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N'admettre que ce dont on puisse faire l'expérience et rendre justice à tout ce qui peut être objet d'expérience. Voilà en une phrase le programme de William James dans cet ouvrage, dont la simplicité n'a d'égale que la radicalité. Il s'agit bien d'un programme philosophique, mais qui vise à ressaisir la vie concrète, derrière les abstractions de la philosophie académique. Ce livre est traversé par une tension : exposer techniquement et précisément ce que la danse réglée des affrontements entre grands systèmes métaphysiques (qu'ils soient rationalistes ou empiristes) nous a dérobé, à savoir les expériences, leurs motifs et leurs liens, dont le monde et nos vies sont tissés. Publié en 1912, ce recueil posthume expose le cœur de la philosophie de l'expérience de William James : une approche neuve de la conscience, de l'expérience pure, des relations et de l'activité. Moment majeur dans l'histoire de la philosophie américaine, ces Essais ont eu une influence durable : Henri Bergson, Alfred N. Whitehead et Bertrand Russell ont noué avec eux leurs dialogues les plus féconds.
Empiricism. --- Language and languages --- Empirisme --- Langage et langues --- Philosophy. --- Philosophie --- Philosophie du langage --- Philosophie du langage. --- Empirisme.
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Publié en 1912, ce recueil posthume expose le coeur de la philosophie de l'expérience de James; il s'agit de son texte de maturité, développant une approche neuve de la conscience aussi bien que de l'expérience pure, des relations, ou encore de l'activité. Moment majeur dans l'histoire de la philosophie américaine, ces "Essais" ont ainsi eu une influence plus durable que les les célèbres conférences de James sur le pragmatisme : c'est aussi avec ce versant de son oeuvre que Bergson, Whitehead et Russel, par exemple, ont eu leurs dialogues les plus féconds.
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Toute explication de l'action met en jeu une régularité des conduites. On peut sans doute la rapporter à une machinerie sous-jacente, mais force est de convenir que les conduites humaines ne manifestent pas la « belle régularité » d'un mécanisme. Elles sont tout à la fois variables, indéterminées, adaptatrices et uniformes, standardisées. Comment rendre compte de cette ambivalence ? L'une des réponses consiste à recourir à des notions apparemment plus adéquates, au moins en apparence, à la plasticité du domaine des pratiques. Elle introduit une série de notions différenciées, mais reliées entre elles par un « air de famille » : tradition, norme, règle, habitude, disposition, routine, capacité, savoir-faire, etc. Peut-on réellement concilier les significations et les fonctions attribuées à de telles notions ? Quel est leur pouvoir explicatif en sciences sociales ? Quelle description de la détermination pratique permettent-elles ? Cet ordre de réponse place une forme particulière de savoir à la source des pratiques ; un savoir non propositionnel, qu'il s'agisse de connaissance pratique, de savoir-faire ou de savoir tacite. Mais peut-on encore parler de savoir dès lors que la distinction vrai/faux ne s'applique plus ? Et comment décrire plus précisément la structure et le fonctionnement de tels modes de connaissance ?
Habit --- Expertise --- Action theory --- Habitude --- Savoir-faire --- Action, Théorie de l' --- Social aspects --- Aspect social --- Act (Philosophy) --- Philosophie de l'action --- Théorie de l'action --- Théorie de l'action --- Habitude. --- Philosophie de l'action. --- Théorie de l'action. --- Action theory. --- Social aspects. --- Psychology --- Goal-directed action --- Goal-directed behavior --- Theory, Action --- Sociology --- Action (Philosophy) --- Agent (Philosophy) --- Philosophy --- Habit - Social aspects --- régularité --- disposition --- savoir-faire --- imitation --- habitude --- capacité
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