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Le suicide d'un prêtre provoque l'ouverture des portes de l'Enfer: les morts se réveillent pour tuer les vivants. Lucio Fulci s'est fait rapidement une grande réputation dans le cinéma d'horreur grâce à l'ingéniosité des scènes de mort, à leur réalisme et à leur laideur.
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Début des années 70, dans le sud de l’Italie, un petit village de montagne est plongé dans la terreur : de jeunes garçons se font mystérieusement assassiner et la police semble avoir du mal à identifier le meurtrier. Les pistes sont nombreuses, mais aucune ne semble réellement aboutir. La tension monte au sein de cette petite communauté et les habitants commencent à désigner des coupables. Pendant ce temps, les crimes odieux continuent.Totalement inédit en France depuis 30 ans, La longue nuit de l’exorcisme est le film culte de Lucio Fulci, réalisateur du Venin de la Peur. Décrivant l’atmosphère délétère d’un petit village italien suite à une série de meurtres inexplicables, le film rassemble une pléiade d’acteurs tels Marc Porel, George Wilson, Tomas Milian, et d’actrices comme Florinda Bolkan, Barbara Bouchet ou Irene Papas. La longue nuit de l’exorcisme est un film sombre, désespéré, mélancolique avec des accès de violence jamais vus à cette époque. Reconnu de nos jours comme un classique, La longue nuit de l’exorcisme est présenté en version intégrale dans un nouveau master HD.
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Carol Hammond (Florinda Bolkan), fille d'un célèbre avocat, est la victime d'hallucinations étranges où elle imagine des orgies sexuelles sous LSD organisées par sa voisine, la belle Julia Durer (Anita Strindberg), une actrice à la vie sulfureuse et débridée. A la mort de cette dernière dans des conditions mystérieuses, Carole voit son monde s'écrouler et les mains de la police se refermer sur elle. Arrivera-t-elle à contenir sa folie et ses désirs sexuels insatisfaits ?... Oeuvre maîtresse dans la carrière de Lucio Fulci. Déployant des merveilles d'ingéniosité et une virtuosité technique, Fulci rejette la psychanalyse, la bourgeoisie et le mode de vie des hippies. Sublimé par la musique d’Ennio Morricone, balayé par des scènes oniriques d'une extrême sensualité, mais aussi par des moments d'une rare violence.
Psychanalyse --- Hippie --- Thriller --- Psychédélisme --- Italie
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"Une jeune femme hérite d'un hôtel à La Nouvelle-Orléans. Ce dernier fut jadis construit sur l'une des sept portes de l'enfer... L'Au-delà est souvent considéré comme la pierre angulaire de l'oeuvre de Lucio Fulci. Ce film d'horreur macabre et extrêmement cru dans son traitement, illustre de manière significative le pan artistique le plus connu de ce réalisateur. Considéré à l'époque de sa sortie (1981) et à l'instar des autres films de Fulci de la même période (L'Enfer des zombies, Frayeurs et La Maison près du cimetière) comme du cinéma d'horreur""pornographique"" (pour citer Christophe Gans), cette oeuvre est aujourd'hui traitée avec le même égard que certains classiques, dénigrés à leurs sorties, puis réhabilités avec le temps."
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"Dans la ville de Dunwich, le père Thomas se pend dans un cimetière. Son suicide a pour effet malheureux d'ouvrir les portes de l'Enfer, permettant aux morts de revenir sous forme de zombies. A New York, au même moment, Mary, une médium, a des visions atroces. En compagnie du journaliste Peter Bell, elle va se rendre à Dunwich pour tenter de refermer les portes de l'Enfer avant la Toussaint, sous peine de voir le monde entier envahi de zombies... Prix de la critique à Avoriaz en 1980, FRAYEURS fut le film qui consacra Lucio Fulci en dehors de son Italie natale, lui valant les doux surnoms de ""Poète du macabre"" en France et ""Godfather of Gore"" aux Etats-Unis. La raison est évidente en regardant le film qui, en plus d'une ambiance terrifiante, nous offre des scènes qui n'hésitent pas sur les détails sanglants ou simplement dégoûtants : Une pluie d'asticots grouillants qui s'abat sur les protagonistes, une fille qui vomit littéralement ses tripes ou encore un jeune homme qui se fait transpercer la tête de part en part à l'aide une perceuse, un effet très dérangeant de par son réalisme saisissant. Les cadavres en décomposition qui forment les zombies déambulant dégoulinent de matières indéfinissables, leurs apparitions aussi silencieuses que mortelles. Une fois leur victime désignée, leurs mains putréfiées lui agrippent l'arrière de la tête avant de pulvériser le crâne et d'arracher un gros bout de cervelle. Il y a des façons plus agréables de mourir..."
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Un mythe des morts-vivants à mi-chemin entre mystère et horreur. Lorsque le riche homme d'affaires Giorgio Mainardi meurt d'une hémorragie, tout le monde croit à un accident. Mais le fantôme du disparu rôde et veut connaître la vérité. Il découvre alors que son entourage se réjouit de sa disparition ! Avec sa fille Rosy, il va tenter de découvrir ce qui s'est réellement passé. Après avoir passé la première partie de sa carrière à mettre au monde des comédies, Lucio Fulci prend un virage à 360 degrés et s'attèle à enfanter des pièces horrifiques. Commençant ce nouveau projet dès la moitié des seventies, Fulci trouve sa marque de fabrique dans les oeuvres zombiesques qui lui vaudront sa reconnaissance à l'image de L'enfer des zombies ou de L'au-delà. Dès la moitié des années 80, l'art fulcien va subitement se mettre à décliner (époque où il contracte une maladie qui va s'avérer mortelle) pour en arriver à ne plus ressembler que de très loin au travail que l'auteur effectuait jadis. Après avoir signé un prolongement mineur de son oeuvre avec Aenigma, le réalisateur enchaîne les films de commande qui sont plus alimentaires que réellement bandants. Au-dessus de ce courant, flottant à la surface tel un corps inanimé, Voix profondes s'extrait du lot et prouve toute la force conceptuelle du réalisateur et son acharnement à demeurer fidèle à sa réputation. Composé cinq ans à peine avant son décès, Voix profondes semble être une oeuvre testamentaire au sein de laquelle l'auteur rend un dernier hommage à l'égard du genre qu'il a chéri et se venge des gens qui ont refusé de croire en son art. Giorgio décède et est détesté par tous, tout comme le réalisateur ne sera que très peu reconnu par les critiques, bien trop occupés à acclamer le dernier Fellini pour se tourner vers le genre mineur. L'oeuvre est en tout cas incontestablement autobiographique ne serait-ce que par le traitement de la mort qui approche (une mort qui décharne, abîme l'enveloppe corporelle où tout devient pourriture comme l'illustraient déjà les oeuvres zombiesques du réalisateur) ou par la relation dépeinte entre le père et sa fille (relation similaire à celle entretenue par Lucio et sa fille, Camilla, qui devient son assistante).
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NIGHTMARE CONCERT s'appuie sur une idée assez amusante : un réalisateur de films d'épouvante, hanté par les visions de violence qu'il met en scène, voit la réalité contaminée par ses oeuvres de fiction. Comme dans celles-ci, des jeunes femmes sont assassinées par un sadique, tandis que le metteur en scène ne parvient plus vraiment à reconnaître ce qui est fictif et ce qui ne l'est pas sur ses plateaux de tournage. Fulci propose donc sa version gore de LA NUIT AMÉRICAINE ou de HUIT ET DEMI, en poussant encore plus loin l'audace que Fellini et Truffaut, puisqu'il se met lui-même en scène, sous son propre nom... !
