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Human rights. --- Droits de l'homme (Droit international) --- Human Rights --- Human rights --- Basic rights --- Civil rights (International law) --- Rights, Human --- Rights of man --- Human security --- Transitional justice --- Truth commissions --- Law and legislation --- Philosophy --- Droits de l'homme --- Philosophie
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Authority --- Autorité --- Gezag --- Macht (Filosofie) --- Macht (Sociale wetenschappen) --- Political power --- Pouvoir (Philosophie) --- Pouvoir (Sciences sociales) --- Power (Philosophy) --- Power (Social sciences) --- Puissance (Philosophie) --- Political science --- Philosophy --- Autorité --- Empowerment (Social sciences) --- Exchange theory (Sociology) --- Social sciences --- Sociology --- Consensus (Social sciences) --- Political philosophy --- Authoritarianism --- Political science - Philosophy
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Lorsqu'en 1990, Mike Godwin, un jeune avocat de l'État de New York, formula la proposition qui allait très vite devenir la loi portant son nom, personne n'imaginait que celle-ci deviendrait un jour aussi célèbre que les plus grandes lois physiques : « Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d'y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Hitler se rapproche de 1. » Dans les échanges se déroulant sur internet, se livrer à une telle comparaison signifie désormais aussitôt recevoir des autres participants ce que l'on appelle un « Point Godwin » la médaille de la honte de l'internaute. Mais ce qui peut sembler n'être qu'un simple tic de geek n'est-il que cela ? N'y a-t-il pas dans l'obsession pour le nazisme, l'hitlérisme et l'Holocauste l'une des plus embarrassantes vérités de notre temps ? Et si notre obsession pour le souvenir de la Shoah et la limite qu'elle pose à la liberté d'expression n'étaient rien d'autre que le signe de notre incapacité contemporaine à admettre le mal ?
National socialism and sociology. --- Language and the Internet. --- Electronic discussion groups. --- National socialism and philosophy. --- Reasoning. --- Good and evil. --- Nazisme et sociologie --- Langage et Internet --- Forums électroniques --- Nazisme et philosophie --- Raisonnement --- Bien et mal --- National socialism and sociology --- Language and the Internet --- Electronic discussion groups --- National socialism and philosophy --- Reasoning --- Shoah --- --National socialism and sociology --- --National socialism and sociology. --- Forums électroniques
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Pourquoi donc sommes-nous si accrochés à notre maigre « je » ? Pourquoi refusons-nous d’accepter les leçons les plus radicales des neurosciences ou de la psychologie cognitive à propos de notre « identité » ou de ce que nous aimons à considérer comme notre « libre arbitre » ? Quel mal y aurait-il à accepter que nous soyons le résultat de déterminations qui nous dépassent – et que nos choix ne soient que des coli-fichets ayant pour seule fonction de nous rassurer ? Dans Lost Ego, François De Smet répond à toutes ces questions de la meilleure manière qui soit : en mettant le doigt sur les peurs qui continuent à nous voir nous accrocher aux reliques de notre « moi » en miettes et que nous refusons de regarder en face. Non, nous n’existons pas – mais c’est précisément parce que nous n’existons pas que nous pouvons trouver le moyen de vivre. Seuls, et surtout ensemble
Self (Philosophy) --- Ego (Psychology) --- Sujet (philosophie) --- Subject (Philosophy) --- Sujet (Philosophie) --- Philosophie --- Je --- Existences
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Sovereignty --- History --- Religious aspects --- State sovereignty (International relations) --- Religious aspects&delete& --- Christianity --- Law and legislation --- International law --- Political science --- Common heritage of mankind (International law) --- International relations --- Self-determination, National
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Sexe contre ressources : et si cet échange sulfureux, stigmatisé comme le monopole des filles de joie et autres sugar babies, constituait en réalité le ressort de toutes les relations sentimentales? Tel est le sens de l'échange économico-sexuel, théorie selon laquelle, de la simple «passe» au mariage bourgeois, il n'y a de différence que d'amplitude, et non de nature. Le monde des sentiments est aujourd hui un marché, entretenu par un modèle culturel dominant ayant capitalisé sur une nature humaine d'homo comptabilis qui n'a jamais cessé de s'exploiter elle-même. Internet a achevé ce travail de marchandisation en nous transformant tous en acteurs d'un mercato permanent, au sein duquel chacun évolue comme client et marchandise. Monnaie d'échange et intimité sont substantiellement liés, mais nous sommes perpétuellement invités à faire comme si ce n'était pas le cas. Dès lors, notre époque se caractérise par un gigantesque refoulement de la nature comptable de l'être humain et de la nature vénale de l'amour. Ce qui nécessite un double mouvement en apparence contradictoire : la mise au ban de la putain comme rappel de cette insupportable vénalité, et l'investissement dans l'amour comme religion ultime.
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