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La recherche présentée tente de mettre en évidence des liens entre estime de soi, buts d'accomplissement et réussite scolaire. De plus, nous avons essayé de voir si des caractéristiques individuelles telles que le sexe, l'âge, le SES... avaient un impact sur l'estime de soi et les buts d'accomplissement. Pour ce faire, nous avons fait passer un questionnaire auprès des élèves de première, troisième et cinquième années du secondaire. Les données sur l'estime de soi et les buts d'accomplissement, réciltées à partir de ce questionnaire, ont ensuite été mises en lien avec les résultats scolaires en français et en mathématiques ainsi qu'avec la décision du conseil de classe.
Mathématiques --- Mathematics --- Enseignement secondaire --- Elève --- Ecole --- Réussite scolaire --- Etudes --- Estime de soi --- Auto-efficacité --- Apprentissage --- Compétence --- Enseignement du français --- comportement --- attitude envers --- participation --- motivation --- Mathématiques --- Elève --- Réussite scolaire --- Auto-efficacité --- Compétence --- Enseignement du français
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Intérêts professionnels. --- Orientation professionnelle. --- Orientation scolaire. --- Vocational interests --- Vocational guidance --- Educational counseling
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Les résultats de compréhension en lecture en Fédération Wallonie Bruxelles posent question (Schillings, P. et al., 2012, p.21). Dès lors, "il importe d’explorer toutes les pistes possibles pour rendre compte de la faiblesse préoccupante des résultats et surtout d’identifier sur quels leviers agir pour renverser la tendance" (Schillings, P. et al, 2012, p.24). Le présent travail s'inscrit donc à travers cette problématique en proposant la mise en place du dispositif des cercles de lecture en cinquième année primaire. Un cercle de lecture, tel que défini par Terwagne, Vanhulle et Lafontaine (2001, p.7), est un « (...) dispositif didactique qui permet aux élèves, rassemblés en groupes hétérogènes, d’apprendre ensemble à interpréter et à construire des connaissances à partir de textes de littérature ou d’idées. De telles interactions entre lecteurs favorisent à la fois la construction collective de significations ou l’intériorisation par chaque élève de stratégies d’interprétation». D'un point de vue méthodologique, huit classes de cinquième année primaire ont été sélectionnées. Quatre classes ont été désignées comme classes contrôles, et quatre autres classes comme classes expérimentales. À partir d'un modèle de réponse à l'item, quatre textes et questionnaires ont été administrés dans chaque classe sur une période de trois mois. De plus, durant les deux derniers mois, deux cercles de lecture ont été réalisés dans les classes expérimentales. Enfin, lors de la mise en place des cercles de lecture, une observation des régulations de l'enseignant, telles que définies par Allal et Mottier (2007, cités par Schillings, 2014), a été réalisée. À partir du schéma expérimental construit, des comparaisons pourront être effectuées entre les résultats obtenus par les classes expérimentales et les classes contrôles, et plus particulièrement au niveau des questions d'interprétation, qui sont davantage développées lors des cercles de lecture. En outre, comme le soulignent Perrault et Giasson (1996), l'enseignant, de par ses régulations, joue un rôle important lors des discussion entre élèves pour les aider à développer leurs interprétations. Les résultats obtenus au sein des classes expérimentales pourront également être comparés au regard de l'observation des régulations de l'enseignant réalisée durant les cercles de lecture.
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Ce travail est scindé en deux axes complémentaires : L'axe 1 représentant les pratiques d'évaluation en classe : L'évaluation est un domaine complexe qui a beaucoup évolué au fil du temps et qui nous a conduit à analyser les pratiques d'évaluation des enseignants en classe. Nous abordons la manière de concevoir les évaluations internes. Nous observons l'utilisation des ajustements évaluatifs par les enseignants dans une perspective de différenciation pédagogique afin de leur permettre d'émettre un jugement professionnel. Les évaluations ont trois fonctions principales : orienter, certifier qu'un apprentissage est bien acquis et réguler les apprentissages. Nous nous centrons tout particulièrement sur cette troisième fonction de régulation et donc sur la manière dont les enseignants exploitent les résultats de leurs évaluations internes afin de réguler les apprentissages. Enfin, les études de Mottier-Lopez et al. (2012/2013) mentionnent la collaboration des enseignants suisses afin de concevoir leurs épreuves. Tessaro (2015) et Morissette(2011/2013) mettent l'accent sur l'importance de ces échanges. La place occupée par le travail en équipe dans la construction des évaluations internes est analysée. L'axe 2 représentant les pratiques d'évaluation de la résolution de problèmes. Nous ciblons ensuite les évaluations dans le domaine de la résolution de problèmes. Cette discipline occupe une place centrale dans l'enseignement des mathématiques, notre analyse des évaluations nous informera sur les pratiques d'enseignement. Plus particulièrement, nous nous interrogeons sur le type de tâches que les enseignants belges utilisent dans leurs évaluations de résolution de problèmes, le niveau de complexité, les objectifs visés et les similitudes avec les évaluations externes. Leur approche est-elle plutôt traditionnelle ou novatrice? Nous dressons ensuite un profil global de chaque enseignant, à partir des informations récoltées au travers des deux axes. Nous terminons par une mise en perspective des cinq profils d'enseignants.
