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La recherche a pour but d'évaluer l'impact d'une information mise au point il y a 2 ans par 2 infirmiers. Les échelles utilisées sont STAI, MHLC, CLOC. L'échantillon est composé de 10 sujets et l'analyse des résultats est basée sur des protocoles à cas unique. Ce travail tente de répondre à 3 questions : Cette information est-elle rassurante ou anxiogène ?; Faut-il toujours donner la même information ?; Si non, laquelle donner ?
ANXIETE --- EDUCATION DU PATIENT --- GREFFE --- LOCUS DE CONTROLE --- STRATEGIE D'ADAPTATION --- ANXIETE --- EDUCATION DU PATIENT --- GREFFE --- LOCUS DE CONTROLE --- STRATEGIE D'ADAPTATION
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Computer software --- Object-oriented programming (Computer science) --- Software patterns --- Development
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Introduction. Le cancer, une maladie chronique, a indéniablement un impact sur les patients qui en sont atteints mais aussi sur les membres de leur famille. Les conjoints, plus particulièrement, adopteront généralement le rôle de proche aidant principal et ressentiront de nombreux besoins psychosociaux et de la détresse émotionnelle. Méthodologie. Notre recherche-action compare l’efficacité de la combinaison de méthodes d’action « Hiérarchisation + Résolution de problème » à l’utilisation de la « Hiérarchisation » seule. Pour ce faire, 37 conjoints, répartis aléatoirement dans deux groupes (expérimental vs contrôle), ont répondu à divers questionnaires évaluant à trois reprises (T0, T1 et T2) les variables dépendantes suivantes : les besoins psychosociaux, la détresse émotionnelle, les réactions quant à la position de proche aidant principal et le sentiment d’auto-efficacité. D’autres variables dépendantes n’étaient évaluées qu’au T0 : les données sociodémographiques, l’ajustement conjugal, les services d’aide et la perception d’iniquité. Lors du T0, tous les participants réalisent la hiérarchisation. Entre le T0 et le T1, le groupe expérimental pratique la résolution de problème alors que le groupe contrôle n’y aura accès qu’entre le T1 et le T2. Hypothèses. Nous pensons que la combinaison des méthodes d’action aura un impact plus important et plus bénéfique que l’utilisation de la « Hiérarchisation » seule. Résultats. Entre le T0 et le T1, l’amélioration des scores sur les variables dépendantes est plus marquée au sein du groupe expérimental. Entre le T1 et le T2, les scores du groupe contrôle s’améliorent aussi : l’amplitude de changement est d’ailleurs plus élevée. Par contre, les scores que le groupe expérimental avait obtenus lors du T1 ne se maintiennent pas en T2. Par ailleurs, l’ensemble des données qualitatives récoltées mettent en évidence de hauts niveaux de satisfaction des participants quant aux méthodes utilisées. Conclusion. Les résultats obtenus mettent en évidence une plus grande efficacité de la combinaison des méthodes d’action proposées.
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Le cancer est une maladie ayant indéniablement un impact sur les patients qui en sont atteints. Le Myélome Multiple est un type de cancer hématologique ayant, de plus, pour caractéristiques d’être chronique et incurable. Les patients qui en sont atteints rapportent souvent souffrir de détresse émotionnelle et avoir une qualité de vie amoindrie. Mais c’est la perspective du futur qui semble être la plus problématique. Une étude quasi-expérimentale et longitudinale a été mise en place, dans le but de tester l’efficacité d’une séance de groupe de psychoéducation et de parole. Pour ce faire, seize patients, répartis de façon égale en deux groupes (expérimental et contrôle), ont répondu à divers questionnaires évaluant à deux (T0 et T2) ou trois (T0, T1 et T2 pour le groupe expérimental) reprises les variables dépendantes suivantes : la qualité de vie, la détresse émotionnelle et les inquiétudes par rapport au futur. D’autres variables dépendantes n’étaient évaluées que lors de la ligne de base, pour les données sociodémographiques, ou au T2, pour les services d’aide utilisés. Au T0 et au T1, les attentes du groupe expérimental et leur évolution étaient également évaluées. Premièrement, nous nous attendions à la présence d’une qualité de vie réduite, d’affects anxieux et/ou dépressifs et d’inquiétudes par rapport au futur au sein de l’échantillon total. Deuxièmement, nous avons formulé l’hypothèse d’une réduction possible de toutes ces problématiques après une séance de groupe. Au T0, notre échantillon présente les problématiques attendues. Entre T0 et T1, soit immédiatement après la fin d’une séance de groupe, aucune amélioration statistiquement significative n’a été trouvée. Entre T0 et T2, soit un mois après la ligne de base, la qualité de vie globale des patients du groupe expérimental s’est améliorée, mais leur anxiété a également augmenté. Par ailleurs, les données qualitatives mettent en évidence un haut niveau de satisfaction du groupe expérimental quant à leurs attentes et des thématiques abordées variées. Les résultats mettent en évidence une efficacité partielle du groupe de psychoéducation et de parole, concernant la qualité de vie, mais non la perspective du futur. Nous expliquons l’augmentation de l’anxiété par l’effet des informations. Il serait intéressant d’évaluer plus de participants et sur plusieurs séances lors de recherches futures.
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Contexte et objectifs : Suite au cancer, les conjoints des patients souffrent de besoins psychosociaux insatisfaits et de détresse émotionnelle. La prise en charge des conjoints est moins répandue mais reste primordiale. La hiérarchisation des besoins psychosociaux et la résolution de problèmes peuvent diminuer leur détresse. L’objectif de l’étude est de voir si cette combinaison d’interventions, appliquée au besoin le plus important et le moins satisfait du conjoint, produit des résultats différents selon que celui-ci est accompagné ou non du patient malade. Méthode : Vingt-trois couples dont un des partenaires est atteint du cancer ont été randomisés en 2 groupes : dans le groupe expérimental, le patient était présent durant la totalité du protocole alors qu’il ne l’était pas dans le groupe contrôle. Avant et après l’intervention, tous les couples ont complété différents questionnaires. Des analyses statistiques descriptives et de comparaison des groupes ont été réalisées. Résultats : Les conjoints ressentent de la détresse émotionnelle et des besoins psychosociaux importants et insatisfaits, tandis que le vécu des patients se caractérise par une sensation de sous-investissement et de sur-bénéfice. Après l’intervention, on remarque une amélioration de la satisfaction du conjoint liée au besoin sélectionné, mais pas d’amélioration de son état psychologique. On remarque par contre une diminution de l’impression de sous-investissement et de sur-bénéfice des patients. On n’observe aucune différence entre les groupes expérimentaux et contrôle. La solution choisie est néanmoins différente dans les deux groupes et les conjoints, surtout ceux du groupe contrôle, affirment avoir apprécié les discussions. Conclusion : La combinaison d’interventions a permis d’améliorer un besoin spécifique sélectionné par le conjoint et de diminuer le sentiment d’inéquité ressenti par le patient. Il ne semble par contre pas qu’être accompagné du patient ait un impact particulier sur les conjoints, au niveau quantitatif.
Couple --- Conjoints --- Cancer --- Détresse --- Counseling --- Analyse des besoins --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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