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UCLouvain (3)


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2016 (1)

2013 (1)

2008 (1)

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Étude observationnellle de la prise en charge thérapeutique des sarcomes mammaires et des carcinomes métaplasiques
Authors: --- --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

The purpose of this study is to analyze the short and long-term prognosis of patients who has been diagnosed sarcoma or metaplastic carcinoma and who underwent oncologic care; together with disease-free survival after this same oncologic treatment. For quality control purposes, we wanted to compare the events observed against predicted values validated in the scientific literature for short and long-term mortality and disease-free survival rate (local relapse and metastasis).Material and methods. A consecutive series of 25 patients has been diagnosed of a sarcoma or metaplastic carcinoma from 1998 to 2016. Among these 25 patients, one patient has been banned because of her lost. The 24 lasting patients (average age 67 years, 100% women) has been separated into 2 groups : the « sarcoma » group including 14 patients (58.3%) and the « carcinoma » group including 10 patients (41.7%).The sarcoma's treatment has been settled like this : surgery only for 3 patients (21.4%), surgery and adjuvant radiotherapy for 8 patients (57.2%) and chemotherapy only for 3 patients (21.4%). The metaplastic carcinoma's treatment has been settled like this : surgery only for 1 patient (10%), surgery and adjuvant radio-chemotherapy for 4 patients (40%), chemotherapy only for 1 patient (10%), surgery and adjuvant radiotherapy for 1 patient (10%), surgery and adjuvant chemotherapy for 1 patient (10%), surgery , adjuvant radiotherapy and adjuvant endocrine­ therapy for1 patient (10%) and surgery, adjuvantchemotherapy , radiotherapyand hormonotherapy for 1 patient (10%).The short and long term future were retrospectively analyzed and compared with survival data from the scientific literature. Results: Operative mortality was 0%. Immediate postoperative complications were: a lymphoedema post­ axillary node dissection for 2 patients (10%), an hematoma for 2 patients (10%), an hypertensive crisis for 1 patient (5%), an urinary tract infection for 1 patient (5%), a pernicious vomiting for 1 patient (5%) and a painkiller-resistant's pain for 2 patients (10%).The overall survival rate, estimated by the Kaplan-Meier method, to 1 and 3 years was 90% and 64.3% respectively for metaplastic carcinomas and was 75% at 1 and 3 years for mammary sarcomas. The disease-free survival, estimated by the same method, to 1 and 4 years was 80% and 53.3% respectively for metaplastic carcinomas; and, for the sarcomas, to 1 and 4 years was 59.1% and 39.4% respectively. Conclusions: The observed overall survival rate is similar to the values predicted by the scientific literature with the sarcoma's exception which is over evaluated in this study. The observed disease-free survival rate is also similar to the values predicted by the literature. The therapeutic management in the Cliniques Universitaires Saint-Luc can be qualified as similar as the management of the other international centers reported into the literature. Le but de cette étude est d'analyser le pronostic vital à court et à long terme des patientes atteintes d'un sarcome ou d'un carcinome métaplasique ayant bénéficié d'un traitement oncologique ainsi que la survie sans rechute après traitement oncologique quel qu'il soit. Dans un but de contrôle de qualité, nous souhaitons comparer les événements observés à ceux prédits dans la littérature scientifique pour la mortalité à court et à long terme et les rechutes locales ou à distance. Matériel et méthodes Une série consécutive de 25 patientes a été diagnostiqué d'un sarcome mammaire ou d'un carcinome métaplasique de 1998 à 2016. Parmi ces 25 patientes, une patiente a été exclue à cause d'un biais de récolte des données (disparition du suivi à Saint-Luc).Les 24 patientes restantes (67 ans d'âge moyen ; 100% de femmes) ont été divisées en deux groupes distincts : le groupe sarcome comprenant 14 patientes (58.3%) et le groupe carcinome métaplasique comprenant 10 patientes (41.7%).Le traitement des sarcomes mammaires s'est fait comme suit : chirurgie seule chez 3 patientes (21.4%), chirurgie et radiothérapie adjuvante chez 8 patientes (57.2%) et chimiothérapie seule chez 3 patientes (21.4%). Le traitement des carcinomes métaplasiques, plus variable, s'est fait comme suit : chirurgie seule chez 1 patiente (10%), chirurgie suivie de chimiothérapie adjuvante et radiothérapie adjuvante chez 4 patientes (40%), chimiothérapie seule chez 1 patiente (10%), chirurgie et radiothérapie adjuvante chez 1 patiente (10%), chirurgie et chimiothérapie adjuvante (10%) , chirurgie, radiothérapie adjuvante et hormonothérapie chez 1 patiente (10%) et chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et hormonothérapie chez 1 patiente (10%).Le devenir à court et à long terme fut analysé rétrospectivement et comparé aux données de survie de la littérature scientifique. Résultats. La mortalité opératoire est de 0%. Les complications post-opératoires immédiates sont : un lymphœdème post-curage axillaire chez 2 patientes (10%), un hématome chez 2 patientes (10%), une crise hypertensive chez 1 patiente (5%), une infection des voies urinaires chez 1 patiente (5%), des vomissements incoercibles chez 1 patiente (5%) et une douleur ne cédant pas aux antalgiques de première ligne chez 2 patientes (10%).Le taux de survie global, estimé par la méthode de KAPLAN-MEIER, à 1 et 3 ans était respectivement de 90% et 64.3% pour les carcinomes métaplasiques et de 75% à la fois à 1 an et 3 ans pour les sarcomes mammaires. La survie sans rechute, estimé par la même méthode, était pour les carcinomes à 1 et 4 ans respectivement de 80% et 53.3% ; et pour les sarcomes à 1 et 4 ans respectivement de 59.1% et 39.4%.Conclusion :Le taux de survie observé est similaire aux valeurs prédites par la littérature avec une exception pour la survie des sarcomes qui est légèrement surévaluée dans cette étude. Le taux de survie sans rechute observé est lui aussi similaire aux valeurs prédites par la littérature. La prise en charge thérapeutique aux Cliniques Universitaires Saint-Luc peut être qualifiée de similaire à celles des grands centres internationaux dont les résultats sont rapportés dans la littérature scientifique.

