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UCLouvain (1)


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book (1)


Language

English (1)


Year
From To Submit

1990 (1)

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Book
Rapport sur 3 ans de formation pédagogique et scientifique en histologie
Authors: --- ---
Year: 1990 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Dans le premier volet de notre travail, nous avons évoqué le contexte actuel de l’enseignement à la Faculté des sciences de la santé de Cotonou au Bénin ; puis nous avons décrit le système de l’enseignement de l’histologie générale tel qu’il est pratiqué à l’UCL. Nos souhaits ont été mentionné concernant le transfert et l’adaptation de ce système afin d’apporter une contribution à l’amélioration de l’enseignement dans notre pays.
Le deuxième volet de notre travail concerne nos travaux de recherche.
Dans le premier chapitre, nous avons décrit la morphologie et la physiologie de la thyroïde normale.
Dans le deuxième chapitre, en nous basant sur les données de la littérature, nous avons essayé de décrire la ;pathogénie du goitre non toxique. Nous avons ensuite résumé les différentes étiologies des effets toxiques dus à l’excès d’iode dans le traitement du goitre hyperplasique expérimental.
Dans le troisième chapitre, nous présentons nos résultats. Nous avons étudié les effets de la mépacrine et de l’indométacine chez des souris non traitées, chez des souris goitreuses recevant de l’iode et dont le goitre involue.
La mépacrine induit un goitre colloïde chez des souris non traitées. Il reste peut-être à vérifier cette constatation ; car, la nivaquine, apparentée à la mépacrine, est largement utilisée pour la prophylaxie et le traitement anti palustres dans les régions d’endémie, où, malheureusement la prévalence du goitre non toxique est souvent élevée.
Mépacrine et indométacine induiraient à eux seuls l’involution d’un goitre hyperplasique.
L’administration de mépacrine ou l’indométacine au cours de l’involution du goitre hyperplasique par un excès d’iode ne protège pas la glande thyroïde contre les effets toxiques dus à l’administration de l’iode seul. Le composé iodé toxique pour la glande thyroïde traitée par un excès d’iode après un goitre est inconnu. Dans l’état actuel de nos travaux, nous suggérons que ce composé est un radical libre qui engendre la réaction en cascade connue de la lipidoperoxydation

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