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Les fratries ont-elles une histoire ? Longtemps oubliées par l?historiographie, elles suscitent aujourd?hui un intérêt grandissant chez les historiens, dont témoigne cet ouvrage collectif riche d?une trentaine de contributions issues de deux colloques internationaux. Mal connus, frères et sœurs tiennent pourtant une place centrale au sein des relations familiales. En privilégiant la longue durée et un vaste ensemble géographique, de l?Amérique du Nord à l?Europe, les éditeurs du volume ont voulu saisir leur histoire en confrontant des systèmes de parenté différents et en perpétuelle transformation. Définir et mesurer les fratries, les analyser comme une ressource en associant stratégies collectives et trajectoires individuelles, vivre et représenter la fraternité enfin : autant de pistes suivies par les auteurs attentifs à ne pas oublier les sœurs. Grâce à la variété des études rassemblées ici, écrire l?histoire du lien fraternel offre l?opportunité de renouveler l?approche de l?évolution des systèmes de parenté en même temps que celle des relations familiales. Do brotherhood and sisterhood have a history? They have long been forgotten by historiography but now are benefitting from a growing interest from historians. This collective work, with thirty contributions from historians from different countries, testifies to this new interest. Although badly known, brothers and sisters occupy a central place in family relations. By emphasizing the long term and a large geographical area, from North America to Europe, the editors of this volume wish to seize their history by confronting different systems of kinship that are constantly evolving. To define and measure sibling relationships, to analyze them as a resource through the association of collective strategies and individual trajectories, to live and represent brother and sisterhood: these are the paths followed by the authors who have been careful not to forget sisters. Thanks to the variety of the studies assembled here, writing the history of fraternal relations offers the opportunity to renew approaches to the evolution of both kinship and family relations
Brothers and sisters --- Family relationships --- History --- POLITICAL SCIENCE --- SOCIAL SCIENCE --- Public Policy --- Cultural Policy. --- Anthropology --- Cultural. --- Popular Culture. --- Family relationships. --- To 1500. --- Europe. --- North America. --- Political science --- Social science --- Public policy --- Cultural policy. --- Popular culture. --- Frères et soeurs --- Relations familiales --- Histoire --- Frères et soeurs --- Siblings --- Brothers and sisters - Family relationships - Europe - History --- Brothers and sisters - Family relationships - North America - History
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L'histoire religieuse résonne de bruit et de fureur : conquêtes, croisades, guerres saintes, missions; collusions entre les États et les confessions, tragédies vécues par les minorités cathare ou huguenote; mais aussi apprentissage d'un vivre ensemble, sous le Concordat comme dans la République laïque. À côté de la France et de l'Espagne, l'Orient médiéval, l'Amérique latine et l'Afrique font l'objet d'approches qui se caractérisent par la volonté d'embrasser et d'expliciter de larges pans d'une histoire qui n'a sans doute rien perdu d'une troublante actualité. Les auteurs, des historiens spécialistes des sociétés médiévales, modernes et contemporaines, ont confronté leurs savoirs lors des Rencontres d’histoire religieuse de Sylvanès. Ils s'intéressent ici aux liens entre la religion, le pouvoir et la violence.