Keywords

Sarcoma --- Breast Neoplasms


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Les mécanismes de gonadotoxicité de la chimiothérapie du cancer du sein
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

La chimiothérapie est souvent nécessaire, surtout chez les femmes jeunes, pour obtenir une rémission complète du cancer du sein. Elle provoque cependant plusieurs effets secondaires dont l'aménorrhée chimio-induite. Ce mémoire a pour but d 'étudier, au niveau histologique, les mécanismes de l'altération de la fonction ovarienne suite à l'administration de chimiothérapie pour traiter une néoplasie mammaire. Méthode : Un comptage folliculaire est réalisé sur un modèle murin (n = 82) à qui nous avons injecté soit de la cyclophosphamide (200 mg/kg) soit une solution saline. Parallèlement, nous avons mené une étude histologique sur des ovaires de femmes exposées à la chimiothérapie, dans le cadre d'un cancer du sein, en comparaison à deux groupes d 'ovaires, l'un formé de femmes préménopausées et l'autre de femmes ménopausées. Ces ovaires ont été colorés au HE (hématoxyline-éosine) et trichrome de Masson. Des immunomarquages complémentaires CD31, WTI , alpha-actine et KI-67 ont également été réalisés. Résultats Le comptage folliculaire du modèle murin ne montre pas de différence significative du nombre de follicules ovariens entre les deux groupes de souris. L'analyse histologique des ovaires de femmes met en évidence une fibrose péri-corticale importante sur les ovaires des femmes traitées par chimiothérapie. Le nombre de noyaux cellulaires KI-67 positifs est significativement différent entre les ovaires des femmes traitées par chimiothérapie et ceux des femmes ménopausées mais il n'est pas significativement différent entre les ovaires des femmes traitées par chimiothérapie et ceux des femmes préménopausées. Les immunomarqueurs CD31, WT l et alpha-actine ne montrent pas de différence entre les trois groupes d'ovaires. Conclusion : Ces données prouvent que l'aménorrhée chimio-induite n'est pas une ménopause précoce étant donné la différence significative d'indice de prolifération entre les groupes de femmes exposées la chimiothérapie et les femmes ménopausées. La persistance de follicules d'une part et la présence de fibrose sur les ovaires exposés à la chimiothérapie d'autre part, nous amènent à l'hypothèse d'une atteinte préalable du tissu stromal.Celui-ci subirait un remaniement qui expliquerait l'aménorrhée parfois temporaire des femmes traitées par chimiothérapie dans le cadre d'un cancer du sein. Breast cancer is the most common cancer among women. Chemotherapy is often necessary, especially in young women, for a complete remission of the disease, however there are side effects. As a matter of fact, many women have amenorrhea after chemotherapy. The aim of this thesis is to analyse on the histological level, the mechanisms of impaired ovarian function following the administration of chemotherapy to treat breast neoplasia.Method: First, we count the follicles in a mouse model (n = 82) who were injected with either cyclophosphamide (200 mg / kg) or saline. Meanwhile, we performed a histological study of the ovaries of women treated with chemotherapy for a breast cancer, compared with two groups of ovaries, one of premenopausal and one of postmenopausal women. These avaries were stained with HE {hematoxylin-eosin) and Masson's Trichrome. Immunostainings were also performed: CD31, WTl , alpha-actin, KI-67. Results: For the mouse model, injection of cyclophosphamide showed no significant difference in the number of ovarian follicles between the two groups. Histological analysis of the ovaries of women shows a significant peri-cortical fibrosis in the ovaries of women treated with chemotherapy. The number of KI-67 positive nuclei was significantly different between the ovaries of women treated with chemotherapy and ovaries of postmenopausal women and is not significantly different with the ovaries of premenopausal women.Conclusion: These data show that chemotherapy-induced amenorrhea is not an early menopause given the significant difference of proliferation index between the groups of women who received chemotherapy and postmenopausal women. The lack of decrease in the number of follicles on the one hand and the presence of fibrosis in the ovaries treated with chemotherapy other hand leads to the assumption of stromal tissue damage. It might suffer an alternation which would explain the sometimes temporary amenorrhea in women treated with chemotherapy for breast cancer.


