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Theatrical science --- dansgeschiedenis --- anno 1800-1899 --- Paris --- Ballroom dancing --- Danses de société --- History --- Histoire --- -Ball room dancing --- Social dancing --- Dance --- -Ballroom dancing --- -History --- Danses de société --- Ball room dancing --- 78.76 --- 78.29.1 --- 78.21.2 --- Ballroom dancing - France - Paris - History - 19th century --- FRANCE --- PARIS (FRANCE) --- MOEURS ET COUTUMES --- 20E SIECLE --- SPECTACLES ET DIVERTISSEMENTS
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Sur le terrain, le bon ethnographe s'attache à ce qui empêche ses interlocuteurs de dormir tranquilles, à ce qui les passionne, les fait débattre à l'infini, les met en joie ou en larmes, les émeut… En France et en Europe, il y a à peine un demi-siècle que le patrimoine fait pleinement partie de ces causes pour lesquelles individus et collectifs se mettent en mouvement. Le présent ouvrage analyse cette révolution discrète mais profonde. Il la saisit dans la diversité concrète des mobilisations. Les unes sobres, les autres expansives. Certaines canalisées par le savoir-faire administratif, quelques-unes débordant tous les cadres et s'épanchant en résistance inattendue, spectaculaire, radicale. Une question anthropologique court dans cette enquête : comment est-on sorti du « temps des monuments », au cours duquel ces derniers incarnaient de façon très persuasive la patrie, grande ou petite, pour entrer dans le « temps du patrimoine » où se forge un tout autre rapport sensible au passé et où s’inventent des engagements inédits ? Ce nouveau régime patrimonial, plus ou moins promu à l’échelle du monde, se heurte un peu partout à des réactions politiques puissantes que la comparaison ethnologique nous aide à identifier.
Cultural property --- Biens culturels --- Protection --- Group identity --- Collective memory --- Social aspects --- Political aspects --- Patrimoine culturel --- Anthropologie --- Sociologie culturelle --- Politique culturelle --- Protection du patrimoine --- Protection du patrimoine artistique --- Patrimoine --- Patrimoine artistique --- Ethnographie --- Sociologie de la culture --- Anthropologie. --- Protection. --- Psychology, Social --- Anthropology --- patrimoine culturel --- anthropologie --- France
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En 2019 et en 2020, les Archives nationales se sont engagées dans un programme de recherche consacré à l'histoire et à l'actualité de l'éducation populaire, en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF), le Fonds de coopération de la jeunesse et de l'éducation populaire (Fonjep) ainsi que les universités de Paris-8, Paris-Nanterre et Tours. Le programme, intitulé Éducation populaire : engagement, médiation, transmission (xixe-xxie siècles), a bénéficié du soutien de la Comue Université Paris Lumières. Il a pris la suite d'une initiative de la BnF, qui avait, en 2018, organisé un colloque et des ateliers sur cette même thématique, en collaboration avec les Archives nationales et le Fonjep. Le présent ouvrage est le résultat de ces travaux.
Arts & Humanities --- Education & Educational Research --- History --- Sociology & Anthropology --- archives --- Archives nationales --- Bibliothèque nationale de France --- bibliothèques --- histoire --- National Archives (France) --- National Library of France --- libraries --- history --- archive
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En France, le CTHS est depuis 1834 expert dans la détermination de ce qui est ou non « savant », c’est-à-dire, dans l’esprit de François Guizot, ici présenté par Simone Mazauric, ce qui doit être fondé en raison et conduit par des méthodes indiscutables. Pourtant, on n’a pas attendu 1834 pour mettre sur le devant de la scène des « savants » reconnus comme tels de leur temps et se regroupant pour mieux appréhender des questions complexes. Si l’érudit peut être solitaire, le « savant » ne l’est jamais, car porté par un groupe d’amis, de collègues, de correspondants…, il répond à une requête sociale et travaille en réseau. Guizot a voulu s’appuyer sur les sociétés locales plutôt que sur les universités comme en Allemagne ; ce choix est révélateur d’une volonté de porter l’esprit scientifique partout dans les élites provinciales en s’appuyant sur des associations volontaires en plein essor au moment où il est au pouvoir. Pour Guizot en effet, il n’y a pas de savants sans réseaux scientifiques, sans groupes permanents ou non qui portent des questions et travaillent en émulation. Même si l’on sait que les Grecs les premiers ont su grouper les compétences, il n’est pas évident de décrypter qui appartient au cercle, au groupe d’amis, qui participe à la conversation et à l’élaboration en commun des solutions. Les historiens peuvent suivre ces réseaux dès lors qu’ils ont une documentation qui leur permet d’en cerner l’existence et d’en distinguer les participants : correspondances, échanges de manuscrits puis éditions, voire procès… Bien entendu, tout devient plus simple avec la multiplication de la documentation, c’est pourquoi la base de données collaborative du CTHS commence au XVIe siècle. Mais qu’est-ce qu’une science, qu’est-ce qu’un « savant », quels sont ses objets ? C’est cette interrogation qu’explorent tous les auteurs de ce volume.
History --- Communication --- science --- classe préparatoire --- érudit --- groupement de compétences --- base de données --- collaboration --- réseau scientifique --- histoire
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L'histoire de l’éducation populaire suscite des recherches depuis une trentaine d’années mais il n’existe pas de bilan des travaux. Vingt-huit contributions concernant la France, d’autres pays européens et le Québec mettent l’accent sur le rapport complexe à l’école, la question du genre et la dimension politique de l’éducation populaire. L’action d’individus connus (Édouard Petit) ou méconnus (Maud Pledge), de groupes (les fouriéristes) est aussi bien évoquée que celle d’institutions comme les universités populaires de province ou la Jeunesse ouvrière chrétienne. Un intérêt particulier a été porté aux techniques : chanson, lecture populaire, documentation, cinéma, sans oublier plusieurs chapitres à caractère historiographique. En un volume est dressé un tableau de l’éducation populaire dans sa diversité, entre 1815 et 1945, date qui marque le début de son institutionnalisation. The history of Popular Education (Non Formal Education) has aroused research work for thirty years but yet no review of this work has been published. 28 contributions dealing with France, other European countries and Quebec focus on the complex relationship to school, gender and the political dimension of Popular Education.
Popular education --- Popular education --- Education --- Education --- Education --- Education --- History. --- History. --- Social aspects --- History. --- Social aspects --- History. --- Political aspects --- History. --- Political aspects --- History.
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