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Les fonctions de la finance sont souvent méconnues. L'idéologie libérale en est largement responsable : elle a fait croire qu'en laissant la finance à elle-même nos économies seraient dotées de mécanismes capables d'allouer au mieux l'épargne qui s'y dégage. La dernière crise financière a provoqué, sur ce point, le début d'une prise de conscience. Elle est cependant loin d'avoir conduit à une meilleure compréhension du rôle des institutions financières : pour beaucoup, la finance reste plus une ennemie qu'il faut combattre qu'un instrument dont il faut apprendre à se servir. Ses institutions, qui émettent et font circuler la monnaie, ont pourtant pour l'économie réelle une importance qu'il est dangereux de négliger : l'allocation de l'épargne, mais aussi le niveau de l'activité et le rythme de la croissance en dépendent. Cet ouvrage analyse le lien étroit entre monnaie, finance et économie réelle et montre pourquoi l'existence aujourd'hui d'un potentiel d'épargne important, au lieu d'être une opportunité pour l'économie mondiale, fait peser sur elle le risque d'une «stagnation séculaire»
Banks and banking, Central. --- Economic policy. --- Finance, Public. --- Fiscal policy. --- Monetary policy. --- Monetary policy --- Politique monétaire --- Politique fiscale --- Politique économique --- Banques centrales --- Finances publiques --- Economic development --- monnaie --- economie --- marches financiers --- munt --- financiele markten --- Politique monétaire --- Politique économique
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[Nouvelle éd.] La crise de la finance globalisée a été lourde de conséquences pour les Etats des pays développés. Afin d'éviter un effondrement de l'activité, ils ont accepté, à la fin des années 2000, de laisser leurs déficits budgétaires se creuser. Ce faisant, ils ont aussi jeté les germes d'une autre crise, celle des dettes souveraines. Avec un endettement souvent important et des perspectives de croissance à long terme faibles, ces Etats doivent à présent enrayer la hausse du poids de leur dette s'ils ne veulent pas que leur solvabilité soit mise en doute. Mais ils ne peuvent le faire rapidement sans freiner dangereusement l'activité. Face à ce dilemme, le Japon et les Etats-Unis ont choisi de privilégier le retour à la croissance, les Etats de la zone euro le retour à l'équilibre budgétaire. Quels sont les risques pris par chacun, mais aussi ses marges de manoeuvre ? A ces enjeux s'en ajoute un autre: les dettes de ces Etats jouent un rôle central dans le système monétaire et financier international. Si, demain, elles perdent leur statut "d'actif sans risque", comment le fonctionnement de ce système sera-t-il affecté ? La crise des dettes souveraines n'a pas fini de faire parler d'elle...
Debts, Public --- Global Financial Crisis, 2008-2009 --- International finance --- Dettes publiques --- Crise financière mondiale, 2008-2009 --- Finances internationales --- Debts, External --- AA / International- internationaal --- 336.301 --- 336.302 --- 336.312.3 --- 333.631 --- Toestand, structuur, rentelast en evolutie van de rijksschuld. --- Weerslag van de rijksschuld. --- Solvabiliteit, kredietwaardigheid van de landen. Risicolanden. --- Overheidsfondsen. Markt van de overheidsfondsen. --- Crise financière mondiale, 2008-2009 --- Toestand, structuur, rentelast en evolutie van de rijksschuld --- Weerslag van de rijksschuld --- Solvabiliteit, kredietwaardigheid van de landen. Risicolanden --- Overheidsfondsen. Markt van de overheidsfondsen --- Gestion des crises
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D'un bout à l'autre de la planète, la montée du poids des dettes, qu'il s'agisse de celles des États, des ménages ou des entreprises, inquiète. En même temps, savoir que les ménages épargnent et que leur patrimoine augmente rassure. Pourtant, si personne ne s'endette, personne non plus ne pourra mettre d'argent de côté : dans une économie marchande, les fourmis ont besoin des cigales ! Source de risques, régulièrement à l'origine de crises, la dette est indispensable à l'expansion de l'activité d'une économie dont les agents ne dépensent pas tout leur revenu. Ce trait paradoxal de la dette amène à répondre autrement aux interrogations récurrentes sur les limites de la dette publique. Tant que les ménages souhaitent épargner plus que les agents privés n'empruntent, nos États peuvent et doivent continuer de s'endetter. S'ils utilisent à bon escient les sommes qu'ils mobilisent, ils ne feront pas faillite...
