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Comment vivre ensemble en ville ? Quelle place les femmes occupent-elles dans l'espace urbain, malgré la quotidienneté du sexisme ? Quelles expériences de la ville ont les minorités de genre et de sexualité ou bien encore les personnes victimes de racisme ? Et que font (ou ne font pas) les témoins des discriminations qui s'y déroulent ? Au travers de multiples enquêtes statistiques et d'entretiens approfondis, deux sociologues tentent de restituer les pleins et les déliés d'un espace public marqué par les opprobres, les injures, les craintes, les discriminations, les sentiments de relégation, d'ostracisme... Car l'espace public n'est pas neutre. S'il est générateur de lien social, il est aussi excluant - de manière parfois non intentionnelle, mais toujours blessante, laissant ainsi des traces profondes dans la vie des personnes discriminées. (4e de couverture)
Discrimination --- Sociology, Urban --- Sexism --- Racism --- Homophobia
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"Si la condition des femmes au travail a indéniablement progressé au cours du XXe siècle dans la plupart des régions du monde, la perspective que les femmes puissent bénéficier au XXIe siècle des mêmes droits que les hommes est loin d'être un acquis universel. Comme par le passé, les crises de ces dernières années ont contribué à rendre les femmes plus vulnérables et à éloigner l'espoir d'un rééquilibrage entre les genres, tant dans le travail que dans la société. Chacune des neuf coautrices a observé un pays, soulignant les inégalités qui s'y accumulent et forment un système : surreprésentation des femmes dans des métiers genrés, précaires et subalternes ; interruption de carrière pour raisons familiales et choix politiques favorisant un modèle sociétal et économique sexiste. Néanmoins, la lutte contre ces inégalités reste une priorité pour les femmes de la génération montante comme le montre le mouvement #MeToo, représenté dans chaque pays examiné. L'indignation contre le harcèlement sexuel a soulevé une nouvelle vague féministe, un élan mondial de contestation contre les discriminations et les inégalités de genre."
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Si conventions et chartes pour l'égalité des sexes se multiplient depuis presque trente ans avec plus ou moins de bonheur, peut-être est-ce parce que les filles demeurent les publics-cibles privilégiés de la volonté émancipatrice institutionnelle. Notre système scolaire semble avoir bien du mal à penser, en complémentarité et même en priorité, l'évolution des garçons... Tant que des mécanismes de séparation et de hiérarchisation des sexes œuvreront au sein même de l'école, tant que les garçons seront confrontés à l'injonction paradoxale d'être dociles à l'institution tout en affirmant leur virilité, tant que nous resterons aveugles aux nouvelles formes d'entre-soi masculin, tant que l'école continuera à penser que tous les élèves sont hétérosexuels et conformes aux normes de genre, les choses auront du mal à évoluer... Quels leviers peuvent permettre un changement, profitable aussi bien aux filles qu'aux garçons, dans une école plus égalitaire ? Une école émancipatrice ne devrait-elle pas être, avant tout, une école accueillante à toutes les variations des rôles de genre qui ne sauraient se résumer à la bicatégorisation fille-garçon ?
Education --- genre --- éducation --- égalité --- émancipation --- bicatégorisation fille-garçon --- système scolaire --- école
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Les textes sont issus du colloque international des 23 et 24 janvier 2012 initié par l'ISIAT (Institut Supérieur d'Ingénieurs-Animateurs Territoriaux), IUT Michel de Montaigne, à Bordeaux. Ce colloque a reçu l'appui de l'Université Bordeaux 3, du laboratoire ADES (Aménagement, Développement, Environnement et Société) unité mixte de recherche 5185 du CNRS, et du CRAJEP (Comité régional des associations d'éducation populaire) Aquitaine. L'ouverture internationale s'est traduite par la participation d'universitaires et de professionnels espagnols de l'IEPSA à Saragosse, sous l'égide d'un programme de coopération inter-régional Aquitaine-Aragon, de collègues portugais de l'ESELx à Lisbonne, et québecois de l'UQAM à Montréal, Les IUT, dont les départements Carrières sociales sont rassemblés en réseau (ADCS), sont, au sein des Universités, des lieux qui font valoir un ancrage professionnel des formations auxquelles ils contribuent, et qui stimulent l'avancée d'une recherche ancrée dans l'action. Il s'est agi dans ce colloque d'articuler pratique et recherche, de confronter communications scientifiques et analyses de praticiens, savoirs de recherche et savoirs d'expérience. La question du rapport au politique n'est pas nouvelle pour les animateurs : le monde politique et sa gouvernance influent sur la vie sociale et culturelle dans laquelle il leur est demandé d'intervenir, ils sont souvent confrontés au fait politique et même dépendants de l'agenda politique, et ils sont questionnés tant par l'expression politique citoyenne que par leur propre engagement dans une visée d'émancipation, ou par leur évitement du politique. Trois axes invitent à questionner et développer une compréhension critique des rapports de l'animation au politique : L'animation socioculturelle et le politique : quelles articulations ? Animatrices et animateurs : pratiques, enjeux et contraintes. La place des populations : actrices ou spectatrices ?
Sociology --- animation socio-culturelle --- France --- animateur
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