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Book
Quel est l'impact des écoles d'atopie sur le traitement de la dermatite atopique ?
Authors: --- --- ---
Year: 2013 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract


Book
Association entre l'urticaire chronique spontanée et l'auto-immunité thyroïdienne : revue de littérature et recherche clinique rétrospective à partir de la base de données du service de dermatologie des Cliniques universitaires Saint-Luc
Authors: --- --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

In this Master’s thesis we set out to explore the association existing between chronic spontaneous urticarial and thyroid auto-immunity. The first part of our work consists in a comprehensive review of all the available open scientific literature on the subject, whereas the second part details the results obtained by a retrospective clinical study led in the dermatology department at the cliniques universitaires Saint-Luc. Our Study spanned over a period of three years and included 65 patients. We chose to distribute the patients into two different groups: the cases are the 26,2% of the patients whose urticarial is associated with elevated levels of thyroid antibodies and the controls are the 73,8´% of the patients whose of the patients whose urticarial is not associated with thyroid auto-immunity. The data obtained were statically compared then put into perspectives with the input drawn from the literature review. By doing so, we found many similarities between the fruit of our work and numerous relevant publications on our subject. Our observations lead us to the conclusion that patients with thyroid auto-immunity in addition to chronic spontaneous urticarial could present a singularity of their immune system. However, the precise nature of this remarkable association of events has yet to be understood and further studies on this subject are required. Indeed, chronic spontaneous urticarial is a frequent although poorly known disease. The main mechanism resulting in the urticarial reaction is the cutaneous mast cells release of numerous mediators, predominantly histamine. However, this release seems to be triggered differently depending on the urticarial subtypes. It was suggested that an autoimmune process could be at work in over half all cases of chronic urticaria. This assumption is supported by the fact that thyroid auto-immunity is often observed in parallel with chronic spontaneous urticaria. The causes and consequences of this clinical association on the management and therapeutic care of our patient are still far from being fully elucidated. A direct pathogenic action of the thyroid antibodies has not yet been demonstrated and their presence is so far considered as a probable marker of latent autoimmunity. Our observations are in keeping with the current literature consensus recommending to spontaneous urticaria by reason of the high frequency of thyroid disorders in this subgroup of the population. Ce mémoire a pour but d'explorer le lien existant entre l'urticaire chronique spontanée et l'auto·immunité thyroïdienne. La première partie de notre travail consiste en une revue a littérature exhaustive des connaissances disponibles sur le sujet, tandis que la seconde partie expose les résultats d'une recherche clinique rétrospective menée au sein du service de dermatologie des cliniques universitaires Saint-Luc. Celle-ci s'est déroulée sur une période de trois ans et a rassemblé 65 individus. Notre série de patients est divisée en deux groupes : les cas sont les 26,2% des patients dont l'urticaire chronique spontanée est associée à des taux élevés d'anticorps antithyroïdiens et notre groupe témoin rassemble les 73,8% restant des patients dont l'urticaire chronique n'est pas associée à une auto-immunité thyroïdienne. Les caractéristiques cliniques des deux groupes ont été comparées statistiquement et les résultats obtenus ont été mis en perspective avec les données recueillies dans notre revue de littérature. Nous avons constaté de nombreuses similitudes entre le fruit de notre travail et les publications anciennes et récentes pertinentes à notre propos. Ces observations nous poussent à conclure à l'existence d'une singularité immunitaire chez les patients urticariens chroniques présentant de surcroît une auto-immunité thyroïdienne. Cependant la nature de ce lien doit encore être définie et d'autres études sont nécessaires à ce sujet. En effet, l'urticaire chronique spontanée est une pathologie fréquente mais encore peu comprise. Le mécanisme principal de la formation des papules urticariennes repose sur la libération de différents facteurs par les mastocytes cutanés, en particulier de l'histamine, cependant l'enchaînement des évènements y menant diffère d'un type d'urticaire à l'autre. Un processus auto­ immunitaire pourrait être à l'œuvre dans la pathogenèse de l'urticaire chronique spontanée d'un patient sur deux, cette hypothèse étant entre autre confortée par l'observation de l'existence fréquente de cette maladie en parallèle avec les pathologies auto-immunes thyroïdiennes. Les causes et les implications de cette association clinique sur la prise en charge et le traitement des patients urticariens sont encore loin d'être complètement élucidées.Un rôle pathogénique direct des anticorps antithyroïdiens sur la survenue de l'urticaire chronique n'a jusqu'à présent pas été mis en évidence, la présence de ceux-ci étant probablement un simple marqueur d'une auto-immunité latente. Nos observations s'alignent avec le consensus en vigueur dans la littérature reconnaissant l'utilité du dépistage des anomalies de la fonction thyroïdienne chez tous les patients souffrant d'urticaire chronique réfractaire au traitement antihistaminique, en raison de la fréquence élevée de dysfonctions thyroïdiennes dans cette population.


