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1791: interdiction des corporations de l'ancienne France. 2008 révision des règles de la représentativité syndicale. Telles sont les bornes chronologiques de cet ouvrage qui propose une vue d'ensemble du syndicalisme français. En effet, si les études sur le syndicalisme sont assez nombreuses, elles portent généralement sur des organisations particulières ou des périodes restreintes. Il semblait nécessaire d'offrir un ouvrage de synthèse traitant aussi bien des " syndicats historiques " que des principaux mouvements spécialisés (des agents publics ou du patronat) ou catégoriels (à l'instar des mouvements de défense des contribuables) dans une démarche transdisciplinaire que ce livre a été conçu, en faisant appel à des auteurs de diverses spécialités : historiens (pour restituer le connaissance raisonnée du passé), juristes (pour comprendre les conditions légales du fonctionnement et d'action des organisations), économistes et politologues (pour saisir les spécificités des différentes doctrines, analyser les crises du syndicalisme et essayer d'en esquisser l'avenir). Ainsi ce a-t-il l'ambition d'être à la fois un manuel établissant un état des lieux des connaissances actuelles sur le sujet (en les présentant de manière pédagogique) et un ouvrage de recherche permettant d'appréhender des sujets encore peu étudiés (comme les effectifs réels des syndicats ou leur responsabilité dans la gestion des organismes paritaires). Il s'adresse donc aux étudiants des facultés d'histoire, de droit et de sciences politiques et prolonge les réflexions de l'ouvrage dirigé par Guillaume Bernard et Eric Duquesnoy.
Labor unions --- Syndicats --- History --- Law and legislation --- Histoire --- Droit --- Syndicalism --- Collective bargaining --- Management --- Employee participation --- Syndicalism - France --- Collective bargaining - France --- Labor unions - France --- Management - France - Employee participation
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Issues d'un colloque tenu à La Roche-sur-Yon en 2014, ces 23 contributions interrogent le contexte européen à la veille de la Première Guerre mondiale et les réactions dans les différents pays lors de son éclatement. Elles examinent ainsi l'attentat de Sarajevo, l'attitude de Raymond Poincaré, l'opinion publique en Angleterre, les réactions dans la presse grecque, la position des pacifistes, etc. ©Electre 2016
World War, 1914-1918 --- Première guerre mondiale --- Causes --- Congresses --- Congrès
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Political manifestoes --- Communication in politics --- Democracy --- Revolutions --- Communication politique --- Démocratie --- Révolutions --- History. --- History --- Histoire --- Manifeste politique --- --France --- --Histoire --- --Démocratie --- --Révolution --- --publication de sources --- --History --- Political manifestos --- Démocratie --- Révolutions --- Insurrections --- Rebellions --- Revolts --- Revolutionary wars --- Political science --- Political violence --- War --- Government, Resistance to --- Manifestoes, Political --- Manifestos, Political --- Self-government --- Equality --- Representative government and representation --- Republics --- Political communication --- Political manifestoes - France - History --- Communication in politics - France - History --- Democracy - France - History --- Revolutions - France - History --- Révolution --- France --- 1800-.... --- 1789-1799 (Révolution) --- Influence
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Consécutif au repli ottoman, les Balkans, en 1912, sont devenus une poudrière où se croisent les intérêts des Etats locaux, décidés à chasser la Turquie d'Europe et à en récolter les dépouilles, et ceux des grandes puissances, notamment Autriche-Hongrie et Russie, qui s'emploient à conserver ce mouvement sous leur contrôle. Le concert européen permet un temps d'éviter le pire...
Balkan Peninsula --- Balkans --- History --- Histoire --- Guerres balkaniques (1912-1913) --- Actes de congrès --- Europe --- Politique et gouvernement --- Actes de congrès.
