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Ce guide de médecine préventive sadresse aux soignants qui gravitent autour de la grossesse et de la naissance. Cest un outil de référence quotidien qui permet danalyser les possibilités diagnostiques et thérapeutiques dans le suivi de la grossesse.
WQ 39 Handbooks. Resource guides --- Obstetrics --- Term Birth --- Handbooks --- Prenatal Care --- Médecine anténatale. --- Femmes enceintes --- Soins prénatals. --- obstétrique. --- périnatalogie. --- Mère et nourrisson. --- Pregnant women --- Prenatal care --- Soins prénatals --- Santé et hygiène. --- Health and hygiene --- Santé et hygiène --- Médecine anténatale. --- Soins prénatals. --- obstétrique. --- périnatalogie. --- Mère et nourrisson. --- Soins prénatals --- Santé et hygiène. --- Santé et hygiène
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Our study focuses to pregnancies that are complicated by premature rupture of the membranes; defined as a loss of amniotic fluid out of the active labor, namely from one hour of rupture without contractions or cervical changes. Interest about this subject comes from the frequency of this complication which represents 8% of term pregnancies and 2 to 3, 5% of the preterm pregnancies. The aims of the study are to answer questions from women about the future of their pregnancy and to predict the risk of maternal and fetal complications. The study looks at several points: the occurrence of preterm labor and/ or of chorioamnionitis in function of several parameters such as latency time, administration of antibiotics, and administration of tocolysis. The studied fetal complications include prematurity-related problems and problems related to the infection of the amniotic fluid and membranes (respiratory distress syndrome, jaundice, poor adaptation at birth, cardiorespiratory depression). The study also shows the use of antibiotics in the neonatal period and interpretation of results is made taking into account the degree of prematurity. Methodology: the study included 161 patients who experienced a premature rupture of the membranes between 25 and 35 weeks between 2010 and 2015 and shows the latencies between the rupture and childbirth. The extreme values of latency range from 24 hours to 48 days of membranes rupture. Different conditions are included in the study: administration of tocolysis or not administration of betamethasone, administration of antibiotics, occurrence of chorioamnionitis, concomitant presence of preterm labor, and mode of delivery (vaginal birth, or caesarean); performing amniocentesis or not with its result as well as the result of the pathology of the placenta. The study also consists of data on 197 children from these pregnancies. It includes the following items about the newborns; adaptation at birth at 1, 5 and 10 minutes of life, the degree of prematurity, the survival, the development of an infection, other problems in neonatal period (respiratory distress syndrome, cardiorespiratory depression at birth, jaundice), the need for ventilatory support, the administration of antibiotics, residence time in neonatal care unit and the presence of a malformation or not. Results and conclusions: results show that 52% of pregnancies complicated by premature rupture of membranes are complicated by a chorioamnionitis. 94% of women received antibiotic therapy; the administration of an antibiotic does not always prevent the chorioamnionitis but reduces the risk. Positioning in performing amniocentesis is not clear because in many cases the fluid sampling is difficult or impossible and the test is not very sensitive with a sensitivity of 49, 35 % but the specificity of the test is good because 86 % of negative punctures aren’t accompanied of chorioamnionitis . Administration of tocolysis doesn’t prolong latency compared to women who didn’t receive tocolysis, without tocolysis average latency is 7,465 days whereas with tocolysis average latency is 7, 3456 days. Be aware that tocolysis can’t delay for more than 7 days the delivery, tocolysis aims to sufficiently prolong pregnancy in order administer two doses of betamethasone. The risk of chorioamnionitis is greater with tocolysis ( 53,39%) than without (46,51%).Regarding the prognosis of newborns; there is more risk of poor initial adjustement when there was a chorioamnionitis (1% of maladjustement) than if there wasn’t chorioamnionitis (0% of maladjustment) and there are more good adjustment when there wasn’t a chorioamnionitis. Maternal antibiotic treatment doesn’t significantly modify the occurrence of neonatal infection. The probability of developing neonatal infection if there was chorioamnionitis is 90, 88 % against 43, 65% if there was’nt chorioamnionitis . So, there are 2, 08 times more risk of developing a neonatal infection if there was a chorioamnionitis. Finally; the risk of death is low, only 3 children among the 197 studied (1, 52 %) and of these three children and of these three children 2 was extreme premature child and 1 was a great premature child. In conclusion, the study notes that more than half of the premature rupture of the membranes in choroamnionitis despite antibiotics. Antibiotic prophylaxis does not always prevent choroamnionitis but reduces the risk. Tocolysis doesn’t increase latency between premature rupture of the membranes and delivery and lead to an increased risk of choroamnionitis . The position to adopt towards the amniocentesis is still not clear, it’s specific test but it isn’t sensitive. Regarding the newborn, the risk of poor adaptation is higher if the child is from a pregnancy with choroamnionitis. The risk the child develop neonatal infection is independent of maternal antibiotic treatment which doesn’t decresed the rate of neonatal infection coprard to children whose mothers received antibiotics. The risk of neonatal infection is higher if there was choroamnionitis. Nevertheless, the risk of death is low. L'étude qui nous concerne se rapporte aux grossesses qui se sont compliquées de rupture prématurée de la poche des eaux ; définie comme une perte de liquide amniotique en dehors d'un travail actif, à savoir à partir d'une heure de rupture sans contraction et sans modification de col. L'intérêt à propos de ce sujet vient de la fréquence de cette complication qui représente 8% des grossesses à terme et 2 à 3,5 % des grossesses avant terme. Les buts de l'étude sont de pouvoir répondre aux questions des femmes quant au devenir de leur grossesse et de pouvoir prédire le risque de complications maternelles et fœtales. L'étude s'intéresse à différents points : la survenue d'une menace d'accouchement prématuré et/ou d'une chorioamnionite en fonction de plusieurs paramètres comme la durée de la latence, l'administration d'antibiotiques, et l'administration d'une tocolyse. Les complications fœtales étudiées sont les problèmes liés à la prématurité et à l'infection du liquide amniotique et des membranes (maladie des membranes hyalines, ictère, mauvaise adaptation à la naissance, infection néonatale précoce et tardive). L'étude reprend aussi l'administration d'antibiotiques en période néonatale et l'interprétation des résultats se fait en tenant compte du degré de prématurité. Méthodologie : L'étude comprend 161 patientes ayant présenté une rupture prématurée de la poche des eaux entre 25 et 35 semaines entre 2010 et 2015 et reprend les latences entre la rupture et l'accouchement, les valeurs extrêmes de latence vont de 24 »h à 48 jours de rupture. Plusieurs conditions sont reprises dans cette étude : l'administration ou non d'une tocolyse ; l'administration de bétaméthasone, l'administration d'antibiotiques, la survenue d'une chorioamnionite, le mode d'accouchement (vaginal ou césarienne) ;la réalisation ou non d'une amniocentèse avec son résultat ainsi que le résultat de l'anatomopathologie du placenta. L'étude se compose également des données concernant les 197 enfants issus de ces grossesses. Elle comporte les éléments suivant concernant les nouveau-nés : l'adaptation à la naissance à 1,5 et 10minutes de vie ; le degré de prématurité ; la survie le développement d’une infection ; les autres problèmes rencontrés en période néonatale (maladie de membranes hyalines, dépression cardio-respiratoire à la naissance, ictère) ; la nécessité d’un support ventilatoire, l’administration d’antibiotiques ; le temps de séjour en unité de soins néonataux et la présence ou non d’une malformation compatible avec un oligohydrodramnios voire un anamnios complet. Résultats et conclusions : les résultats montrent que 52 % des grossesses compliquées de rupture prématurée de la poche des eaux se compliquent d’une chorioamnionite. 94% des femmes ont reçu une antibiothérapie, l’administration d’un antibiotique ne prévient pas toujours la chorioamnionite mais en réduit le risque. Le positionnement quant à la réalisation d’une amniocentèse n’est pas clair puisque dans un certain nombre de cas le prélèvement de liquide n’est pas aisé voire impossible et que le test est peu sensible avec une sensibilité de 49,35% mais la spécificité du test est bonne car 86% des ponctions négatives ne s’accompagnent pas d’une choriomnionite. Quand la PLA est positive, l’anatomopathologie est positive dans 85 % des cas. L’administration d’une tocolyse ne prolonge significativement la latence par rapport aux femmes qui n’ont reçu de tocolyse ; sans tocolyse la latence moyenne est de 7,465 jours alors qu’avec une tocolyse la latence moyenne est de 7,356 jours. Il faut savoir que la tocolyse ne peut pas retarder le travail de plus de 7 jours, la tocolyse a pour but de prolonger suffisamment la grossesse afin de pouvoir administrer les 2 doses de bétaméthasone. Le risque de développer une chorioamnionite est plus important quand on administre une tocolyse (53,39%) que quand aucune tocolyse n’est administrée (46,51 %). En ce qui concerne le pronostic des nouveau-nés ; il y a plus de risque d’avoir une mauvaise adaptation initiale quand il y a une chorioamnionite (1% de mauvaise adaptation) que lorsqu’il n’y a pas eu de chorioamnionite ( 0 % de mauvaise adaptation) et il y a plus de chance de bonne adaptation quand il n’y a pas eu chorioamnionite. L’antibiothérapie maternelle ne modifie pas significativement la survenue d’infection néonatale. La probabilité de développer une infection néonatale précoce s’il y a eu une chorioamniotite est de 90,88% contre 43,65% s’il n’y a pas eu de chorioamniotite, il y a donc 2,08 fois plus de risques de développer une infection néonatale s’il y avait une chorioamnionite. Enfin le risque de décès est faible, seuls 3 enfants parmi les 197étudiés sont décédés (1,52%) et parmi ces 3 enfants, 2 étaient des prématurés extrêmes et 1 était un grand prématuré. En conclusion, l’étude retient que plus de la moitié des ruptures prématurées de la poche des eaux se complique d’une choriomnionite malgré l’administration d’antibiotiques ; l’antibioprophylaxie ne prévient pas toujours la survenue de la choromnionite mais en diminue le risque. La tocolyse n’augmente pas la latence entre la rupture prématurée des membranes et l’accouchement mais entraine une augmentation du risque de chorioamnionite. La position à adopter vis-à-vis de l’amniocentèse, n’est toujours claire, cela reste un test spécifique mais peu sensible. Concernant le nouveau-né, le risque de mauve adaptation est plus élevé si l’enfant est issu d’une grossesse avec une chorioamnionite. Le risque que l’enfant développe une infection néonatale ne dépend pas de l’antibiothérapie maternelle qui ne donne pas de diminution du taux d’infection par rapport aux enfants dont la mère a reçu une antibiothérapie. Le risque de développer une infection néonatale est plus grand s’il y a eu chorioamnionite ; Néanmoins, le risque de décès est faible.
Amniotic Fluid --- Infant, Premature --- Pregnancy Complications
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Home Care Services, Hospital-Based --- Pregnancy, High-Risk --- Healthcare Financing --- Hospitals, Maternity
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Trisomy 21 plays a predominant role in prenatal medicine, since it is the only severe disability for which prenatal ultrasound may show no abnormality. A prenatal screening is routinely offered. Recently, it is possible to isolate the free natal from maternal circulating blood and to identify with non-invasive test a fetal trisomy carrier. This non-invasive prenatal test (NIPT) could provide a solution to the complications related to the achievement of invasive tests currently used for screening for trisomy 21 that are chorionic villus sampling and amniocentesis. This retrospective study has a main objective to evaluate the complications found after amniocentesis performed at St Luc hospital as part of a triple disturbing test. And, to offer our patients the test with the best risk/ benefit ratio. The case of 384 patients was analyzed in this retrospective study. The list of these patients came from notebooks punctures the years 2007 to 2014. It corresponds to all patients who underwent aspiration of amniotic fluid in university clinics Luc Saint triple positive test. The rates found for all complications combined, amounted to 2.86 %. The more detailed analysis shows that the bleeding represents 0.52 %, fluid loss 1.82 % and fetal loss 0.52 %.Furthermore, no ovular infection or allo-immunization fetal Rhesus or injuries have been recorded. In addition, the study helped identify other data relating amniocentesis. Indeed, the karyotype analysis could highlight various genetic atypia including trisomy 21, representing almost 60 % of abnormalities, trisomy’s 18 and 13 accounting for about 20% of genetic disorders and other significant anomalies approximating 15%.While amniocentesis remains an invasive procedure with a risk of fetal loss. However, the amniotic fluid puncture remains the investigation of choice for the definitive diagnosis of trisomy 21. In addition, it allows the setting evidence of some chromosomal abnormalities that can escape detection NIPT. Even if the item does not call into question the use of non- invasive test, it resizes its application by defining it as a screening test and not a diagnostic one. Thus, if a triple strongly positive test requires the use of amniocentesis, defined as a moderate risk should be encouraged to use the non-invasive test, keeping the risk of complications associated with the invasive procedure while ensuring not to leave escape potentially undetectable abnormalities by NIPT. La trisomie 21 tient une place prépondérante dans la médecine prénatale de nos jours, puisqu'elle est le seul handicap sévère pour lequel l'échographie anténatale peut ne montrer aucune anomalie. Un dépistage anténatal est donc systématiquement proposé. Depuis peu, il est possible d'isoler l'ADN fœtal libre circulant à partir du sang maternel et d'identifier d'une manière non-invasive un fœtus porteur de trisomie. Ce test prénatal non invasif (NIPT) pourrait apporter une solution aux complications liées à la réalisation des tests invasifs utilisés actuellement pour le dépistage de la trisomie 21, que sont la biopsie de villosités choriales et l’amniocentèse. Cette étude rétrospective a pour objectif principal d'évaluer les complications retrouvées suite à une amniocentèse réalisée aux cliniques Saint Luc dans le cadre d'un triple test inquiétant. Et ce, afin de pouvoir proposer à nos patientes le test ayant le meilleur rapport bénéfices/risques. Les cas de 384 patientes ont été analysés dans cette étude rétrospective. La liste de ces patientes provient des cahiers de ponctions des années 2007 à 2014. Elle correspond à toutes les patientes ayant subi une ponction de liquide amniotique au sein des cliniques universitaires Saint Luc pour un triple test positif. Le taux retrouvé, pour toutes complications confondues, s'élève à 2.86%. L'analyse plus précise montre que les métrorragies représentent 0.52%, les pertes liquidiennes 1.82% et les pertes fœtales 0.52%. Par ailleurs, aucune infection ovulaire, ni d'allo-immunisation Rhésus ou blessure fœtale n'ont été constatées. En outre, l'étude a permis de faire ressortir d'autres données en rapport avec l'amniocentèse. En effet, l'analyse des caryotypes a pu mettre en évidence diverses atypies génétiques parmi lesquelles la trisomie 21 représentant près de 60% des anomalies, les trisomies 18 et 13 comptant pour environ 20% des troubles génétiques et d'autres anomalies significatives correspondant approximativement à 15%.Certes, l’amniocentèse reste un geste invasif comportant un certain risque de perte fœtale. Cependant, la ponction de liquide amniotique est l’examen de choix pour le diagnostic de certitude la trisomie 21. De plus, elle permet la mise en évidence de certaines anomalies chromosomiques pouvant échapper à la détection du NIPT. Même si ce dernier élément ne remet pas en doute l’usage du test non-invasif, il redimensionne son application en le définissant en tant qu’examen de dépistage et non comme un outil diagnostic. Ainsi, si un triple test fortement positif oblige le recours à l’amniocentèse, un risque défini comme modéré devrait encourager à recourir au test non-invasif, préservant du risque de complications lié à la procédure invasive tout en s’assurant de ne pas laisser échapper les anomalies potentiellement non détectables par le NIPT.
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Gestational diabetes is a carbohydrate intolerance that first appears during pregnancy. In Belgium, the frequency of this pathology reaches about 5% of pregnant women and it grows in our country but also on worldwide scale. The risks involved in contracting this disease are many and can have harmful consequences for the mother and her child. To avoid complications, care is essential. The treatment will be above all the establishment of hygiene and dietary measures and it is only in case of failure of these, that insulin therapy will be established. Those women, who daily life is suddenly turned upside down, must acquire many techniques to learn how to manage their pathology. That is why they have a real need for information. The pharmacist dispensary, an easily accessible health advisor, should be able to provide them with help. He will give the appropriate advices and recommendations adapted to the patient. In addition, he will support and guide her throughout her pregnancy. However, it should not stop there, because this pathology occurring during pregnancy does not necessarily disappear after childbirth…This thesis aims to show the importance of the pharmacist’s role in the management of this particular diabetes: pregnancy diabetes. Le diabète gestationnel est une intolérance glucidique apparaissant pour la première fois lors de la grossesse. En Belgique, la fréquence de cette pathologie atteint environ 5 % des femmes enceintes et elle continue de croître dans notre pays mais aussi à l 'échelle mondiale. Les risques encourus par cette maladie sont multiples et peuvent avoir des conséquences néfastes sur la mère et sur son enfant. Pour éviter ces complications, une prise en charge est indispensable. Le traitement sera avant tout la mise en place de mesures hygiéno diététiques et c'est seulement en cas d'échec de celles-ci, que l'insulinothérapie sera instaurée. Ces femmes dont le quotidien est subitement chamboulé, doivent acquérir de nombreuses techniques pour gérer leur pathologie. Elles ont alors un réel besoin d'informations. Le pharmacien d'officine, un conseiller de la santé facilement accessible, devra être en mesure de leur apporter de l'aide. Il donnera les conseils adéquats et les recommandations adaptées à la patiente. De plus, il la soutiendra et la guidera tout au long de sa grossesse. Cependant, il ne devra pas s'arrêter là, car cette pathologie survenant pendant la grossesse ne disparaît pas forcément après l 'accouchement ...Ce mémoire a pour objectif de montrer l'importance du rôle du pharmacien d'officine dans la prise en charge de ce diabète particulier : le diabète de grossesse.
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Ce mémoire a pour objectif d'étudier la version par manœuvre externe (VME) au sein de l 'hôpital universitaire Saint-Luc de Bruxelles. Il va nous permettre d'en savoir plus sur les taux de réussite et de complication de la VME et va permettre de préciser les facteurs qui influencent significativement sa réussite. En effet, nous savons par l'expérience des obstétriciens et l'ensemble des études déjà effectuées à ce sujet, que si le taux de succès augmente, le nombre de césarienne diminuera d'où l'intérêt de trouver les facteurs favorables à la réussite de la version. Pour étudier celle-ci, nous avons répertorié 259 patientes ayant bénéficié d'une VME entre le I er janvier 2007 et le 31 décembre 2012 au sein du service d'obstétrique de l'hôpital Saint Luc. Le taux de succès de la version calculé sur ces cinq années est de 39 %, ce qui rentre dans la moyenne renseignée dans la littérature. Pour chaque patiente, nous avons recherché diverses données médicales dont celles susceptibles d'influencer la réussite de la version à savoir : l'âge de la mère, l'âge gestationnel, l'indice de masse corporel, la parité, la quantité de liquide amniotique, le poids fœtal estimé, la localisation du placenta, le type de siège, l 'opérateur de la version, la présence d'une circulaire du cordon, les complications éventuelles, le mode d'accouchement et bien sûr si la version a été couronnée de succès ou pas. Des analyses statistiques utilisant le chi carré (Tests de Fisher) ainsi que des régressions logistiques calculant l'odds ratio ont permis de déterminer quels facteurs influencent significativement la VME au sein de notre hôpital. Il s'agit de la parité, la quantité de liquide amniotique, le poids fœtal estimé lors de la version et la localisation du placenta. Les tests du chi carré ont également montré que les quatorze opérateurs obstétriciens ne réussissaient pas aussi bien la version. Les quatre facteurs cités ci dessus ont été repris au sein d'un tableau et des points ont été attribués à leur variable. Les variables qui favorisaient la réussite de la version ont reçu plus de points que les autres variables du même facteur ayant un taux de réussite plus faible. La somme de ces points donne à chaque patiente un score associé à un taux de succès de la VME. Nous avons découvert qu'à partir d'un score de 11, nous pouvons proposer la version aux patientes car ce score est associé à un taux de réussite > 55 %. Grâce à ce score d'évaluation des chances de réussite de la VME, chaque obstétricien peut calculer le score total pour chaque patiente et juger, selon le résultat, s'il est intéressant ou non de proposer la version. Il permet ainsi d'orienter la discussion et d'aider à la décision des obstétriciens quant à la réalisation ou non d'une version. The aim of this thesis is to study the External Cephalic Version (ECV) within the Saint-Luc university hospital of Brussels. This will enable us to know more about the rates of success and complication of the ECV and to clarify the factors influencing its success. Indeed thanks to the professional experience of the obstetricians and ail the studies made on this subject we know that if the rate of success increases, the number of Caesarean section will decrease hence the importance to find factors contributing to the success of ECV. To study the Version we listed 259 patients who benefited from an ECV between the 151 of January 2007 and the 31st of December 2012 within the obstetric service of the Saint-Luc hospital. The success rate of the ECV calculated over these five years is 39%, a figure equal to the average found in the literature. For each patient, we looked into different medical data among which those susceptible to influence the success of the Version i.e. the age of the mother, gestational age, body mass index, parity, amniotic fluid volume, estimated fetal weight, placenta location, type of breech, operator of the Version, presence of coiling of funis, possible complications, mode of delivery and evidently if the version was successful or not. Statistical analyses using the chi-square as well as logistic regressions calculating odds ratio and confidence interval at 95% on the odds ratio enabled us to know which factors significantly influenced the ECV within our hospital. It relates to the parity, the amniotic fluid volume, the estimated fetal weight during the Version and the location of the placenta. The tests of the chi-square also showed that fourteen obstetricians did not succeed so easily in doing a Version. The four above mentioned factors were compiled in a table and points were attributed to their variables. The variables which favored the success of the Version received more points than the other variables of the same factor showing a weaker rate of success. The sum of these points gives to each patient a score linked to a success rate of the ECV. We discovered that from a score of 11, we can suggest the Version to the patients because this score is associated to a success rate above 55 %. Thanks to this assessment method of the chances of success of the ECV, every obstetrician can calculate the total score for every patient and judge , according to the result, if it is interesting or not to offer the Version. The same score will guide the discussion and help obstetricians to decide whether to go for an ECV or not.
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