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La Justice française s'est singularisée jusqu'en 1958 par un défaut évident, tant de sélectivité intellectuelle à son entrée que de formation préalable des magistrats. La professionnalisation de la magistrature s'est imposée dans sa forme actuelle à l'issue d'une crise récurrente de son recrutement. La politique adoptée dans les années 1970 a produit et continue encore à produire des effets positifs. Par delà la diversité des motivations invoquées, l'importance de l'image positive des fonctions judiciaires se révèle toujours aussi cruciale. Image ou mirage ? Les témoignages recueillis ici ne sont pas exempts, parfois, d'une certaine désillusion et mettent en avant des arguments qui pourraient inciter des plus jeunes à ne pas devenir magistrat.
Judges --- Justice, Administration of --- History.
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Lawyers --- Judicial independence --- Avocats --- Indépendance judiciaire --- History --- Histoire --- Déontologie --- Indépendance judiciaire --- Histoire. --- History. --- Déontologie
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History --- identité --- nobilaire --- identité nobilaire --- mémoire --- noblesse --- élite --- Ancien Régime --- élite --- identité nobilaire --- identité --- nobilaire --- Ancien Régime --- mémoire --- noblesse
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History --- identité --- nobilaire --- identité nobilaire --- mémoire --- noblesse --- élite --- Ancien Régime
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History --- identité --- nobilaire --- identité nobilaire --- mémoire --- noblesse --- élite --- Ancien Régime --- élite --- identité nobilaire --- identité --- nobilaire --- Ancien Régime --- mémoire --- noblesse --- élite --- identité nobilaire --- identité --- nobilaire --- Ancien Régime --- mémoire --- noblesse
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L'ambition de cet ouvrage est de contribuer à une histoire et à une sociologie des élites et des pouvoirs locaux sous la Troisième République, à partir de travaux portant sur leurs profils, leurs représentations, leur permanence et leur renouvellement ainsi que sur leurs attitudes dans le conflit traditionnel entre Paris et la province. Il s'agit donc de tenter de reconstituer, de manière empirique, un certain nombre de « configurations » et de réseaux de pouvoir afin de mieux saisir l'armature du contrôle politique et social, et par conséquent, les figures concrètes de la gouvernance des sociétés locales. Les champs d'investigation englobent ici la dimension communale, départementale et régionale sur l'ensemble du territoire de la France du Sud-Est.
France --- Politics and government --- 1870-1940 --- Congresses --- Elite (Social sciences) --- France [Southeastern ] --- History --- Sociology --- élite --- élite politique --- élite sociale --- pouvoir --- politique --- autorité --- autorité religieuse --- savant --- entrepreneur --- avocat --- pasteur --- journaliste --- sénateur --- maire --- patronat --- industrie --- Troisième République
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Les contributions qui composent cet ouvrage portent l’attention sur la vie deux fois séculaire des Facultés de droit de province, et plus précisément sur les efforts ou les choix qui ont contribué aux évolutions, aux adaptations de ces dernières. Elles pouvaient être étudiées comme des entités institutionnelles, un corps vivant - d’enseignants mais aussi d’enseignements - comme des lieux de dynamiques sociales et politiques ou comme espaces de production scientifique. Finalement c’est l’idée de conquêtes qui se dégage assez naturellement. Conquêtes universitaires, donc. Ou facultaires. Rien de martial dans ce mouvement. Rien d’uniforme non plus. Mais seulement la signification de réalités restituées par la diversité des sujets traités : jamais l’Université n’a cessé d’être un lieu de débat tourné vers ses objectifs, ses missions et ses méthodes. Jamais non plus, il ne semble qu’elle ait considéré une situation acquise comme indépassable, rendant douteuse l’image d’une institutio absolument hermétique et/ou prisonnière d’elle même. S’imposer parmi plusieurs territoires, administratifs ou symboliques ? Gagner le cœur des étudiants ou de leurs parents ? Etoffer les enseignements ? Adapter la recherche ? Les Facultés de droit semblent bien confrontées depuis leur rétablissement à ces questions vitales. Et si elles n’ont cessé de se réformer, malgré leurs résistances naturelles, elles l’ont fait en s’inscrivant à la fois dans le champ des objectifs assignés par l’autorité publique, extérieure, et dans celui de leur propre culture.
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Normes sociales --- Famille --- Propriété --- Obligations (droit) --- Droit --- Josserand, Louis,
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L’occasion d’un colloque sur l’histoire des Facultés de droit de province au xixe siècle a été founie par le bicentenaire du décret du 17 mars 1808 qui a redonné aux Ecoles de droit le titre de Facultés qu’elles ont conservé de manière discontinue jusqu’à nos jours. Afin de délimiter le sujet, il a été décidé de se consacrer d’abord au xixe siècle (lato sensu) et aux Facultés de droit de province (même s’il ne faut pas ignorer les interactions avec celle de Paris). Ainsi se trouvaient directement concernées les Facultés de droit napoléoniennes : Aix - Caen - Dijon - Grenoble - Poitiers - Rennes -Strasbourg et Toulouse et celles créées ultérieurement à partir de la fin du Second Empire (Nancy - Douai) et du début de la IIIe République : Bordeaux - Lyon - Montpellier - Lille sans oublier le cas particulier d’Alger. Il est vrai que l’historiographie des Facultés de droit est restée trop longtemps le parent pauvre de la recherche sur l’enseignement supérieur français. Fort heureusement, l’on assiste depuis quelques années à un regain d’intérêt pour ces sujets. Le temps est venu, semble-t-il, de coordonner et de fédérer la recherche menée sur l’histoire des Facultés de droit et ce livre issu du colloque de 2008 y contribue. Les historiens du droit ne revendiquent aucun monopole en ce domaine et tous les talents sont les bienvenus comme on a essayé de le montrer dans l’élaboration même de cet ouvrage mais ils doivent résolument et collectivement se situer en première ligne sur ce chantier de recherche. Pour cela, ils doivent mieux se connaître, confronter leurs points de vue, se retrouver régulièrement, se soutenir davantage, intégrer aussi les jeunes chercheurs à cette recherche au long cours qui permettra, en connaissant mieux notre passé de mieux aborder les grands défis que connaît aujourd’hui l’Université française.
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