Violence --- Church history --- Eglise --- Religious aspects. --- Aspect religieux --- Histoire --- Religious aspects --- Violence - Religious aspects --- Violence - Aspect religieux --- Religion --- History --- religion --- pouvoir --- violence
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Les femmes éducatrices qu’évoque ce livre ont compris les enjeux qui dépassent largement l’individu singulier, garçon et/ou fille. Elles agissent dans l’enceinte familiale en interpellant mère et père (la mère dont ces actes révèlent l’importance réelle ou fictive tant elle apparaît de plus en plus comme un interlocuteur privilégié), enceinte familiale considérée comme un lieu expérimental pour préparer un projet de société. Les partenaires de l’éducation, femmes, hommes, auteurs ou non, entrent dans des géométries variables, mais qui, toutes, soulignent la présence grandissante de la femme dans le domaine éducatif, quelle que soit sa place dans la société, femmes de pouvoir ou au pouvoir, femmes exceptionnelles ou non, personnel mercenaire d’une éducation domestique, conventuelle, institutionnelle, privée ou non, célibataires, épouses, mères ou grand-mères, mais toutes conscientes de leur rôle. Cette préoccupation est l’occasion de se forger un destin, d’abord par la réflexion sur le statut lié à leur éducation, mais aussi et surtout parce que leur prise de position s’accompagne d’une entrée en écriture, en littérature, parfois en politique, tolérée dans un premier temps tant le terrain éducatif paraît le prolongement naturel de la vocation maternelle, mais aussi discutée, contestée, ridiculisée, interdite quand les revendications inquiètent trop le pouvoir en place. La question des savoirs, leur nature, leur mode d’apprentissage qui peut aller de l’autodidaxie à une éducation spécifique conçue pour elle par un mentor (père ou mère) en passant par un enseignement reçu par contrebande (quand elles profitent de l’éducation de leurs frères) posent le problème d’un enseignement féminin lui-même, centré sur une conception de la femme « naturellement » portée vers les arts d’agrément, la civilité, l’épistolaire, à qui les sciences, mais aussi tout simplement la lecture doivent être autorisées avec parcimonie et surveillance. Explicitée ou non par les textes, la question…
Women in education --- Women teachers --- Women educators --- Education --- Femmes en éducation --- Enseignantes --- Educatrices --- History --- Histoire --- Femmes en éducation --- Education - France - History - 18th century --- Women educators - France - History - 18th century --- Women in education - France - History - 18th century --- Women teachers - France - History - 18th century --- Literature (General) --- femme --- livre --- littérature française --- éducation des femmes --- XVIIIème siècle --- lecture --- enseignement
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Placé sous l’invocation de Montaigne, le présent volume est le quatrième ouvrage collectif offert aux lecteurs par les membres du Groupe de Recherches « Les écrits du for privé en France de la fin du Moyen Âge à 1914 » (www.ecritsduforprive.fr). Cet ensemble d’écrits ordinaires – mémoires, autobiographies, livres de famille ou de raison, diaires, journaux intimes, chroniques ou annales – se développe en Europe de la fin du Moyen Âge à l’époque moderne, pour devenir un mode courant d’expression au cours des XIXe et XXe siècles. Ils sont parfois nommés écrits « personnels » ou écrits « intimes » et certains d’entre nous utilisent aussi, pour les désigner, le terme très significatif d’ego-documents. Celui-ci renvoie fortement à l’idée que l’écriture de ces textes n’est pas seulement une pratique qui pourrait être mise à distance par les scripteurs, mais qu’elle influe profondément sur la fabrique même de la vie. Une relation puissante existe, en effet, entre de tels textes et l’idée que l’homme occidental disposerait en lui-même d’un espace de réflexion intérieure qui est généralement appelé le « moi » ou le « soi ». Lorsqu’il aborde un texte donné, le chercheur sait donc qu’il part à la rencontre d’une individualité, celle du scripteur, dont il va chercher à explorer, à travers ses écrits, non seulement les intentions apparentes dans les actions, ou affleurantes dans le langage, mais également les mécanismes de la pensée qui le constituent comme un individu au sein d’une société donnée. À travers un ensemble d’études de cas qui courent du Moyen Âge au début du XXe siècle, nous avons ainsi souhaité explorer la relation complexe qu’entretient ego avec lui-même et son monde social, et ce à travers le prisme de ses écrits privés.
Literature (General) --- écriture de soi --- lien social --- époque moderne
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Les dénominations professionnelles comptent parmi les données les plus utilisées en histoire sociale. Cet ouvrage interroge leur formation et leurs usages, des premiers surnoms Issus de l’activité à la nouvelle classification socioprofessionnelle européenne. Fruit d’un colloque tenu à l’Université de Toulouse II en octobre 2008, le volume rassemble une vingtaine de contributions d’historiens, de sociologues, de statisticiens, de linguistes et de littéraires, dont l’objectif est de saisir, dans la perspective d’une sociologie historique pragmatique, les conditions d’élaboration des Identités professionnelles et des catégories qui les ordonnent (noms de métiers, avant-noms, titres et titulatures, statuts, fonctions). L’analyse des procédures d’inscription et d’enregistrement des désignations professionnelles permet ainsi de comprendre comment les acteurs sociaux négocient et recomposent en permanence le contenu de ces désignations. L’émergence d’un langage spécifique passant notamment par la construction de nomenclatures apparaît en définitive comme une donnée centrale de la formation d’une société du travail.
