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2020 (1)

2016 (1)

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Book
L’Imaginaire du temps dans le fantastique et la science-fiction

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Abstract

Le Temps semble a priori irréversible et l’homme n’accepte que difficilement l’effondrement des possibilités de l’avenir dans la fixité du passé. La science s’est emparée de cette problématique puissante dès les années trente à partir de la théorie de la relativité généralisée d’Albert Einstein. Mais bien avant l’apparition de la physique quantique et d’hypothétiques déplacements dans le temps ou dans des mondes parallèles, les littératures de l’imaginaire que sont la science-fiction et le fantastique ont parcouru le temps. Cet imaginaire, exploré de façon complémentaire par le cinéma, est une machine à voyager virtuellement dans des histoires de temps. La science-fiction expérimente le temps en tant que concept : elle le manipule en tout sens pour briser son irréversibilité et tenter d’agir sur des destinées collectives ou individuelles. La temporalité fantastique est marquée par une obsession anxiogène et toxique du temps passé. Le mythe puise ses racines dans un temps immémorial, cyclique. Symbole de la créativité des littératures et du cinéma de l’imaginaire, le temps est au coeur de l’individu, de sa subjectivité, de sa mémoire et de son rapport au monde physique.


Book
La littérature dépliée : Reprise, répétition, réécriture
Authors: --- --- --- --- --- et al.
ISBN: 9782753505704 2753505705 2753546711 Year: 2016 Volume: *34 Publisher: Rennes : Presses universitaires de Rennes,

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Abstract

Quand la notion d’intertextualité est apparue à la fin des années 1960, elle s’inscrivait dans une « théorie du texte » insistant sur la « productivité » de l’écriture et la signifiance comme « procès ». Instituée en catégorie générale par ses promoteurs, elle ne prétendait pas constituer un instrument critique, mais participait d’un projet philosophique. Plus tard, quand l’intertexte a commencé à faire l’objet de descriptions dans une visée poéticienne, la critique littéraire y a gagné des concepts opératoires ; elle y a peut-être perdu les perspectives générales que la théorie du texte cherchait à imposer. En se proposant de travailler sur trois mots – reprise, répétition, réécriture – les comparatistes ont voulu relancer l’intérêt pour l’intertextualité en ce début de XXIe siècle où cette notion, employée dans un contexte très éloigné de celui où elle a vu le jour, semble avoir perdu de son pouvoir de questionnement. Or toute étude comparatiste la convoque nécessairement, même si cela reste implicite, au point qu’on oublie de s’interroger sur son sens. Combien d’études de source ou d’influence se sont-elles masquées depuis vingt-cinq ans sous le vocabulaire de l’intertextualité ? Ces trois mots évoquent trois types de lecture des rapports que les œuvres d’art entretiennent avec d’autres œuvres d’art. Le premier est métaphorique : si texte veut dire tissu, comme on le dit couramment depuis Barthes, sa reprise suggère à la fois les fortunes et infortunes de sa réception (accrocs, raccords, raccommodages…) et la nécessité de toujours remettre l’ouvrage sur le métier ; il insiste sur le fait que toujours déjà tout est dit et que pourtant, sans cesse, le langage se réinvente. Le second est pratique et herméneutique : que la répétition porte sur des unités de discours plus ou moins grandes, ou qu’elle renvoie, dans une autre acception, au travail théâtral, elle suppose toujours un usage réfléchi de la langue et implique une transformation, même minimale, de l’énoncé.…

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