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Facteurs pronostiques, évolution et stadification des sarcomes des tissus mous de la sphère tête et cou chez l'adulte

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Abstract

Les sarcomes sont des tumeurs rares (3 à 4,5 cas/100.000 habitants) appartenant à la grande famille des tumeurs malignes non épithéliales. Ils sont divisés en 2 groupes distincts : sarcomes issus des tissus mous (tissu nerveux, vasculaire, musculaire…=mésoderme embryonnaire) et sarcomes issus des tissus osseux ou cartilagineux (non décrits dans cet article vu leur prise en charge et leur évolution totalement différentes). Les sarcomes issus des tissus mous sont subdivisés en de nombreuses sous-classes et peuvent survenir à tous niveaux dans l’organisme. Leur survenue au niveau de la sphère tête et cou est rare (5 à 10 % de tous les sarcomes) et représentent moins de 1 % de toutes les tumeurs de la sphère tête et cou.
En Belgique (10 millions d’habitants), cela représente une trentaine de cas/an. La Belgique comprenant 7 centres de références tertiaires, sans compter les centres annexes qui gèrent parfois ce genre de pathologie, cela explique la difficulté de collecter par centre un nombre important de patients. C’est sans doute une des raisons pour laquelle cet article est à ce jour (06/07/2008) le seul à présenter des données sur une série de patients belges ayant présenté un sarcome des tissus mous de la sphère tête et cou (STMTC)
Une autre difficulté liée aux sarcomes des tissus mous est leur grande hétérogénéité (>50 sous-classes actuellement) et leur rareté en regard des lésions bénignes de cette sphère ; un anatomo-pathologiste verra donc une centaine de lésions bénignes des tissus mous avant de pouvoir diagnostiquer un sarcome. C’est pourquoi même si le microscope optique existe depuis 1595 grâce au hollandais Jansen, il aura fallu attendre le début du 20ème siècle et Borst (1869-1946) pour obtenir la première classification des sarcomes sur des bases histologiques. Les premières études concernant des facteurs pronostiques commencent alors à apparaître avec Stout (1885-1967) qui affirme en 1964 que le pronostic et l’histoire naturelle des sarcomes des tissus mous dépendent du type cellulaire, du site anatomique et de l’âge du patient. Les années 60 verront aussi, grâce au français Denoix, l’avènement du système TNM, repris par l’AJCC (American Joint Committee on Cancer), qui proposera en 1977 la première échelle adaptée aux sarcomes. En 1979, celle-ci est modifiée, ajoutant le critère de superficialité ou de profondeur par rapport au fascia superficiel, et sert de référence actuellement à l’AJCC et l’UICC (Union internationale contre le cancer) pour la classification des STMTC. C’est également à partir de ce TNM modifié que le Memorial SLoan-Kettering Cancer Center (MSKCC) a constitué en 1979 sa propre échelle de stadification décrite par ses auteurs comme étant plus simple d’usage. L’AJCC et le MSKCC s’accordent sur l’importance pronostique du grade et de la présence de métastases, mais divergent sur l’importance exacte à donner à la taille, au site et à l’extension anatomique. Actuellement, ces deux systèmes sont les plus utilisés pour la stadification des STMTC.
L’autre originalité de cet article sera de les comparer et de voir s’il existe des différences de survie pour des stades identiques.

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