leur fonction dans l'ensemble du processus de renaissance. S'il est difficile et sans doute un peu risqué d'interpréter valablement certains points de détail de la figuration des quatre personnages, il n'en reste pas moins que ce travail souligne leur fonction principale qui, outre le rapprochement avec les éléments centraux du mythe de la renaissance d'Osiris, est de permettre la vie dans l'au-delà, de manière quotidienne - comme en atteste le lien fréquent avec la fleur de lotus - par la protection des viscères. Cette protection s'exerce sur le défunt tout entier et le rôle des quatre enfants d'Horus s'étendra dans les périodes plus tardives à l'accueil du défunt dans sa nouvelle vie
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