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Dans ce travail nous avons voulu examiner certains aspects du vécu des jeunes fréquentant les CEFA, en établissant une différence entre les jeunes, suivant que leur choix de fréquentation des CEFA soit considéré comme positif ou négatif. Nous avons abordés les concepts de lieu de contrôle de renforcement,d'orientation future et de motivation. Nous avons également essayé de voir si le choix de fréquentation de ces jeunes avait une incidence sur leur réussite scolaire.
REUSSITE SCOLAIRE --- ETUDES --- FORMATION --- CHOIX DES ETUDES --- PERSPECTIVE TEMPORELLE --- LOCUS DE CONTROLE --- REUSSITE SCOLAIRE --- ETUDES --- MOTIVATION --- FORMATION --- CHOIX DES ETUDES --- PERSPECTIVE TEMPORELLE --- LOCUS DE CONTROLE
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Dit rapport toont aan dat tijdsongelijkheid essentieel is als men wederzijdse deelname wil aanmoedigen:toelaten dat vrouwen meer deelnemen in betaald werk en mannen meer in onbetaald werk. Dit rapport stelt, samen met andere beleidsinitiatieven, een concreet becijferd en gebudgetteerd voorstel voor om de verlofstelsels voor ouderschap in België te hervormen. Dit moet gendergebaseerd gedrag in tijdsbesteding, en bijgevolg ongelijke toegang tot sociale en arbeidsmarktgerelateerde kansen, structureel tegengaan.
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Ce mémoire est une recherche sur la socialisation chez les enfants entre 13 et 25 mois. Le but est de comprendre la manière dont la socialisation évolue en un an chez des enfants observés dans une crèche. La finalité a été de construire une grille d’observation spécifique ainsi que de donner un aperçu de la manière dont la socialisation évolue. La question de départ est : Comment évolue la socialisation entre 13 et 25 mois? Comment cette évolution se manifeste-t-elle? Y a-t-il des changements au niveau des interactions entre enfants? Ces changements se situent-ils au niveau des gestes? du regard? des émotions? La méthodologie est basée sur l’observation directe. Pour ce faire, la méthode naturaliste alternant observations et prise de notes a été utilisée pour les observations hebdomadaires et filmé mensuellement. Cette observation porte sur une période d’un an : de janvier 2013 à janvier 2014. Le but étant de voir une évolution, une seule crèche a été choisie afin de pouvoir suivre les mêmes enfants. On s’est particulièrement intéressé aux différentes interactions qu’il a pu y avoir entre les enfants. On s’est donc focalisé sur leurs gestes tout en essayant d’y inclure les regards et les émotions. Après avoir récolté ces différentes données, une liste regroupant les comportements présentés par chaque enfants a été réalisée. Sur base de cette liste, la grille a été réalisée et on a analysé l’évolution de la socialisation. Ce mémoire porte sur le volet qualitatif et descriptif.
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Dès leur plus jeune âge, les garçons et les filles sont conditionnés à « l'hétéronormativité ». La règle veut qu'une fille soit naturellement douce, coquette, bavarde, qu'elle aime jouer à la poupée, faire de la pâtisserie, apprécie les activités de français….Un garçon doit être fort, courageux, sportif, aimer le bricolage, les voitures, les sensations fortes, s'intéresser aux mathématiques,….Ces conceptions ne sont pas naturelles et n'ont rien à voir avec le sexe, elles résultent de modèles de genre qui nous sont transmis par l'intermédiaire de stéréotypes, via les agents de socialisation, dont l'école fait partie. Notre travail porte un regard sur la reproduction des stéréotypes de genre par les enfants de troisième maternelle lors d'ateliers de jeux et sur les réactions des enseignants en termes de sollicitations, d'aide, de félicitations et de critiques lors de ces activités. Pour atteindre nos objectifs, nous avons effectué une analyse quantitative de données recueillies lors de séances d'observations. Nos résultats montrent que lors du choix de jeux, les élèves ont tendance à se conformer aux modèles genrés véhiculés par la société. Ce constat est plus marqué au niveau des jeux symboliques que des jeux pédagogiques. À propos des interactions maître-élèves dans la classe, nos résultats ne mettent pas en exergue d’importantes différences de traitement des filles et des garçons de la part de l’enseignant mais plutôt une variabilité en fonction des élèves. Lorsque nous envisageons globalement nos résultats, nous observons toutefois un déséquilibre au niveau de la discipline et des sollicitations : les garçons sont davantage sollicités et reçoivent plus de remarques sur leurs comportements. À propos de l’aide, les enfants des deux sexes jouissent de la même attention. Par contre, au niveau des félicitations, les filles en reçoivent un peu plus que les garçons. Ces résultats sont conformes à ce que la littérature de recherche a établi pour d’autres niveaux scolaires. Les recherches et les observations menées ont nourri notre réflexion et nous ont permis de prendre conscience de nos possibilités d’action.