Book
Usage de la rapamycine topique dans le traitement d'angiofibromes cutanés chez les patients atteints de sclérose tubéreuse de Bourneville
Authors: --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Facial angiofibromas are one one of the key features of tuberous sclerosis complex (TSC). They impair quality of life by disfiguring the patients who find them being affected in their body image. Several types of treatment have been tested over time; yet they were all disappointing in the long term. We tried to verify whether topical rapamycin is an efficient and safe therapeutic option in the management of facial angiofibromas. We used sirolimus (Rapamune) 0, 1% in petrolatum, twice a day. It is a retrospective, non-double-blind, non-randomized study, conducted in our Dermatology department at Saint-Luc University Hospital in Brussels from April 2013 to August 2015. The follow-up duration varied between 1 to 27 months depending on the patient (average of 14, 5 months). The safety evaluation was possible through a complete blood count ant dosage of sirolimus every 1-2-6 months then every 3 to 6 months. In order to assess the efficacy of our treatment, we based our conclusions on the comparison between before and after treatment pictures and on an estimated percentage expressed by the patient himself on his clinical improvement. All our patients, except for one who has interrupted the treatment, showed a clinical enhancement of their lesions: angiofibromas appear to have shrunk and they are less inflamed. Side effects are essentially limited to an irritative dermatitis. Rapamycin was never detected in the blood of these patients. Our results globally reflect what other case reports and studies say in medical literature. Topical rapamycin seems to be a safe and efficient strategy to manage facial angiofibromas for a period over 2 years. However, we need more comparative studies to definitively establish the ideal dose of sirolimus and the ultimate duration of the treatment. Les angiofibromes du visage sont une des atteintes cutanées les plus emblématiques de la sclérose tubéreuse de Bourneville. Ils portent un préjudice esthétique considérable à l’image corporelle de ces patients, menaçant ainsi leur qualité de vie : un grand nombre de stratégies thérapeutiques ont été mise en œuvre dans le temps ; elles se sont démontrées insatisfaisantes sur le long terme. Vérifier si le sirolimus topique constitue une option thérapeutique efficace et sure dans le traitement des angiofibromes du visage. 13 patients (dont 9 de sexe féminin et 6 mineurs) avec un diagnostic clinique de sclérose tubéreuse de Bourneville, ont donné leur accord pour essayer une crème à base de rapamycine sur leurs lésions angiofibromateuses du visage. Il s’agit de sirolimus (Rapamune) 0,1 % dans du pétrolatum appliqué 2 fois par jour. C’est une étude rétrospective, non double aveugle et non randomisée, menée dans le service de dermatologie des Cliniques Universitaires Saint-Luc, à Bruxelles du mois d’avril 2013 au mois d’août 2015. Le temps de suivi varie entre 1 et 27 mois selon le patient (moyenne de 14,5 mois). L’évaluation de la sécurité est effectuée via un hémogramme et un dosage sanguin de sirolimus à 1-2-6mois puis tous les 3 à 6 mois. On a évalué l’efficacité du traitement en comparant les photos avant et après traitement et selon un pourcentage arbitraire que le patient exprime à propos de son degré d’amélioration clinique. Tous les patients, sauf un qui a arrêté le traitement, montrent une amélioration clinique de leurs lésions : les angiofibromes sont réduits en volume et inflammation. Les effets indésirables se résument essentiellement à une dermatite irritative aux endroits d’application (8 patients sur 13). Le sirolimus n’est jamais détecté dans le sang chez les patients bénéficiant de contrôles biologiques réguliers. Nos résultats sont globalement en accord avec d’autres case reports et études à ce sujet. La rapamycine topique semble être une option sûre et efficace dans le traitement d’angiofibromes du visage pendant une durée qui dépasse les 2 ans. Plus d’études comparatives sont nécessaires pour établir de manière définitive la concentration idéale en principe actif, la meilleure forme galénique et la durée de traitement qui permettraient un effet bénéfique prolongé dans le temps.


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Place de la réactivation des herpèssvirus dans l'étiopathogénie du syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques, (DRESS) : étude cas-témoins prospective à visée étiologique
Authors: --- --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

The syndrom of drug reaction with eosinophila and systemic symptoms (DRESS syndrom) is a severe toxidermia caused by the taking of certain medication. More and more stud ies suggest a direct relationship between the apparition of a DRESS syndrom and the reactivation of certain herpesviruses. Hu man Herpesvirus 6 (HHV-6) seems to be mainly involved. And yet, the precise etiopathogeny of DRESS syndrom and the role played by HHV-6 remam unclear. Methods: We performed a prospective longitudinal case-control study with an etiological aim. The main goal of the study is to confirm whether herpesviruses are involved in DRESS syndrom . The secondary aim is to determine whether the search for those viral reactivations and alteration of immune cell s in doubtful DRESS syndrom is relevant. To perform the study, we recruited subjects using the diagnostical criteria settled by the European research group RegiSCAR. Results: Within two years, 4 patients developed a toxidermia compatible with a DRESS syndrom. One of them passed away and could therefore not be included in the study. The second refused to take part to the study. The diagnosis of DRESS syndrom could not be confirmed for the third patient. Therefore only one subject could be included up to now in our study. Th is patient developed a relapse of DRESS syndrom caused by allopurinol, 5 years after a first episode. In this subject, an early reactivation of EBV and later reactivation of CMV and HHV-6 were discovered. We compared these results with a patient with a benign drug-related rash caracterized as a delayed maculopapular rash caused by amoxici llin-clavulanic acid in which no viral reactivation was found. Discussion and Conclusion DRESS syndrom is extremely rare (10 cases per million patients per year) and hence, a two yea rs lasting study was not enough to collect a significant sample of patients. As a consequence, no conclusion can be drawn from this study. However, our results are in agreement with the actual data of the medical literature. As a conclusion, we think that this study must be carried on and could be a model for other studies aiming to improve the diagnosis of DRESS syndrom . Le syndrome de réaction médicamenteuse avec une éosinophilie et des symptômes systémiques (DRESS) est une toxidermie sévère due à la prise de certains médicaments. De plus en plus de publications suggèrent qu'il existe un lien direct entre le développement d'un syndrome DRESS et la réactivation de certains herpèsvirus. Le virus qui est le plus souvent mis en cause est l'herpèsvirus humain de type 6 (HHV-6). L'étiopathogénie exacte du DRESS et l 'implication de HHV-6 restent pourtant incertains. Matériel et Méthode: Nous avons réalisé une étude cas-témoins prospective à visée étiologique. Le but principal de l 'étude est de confirmer l 'implication des herpèsvirus dans le syndrome DRESS. L'objectif secondaire est d'évaluer l'intérêt de la recherche de ces réactivations virales et des altérations des cellules de l'immunité dans les cas de syndromes DRESS douteux. Pour réaliser cette étude, nous avons recruté les sujets en utilisant les mêmes critères diagnostiques que le groupe d'étude européen RegiSCAR. Résultats :En 2 ans, 4 patients ont présenté une toxidermie compatible avec un syndrome DRESS. L'und'entre eux est décédé et n 'a donc pas pu être inclus dans l 'étude. Le deuxième a refusé de participer à l'étude. Le d iagnostic de DRESS n'ayant pu être confirmé pour le troisième, seul un patient a pu être inclus jusqu'à présent. Ce patient présentait une récidive de syndrome DRESS à l 'allopurinol, 5 ans après un premier épisode. Celu i-ci a présenté une réactivation précoce du virus d'Epstein -Barr et la réactivation tardive de H HV-6 et du cytomégalovirus. Ces résultats ont été com parés à ceux d'un patient présentant une éruption médicamen teuse bénigne à type d'exanthème macu lopapuleux retardé à l'amoxicilline-clav ulanate et chez lequel aucun virus ne s'est réactivé .Discussion et Conclusion.Le syndrome DRESS étant extrêmement rare (10 syndromes DRESS / millions de personnes et par an), les 2 années d'étude n'ont pas été suffisantes pour obtenir un échantillon significatif de patients. Ceci ne nous permet donc pas de tirer de conclusion. Cependant, nos résultats concordent avec les données de la littérature. Dès lors, nous pensons que cette étude doit être poursuivie et pourrait servir de modèle à d'autres études destinées à améliorer le diagnostic de DRESS syndrome.

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