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La fourbure est une maladie orthopédique courante chez les équidés, en effet elle est la deuxième cause de mortalité (ifce). Elle résulte d’une inflammation aseptique diffuse du pied qui, provoquant une grande douleur, empêche le cheval de se déplacer et conduit à la mort du cheval si elle n’est pas traitée à temps. Bien qu’il y ait beaucoup de causes de fourbures, les excès en glucides dans la ration et l’obésité qui peut en découler semblent être des facteurs déclencheurs importants. Nous verrons dans cette étude, la pathophysiologie menant à la fourbure en cas d’excès de consommation de glucides non structuraux et nous détaillerons les traitements possibles mis en place quand cette maladie orthopédique est installée.
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Les cellules souches sont des cellules indifférenciées capables de s’auto-renouveler et de se transformer en un certain type cellulaire avec des fonctions bien précises. Ces caractéristiques très intéressantes font qu’elles sont largement étudiées en médecine humaine mais également en médecine vétérinaire afin de pouvoir les utiliser pour réparer ou remplacer des tissus endommagés. Parmi ces cellules, se sont surtout les cellules souches mésenchymateuses (CSM) qui ont attiré l’attention puisqu’elles sont plus simples à isoler et cultiver et que leur utilisation ne présente aucun problème éthique. Depuis quelques années, la thérapie cellulaire fait partie intégrante de l’arsenal thérapeutique des désordres musculosquelettiques chez le cheval, notamment lors de blessures tendineuses ou ligamentaires. Récemment, des études ont investigué la possibilité d’une application clinique plus large, au-delà des blessures orthopédiques. Dans cet écrit, nous passerons en revue de façon synthétique et critique ces dernières avancées et nous finirons sur une discussion sur leur intérêt : ont-elles un avenir prometteur dans la médecine équine ou est-ce seulement un effet de mode ?
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L’ostéochondrome est une excroissance osseuse de la métaphyse ou de l’extrémité de la diaphyse des os longs résultant d’une prolifération exubérante du cartilage au niveau de la plaque de croissance. Cette exostose peut se manifester à plusieurs endroits du squelette. Chez le cheval, elle est retrouvée le plus fréquemment à la face caudo-distale du radius. Cette pathologie se manifeste cliniquement par une boiterie variable aggravée lors du test de flexion forcée du carpe et par une ténosynovite de la gaine carpienne résultant des lésions provoquées sur le tendon du muscle fléchisseur profond du doigt. L’examen diagnostique de choix est la radiographie et le traitement consiste en une approche chirurgicale par ténoscopie de la gaine carpienne. Cela permet de visualiser et d’exciser l’ostéochondrome ainsi que de débrider les lésions associées au niveau du tendon fléchisseur profond des doigts. Le pronostic associé à cette chirurgie est excellent.
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La colique est une douleur ayant pour origine l’abdomen. Au niveau du colon replié, les pathologies les plus courantes reprennent les torsions ainsi que les déplacements. Le traitement de ces coliques peut se résoudre médicalement pour certaines, mais d’autres nécessiteront un traitement chirurgical. Le choix entre les deux se fera à l’aide d’un examen clinique, d’examens spéciaux et d’examens complémentaires. Le traitement chirurgical comprendra une laparotomie ventrale, qui sera réalisée dans un premier but diagnostique et ensuite dans un but curatif. Elle pourra alors s’allier à des techniques telles que le repositionnement accompagné ou non d’une colotomie ou encore la résection avec anastomose du colon pratiquée seulement dans certains cas de torsion. Dans un second temps, lors de récidives de ces coliques (très présentes par exemple chez les juments poulinières), des techniques préventives peuvent être envisagées. Elles comprennent la résection et l’anastomose si elles n’ont pas encore été réalisées lors du premier épisode, ainsi que la colopexie. Le choix entre ces deux dernières repose, entre autres, sur la préférence du chirurgien, sur la viabilité du colon lors de la chirurgie et sur l’utilisation du cheval (cheval de sport versus jument poulinière). En effet, les juments poulinières présentent des résultats favorables à la colopexie tout en gardant un bon avenir reproducteur. La colopexie serait donc une alternative viable à la résection et anastomose (lorsque la paroi intestinale est encore viable) chez ces juments dans la prévention. Il y a cependant très peu de données sur les chevaux de sport. Le choix repose aussi sur les complications engendrées par ces deux techniques, à savoir que pour la colopexie plusieurs techniques existent également (ouverture paramédiane ou par la ligne blanche) mais avec un taux de complications assez similaire.
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Un des grands défis de la médecine vétérinaire équine est la gestion des plaies au niveau des extrémités digitées. En effet, ces dernières ont tendance à cicatriser de façon inefficace et anarchique. La première partie de ce travail rappelle les processus physiologiques de la cicatrisation ainsi que ses particularités dans l’espèce équine. Il existe plusieurs options thérapeutiques à disposition des vétérinaires pour gérer cette problématique. La greffe de peau semble être une des méthodes les plus efficaces pour soigner les plaies de façon rapide et esthétique. La seconde partie de ce travail porte sur les différentes méthodes de greffe de peau applicables dans ces situations.