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Début 1918, le front oriental est quasiment liquidé. Les bolchéviques, confrontés à la guerre civile, ont en effet signé le 3 mars 1918 la paix de Brest-Litovsk avec le IIe Reich. Les ressources de l’Ukraine occupée et la Roumanie permettent aux Allemands de pallier en partie le blocus des Alliés. Quant à l’Italie, on veut croire que les Autrichiens la contiendront aisément. Le nouveau chef d’état-major, Ludendorff, pense disposer de forces suffisantes pour gagner sur le front de l’ouest avant que le déploiement des troupes américaines ne soit optimal. Il s’agira alors d’imposer la Pax germanica. Par un retournement de situation, la victoire de Foch à la seconde bataille de la Marne annonce les offensives alliées qui obligent l’Allemagne à signer l’armistice du 11 novembre. Au delà des pertes humaines dues au conflit et des victimes innombrables de la « grippe espagnole » qui en augmentent encore le nombre à compter de mai 1918, les destructions matérielles peuvent paraître irrémédiables. Sur les autres théâtres d’opération, les événements militaires ont beaucoup contribué à la chute des puissances centrales. En Macédoine, l’attaque débute à la mi-juin entraînant la rupture rapide du front. Cette victoire qui oblige la Bulgarie à cesser les hostilités, permet aux Alliés de remonter vers le nord et d’atteindre le Danube le 19 octobre. Deux semaines plus tard la frontière hongroise est franchie. En Italie, la victoire italienne de Vittorio Veneto du 30 octobre sonne le glas de l’empire Austro-Hongrois. Le même jour, en Syrie, la menace combinée des armées arabo-anglaise et d’un corps hellénique et britannique sur Constantinople, pousse la Turquie à accepter l’armistice de Moudros. Ces événements considérables, auxquels on pourrait ajouter le défi politique que constitue le succès de la première dictature du prolétariat, ne vont pas sans poser évidemment la question majeure des lendemains, question que l’on pourrait formuler ainsi : « 1918, demain la paix ? » C’est à cette question cruciale que le colloque international qui se tiendra à l’ICES les 15 et 16 novembre – colloque organisé conjointement par le CRICES (centre de recherche de l’ICES) et l’UMR Roland Mousnier (CNRS - Sorbonne Université) s’efforcera de répondre
Guerre mondiale, 1re, --- Guerre mondiale (1914-1918) --- Année 1918 --- Paix --- Europe --- World War, 1914-1918 --- History --- Guerre mondiale, 1re, 1914-1918
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Au commencement était la source… Puis vinrent les difficultés. Chaque source pose en effet des problèmes spécifiques. Le présent recueil, issu de deux journées d’étude organisées à l’Institut catholique d’études supérieures (La Roche-sur-Yon), s’efforce d’en brosser un panorama, à partir de cas relevant de disciplines, de périodes et de corpus suffisamment variés pour présenter au chercheur en sciences humaines une vue générale des questions que suscitent ses propres pratiques en lien avec de telles sources. À la lumière de ces études, des questions récurrentes déterminent la recherche documentaire : ce que sont les sources, par quel examen critique les évaluer, comment les organiser, enfin comment élaborer un récit scientifique fidèle, autant que possible, à leurs enseignements. La source est-elle intègre, authentique, sincère, représentative ? Son témoignage, parfois polémique, est lacunaire aussi, parce que séparé de la culture dans laquelle il s’intégrait et que cherche à reconstituer le chercheur, à la manière d’un puzzle dont il ne subsisterait que quelques pièces. La critique des sources navigue entre une lecture littérale et une lecture hypercritique. Cette dernière risque de disqualifier par principe tout récit historien fondé sur des sources qui ne seraient jugées ni sûres, ni vérifiables, ni exploitables, comme les récits légendaires de la fondation de Rome. L’esprit critique, pourtant nécessaire à la déontologie scientifique, peut paralyser le discours savant quand il est systématisé. Mais comment apprécier un degré approprié de critique et un degré excessif ? La question des sources en vient donc à en ouvrir une autre, une interrogation de nature épistémologique et philosophique : comment fonder le savoir ?
Philosophy --- History & Philosophy Of Science --- Literature --- Sources --- Épistémologie --- Philosophie --- Histoire de l'écrit --- Hypercritique --- littérature --- philologie
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Au moment où l'Allemagne capitula le 11 novembre 1918, la solidarité des Alliés était déjà compromise. La France revendiquait un poids supérieur dans les opérations militaires menées contre les Puissances centrales. Dans leur immense majorité, les Français ont supporté la dure épreuve des privations et des souffrances. Le bilan était terrible : 1 400 000 morts ou disparus, soit 10 % de la population active, et 2 800 000 blessés. Les destructions matérielles s'élevaient à 4 250 000 hectares ravagés, 222 000 maisons réduites en cendres, 4 800 km de voies ferrées et 58 000 km de routes à restaurer, 22 900 usines à reconstruire, 330 millions de m3 de tranchées à combler. Ces immenses dommages posaient la question de leur indemnisation évaluée à 132 milliards de francs or. Les Français étaient convaincus que « l'Allemagne paiera ». Mais l'Europe sortait épuisée de ce conflit, la main-d'oeuvre ayant été décimée puisqu'on déplorait près de 19 millions de morts. Les matières premières étaient inexploitables, l'outillage inutilisable, et les communications détruites. Reconstruire devenait la priorité, ce qui portait au premier plan les solutions politiques, parfois idéologiques. Voulant dépasser l'affrontement fratricide des peuples, beaucoup aspiraient à la création d'une oeuvre pacificatrice. Le « pacte de la Société des Nations » posa, sous l'influence de Wilson, les principes d'un ordre international nouveau. La paix comme but de guerre ! Cette paix retrouvée à Versailles s'avérait-elle avantageuse ? Devait-elle prôner la simple coexistence entre les nations ? La paix révolutionnaire constituait-elle une solution possible ? Comment célébrer ce moment tant attendu par tous les belligérants ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage répond selon une approche politique, économique et sociale
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Droit économique --- Droit --- Schweitzer, Serge.
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