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Au croisement de l'Exorciste et de Poltergeist. Avec L'EVENTREUR DE NEW YORK, Lucio Fulci signe sa quatrième collaboration avec le producteur Fabrizio De Angelis et sa compagnie Fulvia Films. Mais ce thriller ultra-sombre et ultra-gore, relecture contemporaine des crimes de Jack l'éventreur, ne marche pas aussi bien que les précédents films du tandem. Néanmoins, les deux hommes travaillent encore sur un titre : LA MALEDICTION DU PHARAON, un projet auquel De Angelis est très attaché, tandis que Fulci ne le considère que comme un travail de commande qu'il est tenu d'accomplir contractuellement. Pour interpréter l'archéologue George Hacker, on choisit Christopher Connelly, un comédien venu de la télévision américaine, alors à l'aube d'une carrière italienne. Son fils est incarné par le jeune Giovanni Frezza, qui incarnait l'enfant-médium de LA MAISON PRES DU CIMETIERE. En cours de tournage, des modifications sont apportés au scénario : le récit, une histoire classique de possession, se voit adjoindre un prologue tourné en Egypte, selon la volonté de De Angelis, et le scénariste Dardano Sacchetti est convoqué précipitamment pour retoucher le script. De plus, le budget est revu à la baisse (sur 650 millions de lires, 200 s'évaporent) et de nombreuses idées de séquences truquées sont abandonnées au dernier moment. Photo : MALEDICTION DU PHARAON, LA (MANHATTAN BABY) Le professeur George Hacker, un archéologue américain, découvre en Egypte une tombe souterraine. Au cours de l'exploration, le guide l'accompagnant est tué par un piège et lui-même est rendu aveugle par d'étranges rayons bleus. Pendant ce temps, au Caire, une femme mystérieuse remet à Suzie, la fille du savant, un curieux médaillon antique. La famille retourne à New York, où, malgré son nouveau handicap, George tente d'exploiter ses découvertes faites en Egypte. Mais Suzie et son petit frère Tommy se mettent à adopter un comportement insolite... Photo : MALEDICTION DU PHARAON, LA (MANHATTAN BABY) Avec LA MALEDICTION DU PHARAON, l'oeuvre de Fulci prend une tournure nouvelle. Catalogué comme un spécialiste du gore italien, il semble ici s'assagir en proposant un film d'épouvante plus classique, dans la tradition du cinéma d'épouvante grand-public et anglo-saxon des années 1970 (L'EXORCISTE, LA MALEDICTION...). Par son titre original (MANHATTAN BABY) et sa localisation (un luxueux appartement situé près de Central Park), il semble nettement se référer à ROSEMARY'S BABY, lequel aurait été revisité avec des éléments de L'EXORCISTE. En y adjoignant une histoire d'archéologie égyptienne, LA MALEDICTION DU PHARAON semble, de plus, glisser vers LA MALEDICTION DE LA VALLEE DES ROIS, une grosse production britannique de 1980 qui réchauffait un roman de Bram Stoker afin de proposer une oeuvre dans le style de LA MALEDICTION.
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A Rome en 1599, la jeune Béatrice attend dans une cellule le moment de son exécution. Son crime est d’avoir commandité l’assassinat de son père, Francesco Cenci, noble tyrannique et incestueux. La sentence provoque l’ire du peuple qui voit en la « Belle parricide » la martyre d’une société arrogante et hypocrite. Mais derrière l’icône se cache un personnage complexe qui a su manipuler les sentiments du serviteur Olimpio pour arriver à ses fins.
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Dans une petite ville de l’Utah, un joueur professionnel, une jeune prostituée et deux autres prisonniers se retrouvent dans la même cellule. Après avoir échappé au lynchage organisé par les milices d’un shérif, ils s’enfuient dans le désert à bort d’un chariot. C’est lé début d’une série de rencontres insolites, étranges et parfois terrifiantes. 1975 : le western italien brûle de ses derniers feux. Lucio Fulci, qui avait déjà signé Le Temps du massacre en 1966 puis deux épisodes de la série Croc-Blanc au début des années 1970, revient une ultime fois dans les déserts de l’Ouest. Dans le parcours de Fulci, Les Quatre de l’apocalypse se situe entre une poignée de giallos remarquables (Le Venin de la peur, La longue nuit de l’exorcisme) et la célèbre série des films d’horreur poétiques qu’il réalisa quelques années plus tard (Frayeurs, L’Au-delà…). Voici donc l’un des westerns les plus atypiques et les plus violents du genre, à l’image du personnage de Chaco, figure radicale du Mal interprété par Tomás Milián et inspirée de Charles Manson. Atypique puisque Les Quatre de l’apocalypse contrevient à la plupart des règles habituelles du western et choisit la forme d’un voyage mystico-gore, à la lisière du fantastique et de la parabole. Ici, on dialogue avec les morts, on les mange parfois, on flirte avec le psychédélisme et on traverse un Ouest hanté, une sorte d’au-delà d’un genre à bout de souffle. Une merveille à redécouvrir.
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