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L’artérite virale équine est une pathologie présente dans tous les pays d’Europe. Le nombre de cas est probablement sous-évalué, la majorité des animaux atteints étant asymptomatiques. Cette pathologie est responsable d’avortements chez la jument gestante et constitue donc un enjeu économique majeur pour les éleveurs. Le principal réservoir de l’artérite virale équine est l’étalon car il peut rester porteur chronique au niveau de ses glandes sexuelles annexes. Il peut ainsi transmettre le virus sans présenter lui-même de signe clinique pendant des périodes allant jusqu’à plusieurs années. Le virus de l’artérite virale équine induit une pathologie se traduisant par une atteinte vasculaire au niveau de différents systèmes (respiratoire, reproducteur, urinaire…). L’agent pathogène se transmet par voies aérogène et vénérienne principalement. Les signes cliniques, lorsqu’ils sont présents, ne sont pas pathognomoniques de la maladie. Elle induit cependant une faible mortalité dans le reste de la population équine. Seul un traitement symptomatique peut être mis en place, à base d’AINS et de diurétique. Il existe plusieurs moyens pour diagnostiquer cette pathologie, notamment l’isolation virale sur prélèvement ainsi que la séro-neutralisation. Ces tests sont considérés comme des gold standard par l’OIE. Ils ont cependant des désavantages notamment la séro-neutralisation qui reste un procédé cher, lent et difficile à standardiser entre les laboratoires. De plus en plus d’études cherchent donc à mettre au point un test ELISA qui pourrait égaler les performances en termes de diagnostic du test de séro-neutralisation. De même des techniques de RT-PCR sont développées pour remplacer l’isolation virale dont les résultats peuvent être plus lents à obtenir. Plusieurs vaccins (vivants modifié et inactivé) contre l’artérite virale équine sont disponibles sur le marché. Mais ils ont le désavantage d’être non marqué. C’est-à-dire qu’un individu vacciné ne peut pas être différentié, au niveau des tests diagnostiques, d’un individu naturellement infecté par le virus. De nombreux vaccins de nouvelle génération sont à l’étude (vaccin à ADN, vaccin sous-unitaire, vaccin recombinant, vaccin vectorisé …) ainsi que des vaccins DIVA afin de résoudre ce problème.
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Depuis la fin des années 1990, les techniques de reproduction assistées dans l’espèce équine se sont fortement développées. Les programmes commerciaux de transfert embryonnaire, où la jument donneuse est inséminée puis l’embryon récolté et réimplanté dans une jument receveuse qui mènera la gestation à terme, sont disponibles depuis de nombreuses années. Les avancées scientifiques récentes ont permis de développer des programmes d’Ovum Pick Up – Intra Cytoplasmic Sperm Injection (OPU-ICSI) qui peuvent dorénavant s’inscrire dans des programmes commerciaux viables. Cette deuxième technique se différencie du transfert embryonnaire classique du fait que les ovocytes sont récoltés chez la jument donneuse par ponction de ses follicules, puis, que tout le processus de fertilisation a lieu in vitro, avant de réimplanter l’embryon dans une jument receveuse. Un nombre moyen de 0,5 à 0,8 embryon est récolté par session de transfert embryonnaire, principalement du fait de la difficulté de superovuler la jument, avec des taux de gestations d’environ 71% par embryon récolté. En OPU-ICSI c’est une moyenne d’1,6 embryons qui est obtenu par session avec des taux de gestation autour de 37,4% par embryon. Malgré ces résultats qui peuvent paraître faibles pour l’éleveur, ces techniques permettent de contourner certaines difficultés telles que l’âge avancé de la jument, le maintien de sa carrière sportive ou une baisse de sa fertilité de manière efficace. Cela est d’autant plus vrai pour la technique d’OPU-ICSI qui permet de contourner un nombre important de ces facteurs mais aussi d’utiliser de la semence d’étalons subfertiles ou peu disponible avec de bons résultats (77% d’embryons par session après ICSI des ovocytes).
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La cryptorchidie est une pathologie courante en médecine vétérinaire équine. Tout praticien équin sera amené à devoir poser un diagnostic de cryptorchidie au cours de sa carrière. Le diagnostic de cryptorchidie doit être réalisé dans un premier temps par un examen clinique du cheval. La palpation de la région scrotale est une étape importante pour vérifier la présence ou l’absence des testicules. L’examen par palpation transrectale des anneaux inguinaux peut donner une indication supplémentaire sur la présence des testicules. Un examen échographique transrectal, transabdominal ou de la région inguinal peut permettre au praticien de localiser un testicule cryptorchide. Si l’animal est trop difficile pour la palpation ou l’échographie, un dosage hormonal peut révéler la présence ou l’absence de tissu testiculaire fonctionnel. L’étude rétrospective de 61 cas de chevaux cryptorchides unilatéraux a été réalisée dans le but de mettre en corrélation le diagnostic par palpation et échographie et le diagnostic final posé en chirurgie. Les données montrent que dans la majorité des cas, le praticien a correctement localisé le testicule cryptorchide. La position du testicule était abdominale dans la majorité des cas où le diagnostic du praticien était différent de celui du chirurgien
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