Occupations --- Professions --- Terminology --- History --- Classification --- Career patterns --- Careers --- Jobs --- Professional services --- Interprofessional relations --- Vocational guidance --- Trades --- Work --- profession --- métier --- travail --- histoire sociale
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La famille constitue depuis longtemps un objet d’étude privilégié des historiens des sociétés. Ayant abandonné l’attention presque exclusive accordée autrefois aux seuls lignages aristocratiques voire royaux, cette histoire de la famille a connu depuis un demi-siècle de profonds renouvellements, tant thématiques que méthodologiques. Directement impliquée dans l’histoire quantitative, notamment par le biais de la « reconstruction des familles », la thématique familiale s’est retrouvée au centre de l’histoire des mentalités. Ultérieurement enfin, via l’importation de problématiques venues des autres sciences sociales et le recours à la démarche « micro-historique », la famille s’est muée en un espace social et anthropologique au sein duquel sont mises à jours les dynamiques qui affectent ces réalités familiales. Dans le même temps, ces réflexions sur le passé d’une réalité sociale toujours vivante viennent en écho aux interrogations contemporaines sur le devenir de la famille nucléaire. La « crise » d’un modèle familial pluriséculaire et les recompositions familiales auxquelles elles donnent lieu placent ces réflexions sur la famille au cœur d’un débat de société particulièrement intense. Dans ce contexte qui fait de la famille un sujet d’actualité brûlant, le colloque organisé à Toulouse a voulu dresser un bilan des travaux les plus récents des meilleurs spécialistes du sujet, il s’est inscrit dans une démarche délibérément comparatiste tout en insistant sur les continuités et les ruptures identifiables tant en termes de problématiques, de démarches que de résultats. Compte tenu de la spécificité du laboratoire à l’origine de cette réflexion, le comparatisme concerne essentiellement les espaces français et ibérique, ce dernier étant compris au sens large puisqu’il intègre les sociétés coloniales ibéro-américaines. Dans le même temps, ce colloque a fait le choix de la transdisciplinarité et de la longue durée, depuis le bas Moyen-Âge jusqu’au xxe siècle. Cette…
History --- pouvoir --- famille --- histoire --- Families --- Inheritance and succession --- Familles --- Successions et héritages --- Congresses --- Congresses. --- Congrès --- Historical studies --- Power
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De la fondation de la cité romaine au XXIe siècle, de Tolosa à Toulouse, la ville de la Garonne a préservé son rôle de métropole régionale. Le Congrès de la Fédération historique de Midi-Pyrénées, tenu en 2008 à l’université de Toulouse-Le Mirail, a réuni plus de 80 intervenants, dont les communications rassemblées apportent dans cet ouvrage l’essentiel des recherches les plus récentes. La première partie porte sur ce qui a fait la force de la ville : la formation de son territoire et son urbanisation, les caractères de sa société, les divers pouvoirs qui y siègent, ses activités économiques, commerciales comme industrielles. Un bilan qui remet en cause bien des idées reçues en montrant la vitalité dont ont fait preuve ses habitants au fil des siècles ! La deuxième partie offre des communications qui se sont attachées à l’activité culturelle dont Toulouse a été un foyer particulièrement actif dans sa longue histoire. Celle-ci a revêtu des formes multiples, parfois inattendues. La religion l’a marquée de son empreinte, longtemps sous l’ascendant de l’Église catholique, avant que la ville ne fasse place à d’autres croyances. Elle s’est affirmée aussi comme un pôle d’élaboration et de transmission du savoir, dans lequel l’université a pris naturellement sa place. Elle a entretenu un goût, et même une passion, pour la littérature, la musique, les arts plastiques, autant d’expressions qui ont contribué à modeler la personnalité de la « ville rose ».
Urban Studies --- History --- métropole --- urbanisation --- territoire --- histoire culturelle
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