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Beaucoup de chercheurs ont tenté de comprendre comment et pourquoi certains élèves apprennent et s’épanouissent à l’école tandis que d’autres ont des difficultés à développer les connaissances et les ressources cognitives nécessaires. Beaucoup d’entre eux considèrent que la motivation peut apporter une explication à cette différence. D’ailleurs, Ames (1992, citée par Crahay, Dutrévis & Marcoux, 2010, p. 36) explique qu’ « il y a trois choses dont il faut se souvenir en éducation. La première est la motivation. La deuxième est la motivation. La troisième est la motivation. » De plus, la démobilisation des élèves, rencontrée de plus en plus dans les classes, est devenue également une des préoccupations principales des enseignants. Malheureusement, changer la dynamique motivationnelle des élèves ne semble pas être une tâche aisée pour tous les enseignants. Selon l’approche sociocognitive, les perceptions des élèves quant au climat motivationnel mis en place par l’enseignant, à travers ses pratiques pédagogiques, peut influencer leur dynamique motivationnelle. Si nous prenons comme référence la théorie des buts d’accomplissement issue de cette approche, le climat motivationnel influencerait plus particulièrement l’orientation motivationnelle des élèves en termes de buts d’accomplissement. L’objectif de ce travail est de montrer qu’il est possible d’avoir un impact sur la dynamique motivationnelle des élèves d’une classe de 5ème primaire et de changer celle-ci afin de favoriser leur engagement dans les activités scolaires. Dans le cadre de ce mémoire, la démarche mise en place est inspirée de la recherche collaborative entre un enseignant et un mémorant. Dans cette optique, les méthodes d’enseignement de l’enseignante susceptibles d’influencer un climat de compétition seront sujettes à des interventions leur permettant d’être ensuite plus favorables à un climat de maitrise. Ainsi, nous espérons permettre aux élèves de s’orienter plus particulièrement vers des buts d’apprentissage Conjointement, nous espérons que les interventions réalisées auront également un impact positif sur les perceptions générales des compétences des élèves.
