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La station d’épuration de Mouscron a subi, en 2013, une augmentation de sa capacité maximale de traitement suite à la surcharge polluante en entrée. Celle-ci est majoritairement engendrée par le zoning industriel dans lequel est construite la station. Le choix pour l’agrandissement s’est porté sur un processus de biométhanisation qu’elle cherche maintenant à optimiser.
C’est dans ce contexte que le travail a été réalisé au sein de l’intercommunale IPALLE. Il aborde notamment la question de la rentabilité de l’infrastructure et différents points qui peuvent être améliorés. Dans ce dernier, on retrouve : la valorisation de l’énergie calorifique au niveau de l’échangeur de chaleur et la régulation de l’intrant. Enfin, ce travail a également permis de mettre au point un dashboard d’exploitation qui servira à apporter un suivi plus approfondi des différents paramètres clés du processus. 
Afin de réaliser les différentes notes de calcul, ce rapport a pu s’appuyer sur des valeurs chiffrées issues de la bibliographie, mais aussi sur l’étude de faisabilité réalisée avant l’installation de l’unité de biométhanisation, de la gestion d’exploitation assistée par ordinateur de la station et de mesures personnelles.

Mots-clés : biométhanisation, optimisation, station d’épuration, boues d’épuration, valorisation, échangeur de chaleur, IPALLE, Mouscron --- Ingénierie, informatique & technologie > Energie