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Femmes victimes de violences --- Violence conjugale --- Victimes --- Personnalité. --- Protection, assistance, etc

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Cette étude vise une approche de la communication au sein des partenariats locaux de prévention et des groupes de prévention vol sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook. Le but est de dégager des lignes directrices de conduite par rapport à l’interaction, qu’elle soit cadrée ou non. Nous avons pour cela analysé le noyau de quatre PLP dans une commune de la Province de Namur. Dans un premier temps, nous avons réalisé des entretiens qualitatifs auprès des acteurs locaux des PLP. Nous avons ensuite analysé ce qui se passait concrètement sur Facebook concernant la prévention. Nous avons étudié les interactions au sein des groupes PLP, mais aussi des groupes d’initiative purement citoyenne, créés pour de la prévention vol sur les réseaux sociaux. Nous avons pu mettre en exergue des différences dans les sources utilisées et dans la manière de signaler des faits suspects. Les membres des PLP sont en effet formés par la police pour pouvoir signaler de manière efficace. Le PLP en termes de prévention pour les citoyens permet de cadrer les discussions, aussi sur les réseaux sociaux, et éviter des débordements qui pourraient avoir des impacts dangereux. Les risques de propos offensifs, d'informations confidentielles divulguées, et de non-respect des règles sur la vie privée des citoyens sont nettement plus élevés sur les groupes qui n'ont pas de cadre légal.

communication, réseaux sociaux, prévention vol, partenariat citoyen, communauté --- Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie

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Cette recherche vise à investiguer le point de vue des intervenants judiciaires (juges de la jeunesse, substituts et criminologues actifs dans ce domaine) quant à la pertinence de la prévention pénale auprès des mineurs délinquants, au sein de l’arrondissement de Liège, au début du XXIe siècle. De fait, depuis la fin du XXe siècle, nous constatons, à l’international, une tendance, chez les législateurs et les divers professionnels de la justice, accordant de plus en plus de place à la répression et à la dissuasion dans le traitement et la prévention de la délinquance juvénile (Cartuyvels et al., 2009). Nous avons dès lors sondé le sujet, à Liège, à l’aide d’une recherche qualitative. Neuf entretiens individuels ont ainsi été effectués auprès du public cible, cinq par visioconférence et quatre en face-à-face. Les données récoltées ont été étudiées au moyen de l’analyse thématique. Les principaux résultats démontrent que les intervenants judiciaires, mais moins les substituts, considèrent la dissuasion seule comme peu efficace auprès des jeunes délinquants. De plus, les juges sont plus favorables à la mise en œuvre de la réhabilitation que de la prévention pénale, à l’inverse des membres du ministère public, proposant davantage un équilibre entre ces deux finalités. Les considérations dégagées soutiennent globalement l’hypothèse d’une approche réhabilitative encore fort dominante dans les années à venir au sein de la justice des mineurs à Liège.

prévention pénale --- modèle protectionnel --- mineurs délinquants --- justice des mineurs --- délinquance juvénile --- dissuasion --- intervenants judiciaires --- mesures de protection --- deterrence theory --- welfare system --- youth offenders --- juvenile justice --- judicial actors --- juvenile delinquency --- protective measures --- Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie

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La toxicomanie est, depuis des années, un fléau principalement urbain que les responsables de chaque ville essaient d’éradiquer. De nombreuses études ont démontré que les toxicomanes induisaient un sentiment d’insécurité chez la population. Cependant, les toxicomanes restent un public vulnérable et marginalisé, qui eux aussi peuvent ressentir un sentiment d’insécurité. Nous avons donc décidé de tourner le cheminement des autres études dans le sens inverse : pourquoi les toxicomanes ne ressentiraient pas de l’insécurité lorsqu’ils consomment en rue ?
Nous nous sommes concentrés sur trois types de facteurs, chacun divisé en sous-facteurs. Premièrement, nous avons étudié des facteurs individuels, tels que les expériences antérieures de victimisation, ainsi que leur rapport à la toxicomanie. Ensuite, nous avons étudié des facteurs environnementaux et collectifs, tels que les compétences d’adaptation perçues, la représentation et la caractérisation de l’environnement dangereux, ainsi que leur tolérance et leur civilité. Enfin, nous avons étudié les facteurs sociaux, tels que le rapport à la police et aux actions menées par celle-ci, le support des pairs et la prévention.
Pour étudier cela, nous nous sommes rendue dans un centre d’accueil liégeois pour toxicomanes et nous avons fait passer un entretien à treize usagers.
Les résultats ont permis de démontrer certaines tendances du comportement toxicomane en fonction de chaque facteur. Ces résultats seront plus détaillés dans notre étude. Nous avons aussi pu constater une tendance montrant un certain sentiment d’insécurité chez le public toxicomane. For years, drug abuse has been an urban plague that officials in every city are trying to eradicate. Many studies have shown that drug addicts induced a fear of crime in population. However, drug addicts are still a vulnerable and marginalized public, who can also experience a fear of crime. Therefore, we decided to turn the path of the other studies in the opposite direction : why wouldn’t drug addicts feel a fear of crime when they consume on the street ?
We focused on three types of factors, each of them divided into sub-factors. First, we studied individuals factors, which included previous victimization experiences and their relation to drug abuse. Then we studied environmental and collective factors, which included perceived coping skills, representation and characterization of the unsafe environment and tolerance and civility. Finally, we studied social factors, which included their relation to the police and their actions against them, peers support and prevention.
To study this, we went to an institution for drug addicts in Liège and interviewed thirteen users.
Results have shown tendencies in drug users behavior depending on each factor. These results will be more detailed in our study. We have also certified a tendency showing a certain fear of crime in drug users public.

sentiment d'insécurité --- toxicomanie --- Liège --- désordre urbain --- consommation de rue --- drug abuse --- substance addiction --- fear of crime --- Liège --- urban disorder --- street consumption --- Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie