Listing 1 - 10 of 10 |
Sort by
|
Choose an application
Clemency --- Clémence --- Seneca, Lucius Annaeus, --- Clementia --- --Pardon --- --Rome ancienne --- --Ier s. av JC, --- Political ethics --- Clémence --- Pardon --- Rome ancienne --- Ier s. av JC, 100-1 av JC --- Clémence (droit) --- Bonté --- Rome --- Dans la littérature --- Clémence (droit) --- Bonté --- Dans la littérature
Choose an application
Choose an application
Caesar contra Gallos est le deuxième volume de la trilogie consacrée à Jules César. L’ambitieux César s’est mis en tête de conquérir les Gaules pour accroître son prestige et son pouvoir ; il doit pour ce faire affronter les peuples qui hantent cette contrée, des combattants redoutables mais divisés, avec à leur tête l’irréductible Vercingétorix. S’appuyant sur le récit de César lui-même, ce court volume invite le lecteur à vivre en latin et en français dans le texte les moments mémorables et fondateurs de la guerre des Gaules. Gaulois indomptable ou Romain conquérant, choisis ton camp !
Choose an application
Rome, 15 mars 44 avant J.-C., César vient d’être sauvagement tué dans un des plus hauts lieux du pouvoir ! Parvenu au sommet de l’État après avoir éliminé tous ses ennemis, le dictateur n’a pas voulu croire les présages qui lui annonçaient sa mort prochaine. Trahi par des hommes en qui il avait eu le tort de placer sa confiance, comme Brutus – à qui il n’a cependant jamais dit, comme on le croit si souvent, les fameux mots Tu quoque mi fili, César est poignardé en pleine assemblée. Tandis que la mort rôde, les esprits s’embrasent, les têtes tombent : loin de mettre fin aux troubles de l’époque, cet assassinat entraîne en réaction bien d’autres meurtres, tout aussi sanglants, comme celui de Cicéron. Ce sont ces épisodes que raconte ce volume, le dernier d’une trilogie qui a commencé par Ave, Caesar !, retraçant les débuts de César, et s’est poursuivie avec Caesar contra Gallos, consacré à la guerre des Gaules. Deviens le témoin, en français et en latin, d’une période fascinante et fondatrice de l’Histoire.
Choose an application
"Quel auteur passe en quelques pages des réformes législatives fondamentales aux diverses coucheries des empereurs, de la peinture des petits travers des grands hommes à leurs hauts faits admirables ? Cet écrivain, à la fois grand érudit et chasseur d'anecdotes, c'est Suétone, capable aussi bien de citer scrupuleusement les archives impériales attentivement dépouillées que de se faire l'écho des racontars les plus invraisemblables. Cette variété se trouve dans la galerie des portraits, où cohabitent Auguste, génial fondateur du régime impérial, Vitellius, goinfre au règne éphémère, Néron et Domitien, rivaux en cruauté et en complexité. Greffier apparemment impassible des exploits et des bassesses de chacun dans sa politique et dans son intimité, Suétone restitue jusque dans leurs contradictions, la complexité des individus que furent les Césars, tout en poursuivant un but profondément moral et politique : ébaucher, par l'exemple ou le contre-exemple, l'image d'un prince idéal."-- 4e de couverture
Choose an application
Festschrift - Libri Amicorum --- Poésie latine --- Rome --- Thèmes, motifs --- Dans la littérature --- 30 av J-C-14 (Auguste)
Choose an application
Quel était le modèle impérial romain ? Pour répondre à cette question, les auteurs ont puisé dans les sources et livrent ici plus de trois cents documents - textes tirés des ouvres des auteurs anciens, inscriptions, papyrus, ostraca et monnaies - traduits et présentés, dont beaucoup sont issus de découvertes récentes. À travers eux, la parole est donnée à tous les habitants de l'Empire, hommes et femmes, provinciaux des villes et des campagnes, d'Orient et d'Occident, notables et petites gens, mais aussi aux responsables et aux agents du pouvoir romain, au Sénat, à l'empereur lui-même, aux dignitaires comme à la foule subalterne des soldats et des fonctionnaires de cette immense machine. Ainsi sont évoqués tous les aspects de la relation singulière établie entre Rome et les différentes communautés provinciales, depuis la conquête et l'intégration jusqu'à la romanisation, voire l'assimilation, et la participation des populations locales à la gestion de l'Empire. Au bout du compte, c'est un système original d'impérialité qui apparaît au fil de ces pages dans lequel l'hégémonie volontiers brutale du centre était tempérée par l'association des périphéries à un destin commun.