Debt --- Debts, Public --- Dettes publiques --- Debts --- Debts, External --- Finance, Public --- Crisis management --- Dettes. --- Dettes extérieures --- Finances publiques --- Gestion des crises --- Dettes extérieures
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[Nouvelle éd.] La crise de la finance globalisée a été lourde de conséquences pour les Etats des pays développés. Afin d'éviter un effondrement de l'activité, ils ont accepté, à la fin des années 2000, de laisser leurs déficits budgétaires se creuser. Ce faisant, ils ont aussi jeté les germes d'une autre crise, celle des dettes souveraines. Avec un endettement souvent important et des perspectives de croissance à long terme faibles, ces Etats doivent à présent enrayer la hausse du poids de leur dette s'ils ne veulent pas que leur solvabilité soit mise en doute. Mais ils ne peuvent le faire rapidement sans freiner dangereusement l'activité. Face à ce dilemme, le Japon et les Etats-Unis ont choisi de privilégier le retour à la croissance, les Etats de la zone euro le retour à l'équilibre budgétaire. Quels sont les risques pris par chacun, mais aussi ses marges de manoeuvre ? A ces enjeux s'en ajoute un autre: les dettes de ces Etats jouent un rôle central dans le système monétaire et financier international. Si, demain, elles perdent leur statut "d'actif sans risque", comment le fonctionnement de ce système sera-t-il affecté ? La crise des dettes souveraines n'a pas fini de faire parler d'elle...
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La crise de la finance globalisée a été lourde de conséquences pour les États des pays développés. Afin d'éviter un effondrement de l'activité, ils ont accepté, à la fin des années 2000, de laisser leurs déficits budgétaires se creuser, jetant ainsi les germes d'une autre crise, celle des dettes souveraines. S'ils ne veulent pas que leur solvabilité soit mise en doute, ils doivent maintenant enrayer la hausse du poids de leur dette. Mais ils ne peuvent le faire rapidement sans freiner dangereusement l'activité. Face à ce dilemme, les gouvernements de la zone euro ont tenté un ajustement budgétaire rapide. L'activité a été asphyxiée, les équilibres sociaux ébranlés... et la hausse du poids des dettes publiques s'est souvent poursuivie. Les États-Unis n'ont pas commis la même erreur : leur effort budgétaire progressif a permis aux comportements de dépense privée de se normaliser et à la croissance de reprendre. Quant au Japon, il s'est dit, début 2013, prêt à maintenir un déficit public important pour sortir de la déflation. Presque partout, le poids des dettes publiques, déjà élevé, continue donc de monter. Il ne pourra le faire indéfiniment. La crise des dettes souveraines n'a pas fini de faire parler d'elle...
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Money --- Finance --- Business & Economics
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La crise de la finance globalisée a été lourde de conséquences pour les États des pays développés. Afin d'éviter un effondrement de l'activité, ils ont accepté, à la fin des années 2000, de laisser leurs déficits budgétaires se creuser. Ce faisant, ils ont aussi jeté les germes d'une autre crise, celle des dettes souveraines. Avec un endettement souvent important et des perspectives de croissance à long terme faibles, ces États doivent à présent enrayer la hausse du poids de leur dette s'ils ne veulent pas que leur solvabilité soit mise en doute. Mais ils ne peuvent le faire rapidement sans freiner dangereusement l'activité. Face à ce dilemme, le Japon et les États-Unis ont choisi de privilégier le retour à la croissance, les États de la zone euro le retour à l'équilibre budgétaire. Quels sont les risques pris par chacun, mais aussi ses marges de manoeuvre ? À ces interrogations s'en ajoute une autre : les dettes de ces États jouent un rôle central dans le système monétaire et financier international. Si, demain, elles perdent leur statut d'« actif sans risque », comment le fonctionnement de ce système sera-t-il affecté ? La crise des dettes souveraines n'a pas fini de faire parler d'elle...
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Buitenlandse schulden --- Commercial policy --- Debts [External ] --- Dettes extérieures --- Développement économique --- Economic development --- Economic growth --- Economische ontwikkeling --- External debts --- Handelspolitiek --- Politique commerciale --- Schulden [Buitenlandse ] --- E-books
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