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Dans le cadre du métier d'instituteur primaire, ceux-ci sont amenés à organiser et à animer des rencontres avec les parents d'élèves. La relation école-famille-enfant est l'un des facteurs prédominants de la réussite scolaire de l'enfant. Pourtant, il s'avère que la rencontre parent-enseignant est un sujet qui n'est ni abordé ni expérimenté dans le courant de la formation initiale des enseignants. Par conséquent, c'est donc un sujet qui nous est inconnu. C'est pourquoi nous tentons, à travers ce travail, de comprendre le contexte de ces rencontres. Pour ce faire, il nous semble essentiel de nous renseigner auprès des personnes concernées par celles-ci, à savoir : des enseignants exerçant dans l'enseignement fondamental primaire et des parents dont les enfants sont inscrits dans l'établissement scolaire où pratiquent ces enseignants. Dès lors, nous souhaitons comprendre l'utilité, le contenu, les apports ainsi que le ressenti tant des enseignants que des parents à ce sujet. Il nous semble essentiel de comprendre le lien qui s'établit entre le milieu scolaire et le milieu familial. C'est pourquoi nous nous sommes également questionnée quant à l'impact et aux apports des rencontres parent-enseignant sur la relation qui s'installe entre les deux parties.
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Ce travail projette d’aborder la problématique de l’apprentissage de la preuve en géométrie en deuxième année du premier degré commun. Des études suggèrent que, suite à leurs acquis du primaire, les élèves résolvent les problèmes géométriques avec des paradigmes différents de ceux prônés par les enseignants du secondaire. Pour comprendre cette divergence d’interprétation et les enjeux qui s’y cachent, nous définissons un cadre conceptuel à la manière de Gonseth : géométrie naturelle (GI), géométrie axiomatique naturelle (GII) et géométrie axiomatique formaliste (GIII). Sur cette base, nous identifions les critères d’un enseignement soucieux de développer une meilleure articulation entre GI et GII. Nous portons un regard particulier sur la notion de preuve en confrontant le raisonnement déductif à l’argumentation générale. Nous explicitons la nécessité de s’engager dans la preuve en GII en adoptant une posture différente de celle préconisée en GI. Nous dégageons ainsi les obstacles rencontrés par l’élève. Nous spécifions l’enjeu pédagogique de la compréhension du statut opératoire des propositions mobilisées in situ. Sur le plan méthodologique, nous optons pour un schéma quasi-expérimental en présentant en guise de prétest/post-test, des exercices prélevés des épreuves externes de la FWB. En plus d’une comparaison des scores, nous analysons les caractéristiques des productions issues de deux méthodes d’enseignement à partir d’une grille élaborée suivant les types de démarches/validation préconisés en GI et GII. La particularité de notre grille est l’insert d’une colonne contenant des procédures en tension GI/GII. Les niveaux des Van Hiele fournissent des précisions dans le recensement de ce type de procédures. Nous présentons plusieurs pistes pour éviter la divergence d’interprétation et nous les retenons auprès des classes expérimentales. Enfin, nous nous interrogeons sur l’apport d’un enseignement particulier pour aider les élèves à passer de GI à GII au travers de la mise à l’épreuve de deux hypothèses. La première suggère d’apprendre à regarder un représentant en privilégiant un processus de déconstruction dimensionnelle afin de s’engager dans l’élaboration de la preuve telle que préconisée en GII. La deuxième envisage l’ossature de la démonstration pour construire une structure hiérarchisée à l’aide d’un raisonnement hypothético-déductif.
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Le présent travail de recherche a été mené suite à l’observation des compétences visées en 3ème année technique de transition portant sur la résolution de problèmes. En effet, après observation des Socles de compétences, nous avons remarqué que les problèmes du 1er degré étaient qualifiés de « simples » et qu'il n’y faisait aucune mention spécifique quant à la résolution de ceux-ci. En 3ème année technique de transition par contre, l’élision de cet adjectif (simple) laisse sous-entendre que les élèves doivent pouvoir résoudre des problèmes plus complexes et variés. De plus, le programme ajoute une contrainte quant à la démarche à suivre : la résolution algébrique. Une transition d’un raisonnement synthétique au raisonnement analytique s’impose. Dès lors, il est nécessaire que les élèves effectuent divers remaniements au sein de leurs connaissances antérieures. Ces derniers consistent, notamment, à élargir le sens de notions tel que celui attribué à la lettre, au symbole « = » et aux opérations mathématiques de base. Une fois ces ajustements effectués, seront étudiés, durant leurs apprentissages en 3ème, différents outils qu’ils pourront mobiliser pour résoudre les problèmes qu’ils rencontreront : les équations, les systèmes d’équations, la vérification et enfin, les problèmes en eux-mêmes. Tous ces outils ne sont pas, hélas, aussi évidents à utiliser. Leurs emplois ne peuvent se résumer à une phrase du type « il suffit d’utiliser telle ou telle méthode » pour déterminer la solution au problème à résoudre. Dès lors, une exploration des apports et des contraintes de chacun des outils sera envisagée. Après que les enseignements aient été dispensés par les professeurs-titulaires, et ce malgré leur volonté d’aider les élèves à franchir les obstacles que peuvent poser les différents problèmes (de par leur type et leur nature), nous souhaitions observer comment les élèves manipulent ces outils et dans quelle mesure ceux-ci leur permettent de développer le raisonnement analytique. C’est pourquoi nous avons formulé notre question de recherche suivante : « Comment les démarches des élèves de 3ème année technique de transition, issus de deux établissements, évoluent-elles dans la résolution de problèmes algébriques, après que les chapitres des équations d’une part et des systèmes d’équations d’autre part, aient été développés ? »
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