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Cette recherche traite du bien-être dans le domaine de la petite enfance. Bien que la littérature scientifique souligne que l’éducation des jeunes enfants représente une étape clé dans le développement d’un individu, la notion de bien-être est encore peu définie en ce qui concerne les tout-petits. Il semble pourtant pertinent de s’y intéresser, puisqu’il s’agit là de la base de l’épanouissement et des apprentissages. Parallèlement, nous nous intéressons à ce que représentent, pour l’enfant, les premiers pas dans le monde scolaire. Qu’il ait déjà fréquenté ou non un milieu d’accueil, l’entrée à l’école maternelle produit un grand bouleversement chez le jeune enfant. C’est sur base de ces deux thématiques que s’est élaborée notre recherche. Le but de celle-ci est de comprendre comment évolue le bien-être des enfants en classe d’accueil, et parallèlement tenter de distinguer ce qui pourrait influencer celui-ci de façon positive. Pour ce faire, nous explorons, tout d’abord, la littérature scientifique traitant des sujets que nous venons d’évoquer. Ensuite, dans la partie pratique, nous proposons un dispositif, comportant diverses actions. Celui-ci a pour objectif de faciliter la transition et de favoriser le bien-être des enfants. Notre problématique fait appel à l’observation fine. Afin de répondre à notre question de départ, nous observons quatre enfants cibles à différents moments de la journée et de façon régulière (deux à trois fois par semaine) ; pour ce faire, nous utilisons une grille d’observation ainsi qu’un carnet de bord. L’observation mise en œuvre consiste à coder le niveau de bien-être de chacun de ces enfants, via la grille d’observation, et d’observer leurs comportements de façon précise afin de les transcrire dans leurs carnets de bord. Enfin, sur base de ces observations, nous tentons d’interpréter et analyser les indications apportées par la grille de codage en les mettant en lien avec les éléments plus précis et spécifiques du carnet de bord de chaque enfant. L’analyse est guidée par différents questionnements tels que : le bien-être évolue-t-il de façon positive ? Évolue-t-il chez tous les enfants ? Si oui, évolue-t-il de la même façon ? Certains moments s’avèrent-ils plus difficiles que d’autres ? Quels besoins manifestent les enfants ? Ont-ils recours au dispositif ? Si oui qu’est-ce que ça semble leur apporter ?
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En 1995, le décret relatif à la promotion d’une école de la réussite dans l’enseignement fondamental, émanant du Conseil de la Communauté française, a pour objet l’organisation du travail en cycles. En 2003, un ouvrage est réalisé afin de venir en aide aux équipes éducatives dans la nouvelle organisation des apprentissages prévue par ce décret. En 2013, la Fédération Wallonie-Bruxelles réédite ce guide à l’usage des enseignants et des directeurs d’école. Parmi les pistes proposées, on trouve le regroupement d’élèves et la classe « pluri-âge ». Le présent travail est consacré aux écoles proposant un regroupement maximum des enfants en âge de scolarité primaire, à savoir, la classe unique, rassemblant les élèves de la 1ère à la 6e année. Le nombre d’établissements de ce type est environ quinze fois moins élevé à l’heure actuelle en Fédération Wallonie-Bruxelles que dans les années 50, les parents leur préférant les écoles à classes séparées. Les raisons qui ont poussé à ce changement sont méconnues et la littérature de recherche ne mentionne pas, à notre connaissance, d’études réalisées en Belgique à ce sujet. A travers une enquête menée auprès de 178 familles domiciliées dans des villages où sont implantées des classes uniques en Belgique francophone, ce travail tente de définir ce qui oriente ces parents lorsqu’ils font le choix ou non d’inscrire leur enfant dans ce type d’établissement. Cette recherche permettra de déterminer si le recours aux classes uniques se fait uniquement sur base de facteur de proximité ou si la pédagogie appliquée à ce fonctionnement de classe est également un critère déterminant dans le choix des parents. Cette étude, réalisée à petite échelle, ne se veut pas exhaustive. Elle permet néanmoins de rendre compte des perceptions des parents face aux regroupements d’élèves et de proposer une réflexion autour des facteurs qui guident leur choix lorsqu’ils choisissent l’école primaire de leur enfant.
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Diverses études (Brugeilles, Cromer & Cromer, 2002 ; Cromer & Turin, 1998 ; Dafflon Novelle, 2006 ; Dionne, 2007, 2009) ont montré la prégnance des stéréotypes de genre et ce particulièrement dans les albums utilisés dans les classes préscolaires. A quel point ces stéréotypes peuvent-ils avoir une influence sur le développement du jeune enfant, guider ses choix, influer sur sa construction identitaire et impacter son devenir de petit garçon ou de petite fille ? Les premières expériences sont les plus prégnantes et ont un impact considérable dans le devenir du jeune enfant. C’est pourquoi nous avons décidé de mener notre enquête dans des classes préscolaires et sur le corpus des albums utilisés par les enseignants observés. Notre étude s’appuie sur deux postulats. Le premier pose l’hypothèse que les albums utilisés dans les classes de troisième maternelle sont encore empreints d’une vision discriminatoire de la place des hommes et des femmes dans la société et dans la famille. Notre seconde hypothèse est que la façon dont les enseignants inscrivent ces moments de lecture conforte cette vision discriminatoire. Notre échantillon comprend cinq enseignants que nous observons à deux reprises. Ainsi, l’objectif est d’analyser leur choix d’albums mais également si leur pratique consolide ou déconstruit les éventuels stéréotypes présents au sein des albums. Dans un premier temps, nous réalisons un cadre théorique nécessaire à l’élaboration de notre recherche. Ce cadre nous a permis d’établir différentes grilles d’analyse. Nous avons également élaboré un questionnaire soumis aux enseignants afin de comprendre la façon dont ils choisissent les livres qu’ils présentent aux enfants. Ensuite, notre analyse pratique nous démontrera la subsistance au sein du corpus analysé de stéréotypes de genre, implicites ou explicites. Nous remarquerons également que les enseignants ne semblent pas en avoir conscience, ils ne déconstruisent pas ces stéréotypes. Cela nous amènera à réfléchir sur la nécessité d’informer les enseignants à ce sujet et de les former à la déconstruction des stéréotypes ainsi qu’à la réalisation d’un choix de matériel adéquat. Ceci afin de garantir à l’enseignement la base égalitaire dont il a vocation.
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Cette recherche a pour objectif d’explorer les possibles intérêts d’un dispositif de type MOOC sur le développement de l’autonomie d’adultes non qualifiés. Par ses aspects très ouverts au niveau de l’accessibilité, ce nouveau genre de formation à distance porte en effet de nombreuses promesses de démocratisation de l’enseignement, et de la formation plus généralement. Mais parallèlement, il lui est souvent reproché de considérer l’autonomie comme un prérequis indispensable, ce qui expliquerait ses si importants taux d’abandon. Après une analyse de la littérature, il est apparu d’une part, que le degré de liberté offert dans le cours et le degré de présence de la communauté du MOOC étaient les deux caractéristiques les plus probables à pouvoir développer l’autonomie et, d’autre part, que les perceptions que les travailleurs ont de leurs compétences d’autonomie jouent un rôle plus déterminant, dans leur émancipation professionnelle, que les compétences elles-mêmes. Notre démarche consiste donc en une étude de cas qui vise à observer les variations de perceptions des comportements liés à l’autonomie des apprenants, au regard des degrés d’ouverture et de présences sociale et cognitive. À cette fin, nous avons sélectionné deux MOOCs proposant des modalités variées, dont les caractéristiques – degré d’ouverture et degré de présences sociale et cognitive – ont été mesurées par le biais d’entretiens et de questionnaires, autant auprès des concepteurs, que de deux publics ciblés socio-professionnellement parmi les participants : les travailleurs qualifiés et non qualifiés. Nous avons ajouté à ces éléments une observation objective des deux cours, ainsi que l’évaluation, par les étudiants volontaires eux-mêmes, de leurs perceptions de leur degré d’autonomie, pris à l’entrée et à la sortie du MOOC. Les résultats obtenus, sur base de ces données croisées, nous offrent un aperçu de l’intérêt d’un dispositif de type MOOC pour l’émancipation de travailleurs non qualifiés, et nous poussent à nous questionner sur l’influence des perceptions des caractéristiques du dispositif par les participants, autant que de leur influence propre. A l’issue de cette recherche, nous nous interrogeons aussi sur l’origine et la forme de l’accompagnement pédagogique à adopter pour convertir ce potentiel de développement de l’autonomie des MOOCs en résultats concrets.
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