Roman provinces --- Power (Social sciences) --- Imperialism. --- Provinces romaines --- Pouvoir (Sciences sociales) --- Impérialisme --- Administration --- Rome --- Provinces --- Boundaries --- History --- Military history --- Sources --- Politics and government --- Frontières --- Histoire --- Histoire militaire --- Politique et gouvernement --- Imperialism --- Impérialisme --- Frontières --- Administration. --- Rome - Politics and government - 30 B.C.-284 A.D. - Sources --- Rome - Politics and government - 265-30 B.C. - Sources --- Roman provinces - Administration - History - Sources --- Power (Social sciences) - Rome
Choose an application
Choose an application
A travers les textes d'auteurs de l'Antiquité, cet ouvrage constitue un panorama des châtiments que pratiquaient les Grecs et les Romains. Ces effrayantes anecdotes posent aussi la question de ce qui motivait une telle violence. Se dégagent aussi des figures de martyrs chrétiens ou d'hommes politiques qui ont su triompher de ces épreuves avec sagesse et courage.
Corporal punishment --- Torture --- Torture in literature --- Punition corporelle --- Torture dans la littérature --- History --- Histoire --- Punitions corporelles --- Peine de mort --- Exécutions capitales et exécuteurs --- Dans la littérature --- Capital punishment --- Torture dans la littérature --- Dans la littérature. --- History. --- Capital punishment - Rome - History --- Capital punishment - Greece - History --- Corporal punishment - Rome - History --- Corporal punishment - Greece - History --- Torture - History
Choose an application
La supplication est un discours risqué. Acte de langage de « la dernière chance », elle tente d'inverser un rapport de force, ne serait-ce que ponctuellement. On songe aux demandes de grâce, à toutes sortes de placets, aux supplications amoureuses. Et fondamentalement, la supplication dérange, elle a un caractère potentiellement importun et menaçant, puisqu'elle place l'interlocuteur devant la nécessité de répondre. Elle représente souvent une expérience limite pour les interlocuteurs comme pour les spectateurs. Avec le suppliant, entre sur la scène un spectre inquiétant : celui de l'infortune et du malheur, de la souffrance dont nul ne voudrait se tenir responsable – mais aussi la possibilité d'un autre système de valeurs. Elle représente en effet l'appel direct possible à une justice que le suppliant espère envers et contre tout. Son geste même la postule, même s'il ne l'argumente pas explicitement. Cette espérance (qui va du plus concret au plus eschatologique) fait toute la force de la supplication, et pousse celui qui n'a (plus) rien à parler aux puissants. Cette tension vers la justice peut participer à la constitution du présupposé pragmatique, au principe de son ethos : c'est justement l'absolue faiblesse qui autorise le pauvre à parler. Inversement, le supplié étant un puissant, se prête à ce rôle, dans la mesure où il entre dans la scénographie où l'attire le suppliant. Le travail sur le rapport de force suppose donc de subtils réglages en même temps qu'une extraordinaire ouverture à l'inédit du cœur humain. Qu'il soit écouté et exaucé ou non, le discours de la supplication se prête par excellence à une analyse des actes de langage qui puisse mettre en évidence l'articulation entre les mots (acte locutoire), l'acte (illocutoire) et les effets de la parole (perlocutoire). L'échec ou la réussite dépendent autant du cœur du supplié que de la pertinence des mots, de l'adaptation paradoxale aux circonstances sociales, juridiques, politiques, institutionnelles…
Listing 1 - 10 of 10 |
Sort by
|