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L'influence des penseurs et philosophes français aux États-Unis. L'ouvrage revient sur le rayonnement outre-Atlantique de Jean Baudrillard, Gilles Deleuze, Félix Guattari ou de Michel Foucault. Il rappelle la situation paradoxale des années 1970, soulignant qu'en France, les intellectuels de la "pensée 68" sont marginalisés, tandis qu'ils sont célébrés en Amérique
Political philosophy. Social philosophy --- Literature --- Philosophy, French --- France --- United States --- Intellectual life --- Civilization --- French influences --- French influences. --- Philosophy, French - 20th century --- France - Intellectual life - 20th century --- United States - Civilization - French influences
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Philosophy, French --- Philosophie française --- France --- United States --- Etats-Unis --- Intellectual life --- Vie intellectuelle --- 82.0 --- Literatuurtheorie --- 82.0 Literatuurtheorie --- Philosophie française --- French influences. --- Civilization
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La Yougoslavie implosait. Les Zapatistes prenaient les armes au Chiapas. Au Rwanda, on exterminait en masse. Partout les bulles spéculatives enflaient. Le bug de l’an 2000 faisait frémir. La techno et l’ecstasy multipliaient les nuits blanches. Nirvana rallumait la flamme du punk-rock. La France soudain était reine du football. De grandes grèves réveillaient le mouvement social et les idéologues qui croyaient avoir vaincu le communisme commençaient à déchanter, pendant qu’Internet balbutiait et qu’un Président américain jouait son poste sur une gâterie. Autre temps, si récent pourtant, que ce temps où prit naissance notre présent. Car dans l’intervalle entre la chute d’un mur, à Berlin, et l’écroulement de deux tours, à New York, c’est un monde qui a basculé, le nôtre, un monde et les certitudes qui le portaient : les certitudes de la fin (de l’histoire, du social, de la guerre…), vite corrigées par le retour de l’événement, et celles du bonheur néolibéral sans alternative, que les faits comme les nouveaux résistants s’appliquèrent à démonter. Avec une perspective internationale et la réunion de quelques fortes têtes – dont la plupart eurent alors vingt ans –, l’ambition de ce livre n’est autre que d’offrir la première histoire générale, plurielle et engagée, de la dernière décennie du XXe siècle : l’ère de la supposée « fin de l’Histoire » avait besoin de son manuel d’histoire, pour y voir s’entrecroiser culture et politique, pop et peuple(s), régressions brutales et nouvelles zones d’autonomie temporaire – et pouvoir passer, peut-être, de la fin de tout au début de quelque chose.
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Fonds Suzan Daniel (FSD)
French literature --- Homosexuality in literature. --- Homosexuality and literature --- Littérature française --- Homosexualité dans la littérature --- Homosexualité et littérature --- Themes, motives. --- Thèmes, motifs --- Homosexuality in literature --- Gay critics --- History and criticism --- Littérature française --- Homosexualité dans la littérature --- Homosexualité et littérature --- Thèmes, motifs --- French literature - History and criticism --- Homosexuality and literature - France
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Crise financière --- Histoire contemporaine --- Sociologie du travail --- Années 1980 --- France --- 1975-2000 --- Politique et gouvernement --- 1981-1995
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"Le monde est déchaîné. La violence n'y a pas reculé, comme le pensent certains. Elle a changé de formes, et de logique, moins visible, plus constante : on est passé de l'esclavage au burn-out, des déportations à l'errance chronique, du tabassage entre collégiens à leur humiliation sur les réseaux sociaux, du pillage des colonies aux lois expropriant les plus pauvres... L'oppression sexuelle et la destruction écologique, elles, se sont aggravées. Plutôt qu'enrayée, la violence a été prohibée, d'un côté, pour « pacifier » policièrement les sociétés, et systématisée de l'autre, à même nos subjectivités et nos institutions : par la logique comptable, sa dynamique sacrificielle, par la guerre normalisée, la rivalité générale et, de plus en plus, les nouvelles images. Si bien qu'on est à la fois hypersensibles à la violence interpersonnelle et indifférents à la violence de masse. Dans le désastre néolibéral, le mensonge de l'abondance et la stimulation de nos forces de vie ont fait de nous des sauvages d'un genre neuf, frustrés et à cran, et non les citoyens affables que la « civilisation » voulait former. Pour sortir de ce circuit infernal, et de l'impuissance collective, de nouvelles luttes d'émancipation, encore minoritaires, détournent ces flux mortifères d'énergie sociale. Mais d'autres les convertissent en haines identitaires et en replis patriotes. Qui l'emportera ? De quel côté échappera toute la violence rentrée du monde ?"
Violence. --- Violence --- Social aspects. --- Social aspects --- Sociologie --- Violence - Social aspects
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La Yougoslavie implosait. Les zapatistes prenaient les armes au Chiapas. Au Rwanda on exterminait en masse. Partout les bulles spéculatives enflaient. La techno et l’ecstasy multipliaient les nuits blanches. La France était reine du football. De grandes grèves réveillaient le mouvement social, et les idéo logues qui croyaient avoir vaincu le communisme commençaient à déchanter, pendant qu’Internet balbutiait et qu’un président américain jouait son poste sur une gâterie. Autre temps, si récent pourtant, que celui où prit naissance notre présent. Car dans l’intervalle entre la chute d’un mur, à Berlin, et l’écroulement de deux tours, à New York, le monde a basculé, avec les certitudes qui le portaient : celles de la fin (de l’Histoire, du social, de la guerre...), vite corrigées par le retour de l’événement, et celles du bonheur néolibéral sans alternative, que les faits comme les nouveaux résistants s’appliquèrent à démonter. L’ambition de ce livre est d’offrir la première histoire générale, plurielle et engagée de la dernière décennie du XXe siècle : l’ère de la « fin de l’Histoire » avait besoin de son manuel d’histoire, pour y voir s’entrecroiser culture et politique, pop et peuple(s), régressions brutales et nouvelles zones autonomes temporaires – et pouvoir passer, peut-être, de la fin de tout au début de quelque chose.
World politics --- History, Modern --- Civilization, Modern --- Relations internationales --- Histoire universelle --- Civilisation --- World politics - 1989 --- -History, Modern - 1989 --- -Civilization, Modern - 1950 --- -World politics
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Le confinement ressemble à un méchant coup de génie: camoufler les incapacités de l’État, boucler l’espace public, interrompre le mouvement social, imposer des formes de contrôle à domicile qui font triompher le capitalisme numérique. Pourtant, au contraire des suivants, le premier confinement (qui a concerné au printemps 2020 plus de 4 milliards d’humains) fut aussi une scène de vérité, une expérience à la fois commune et solitaire radicalement inédite, peut-être décisive pour l’avenir. À condition d’interroger d’autres génies que les vautours de la pandémie: les farfadets de l’insoumission, les djinns du voisinage, les anges du ciel intérieur, les vapeurs, ennivrantes ou terrifiantes, d’un moment passé hors du temps – tous génies incités à surgir enfin, à la faveur de cette stupéfiante interruption de tout que les modernes avaient dite impossible. En neuf variations enlevées, neuf histoires écrites en neuf genres, ce livre explore ce qu’il nous est arrivé de neuf pendant le premier confinement. Des humeurs incertaines, des initiatives curieuses et de l’étrange soulagement qui se firent jour, une force se dégage qui nous projette au-delà de la pandémie, de la crise, de la peur: dans un monde enfin vivable.
Confinement (politique sanitaire) --- Changement social. --- Social isolation --- Quarantine --- COVID-19 (Disease) --- Social aspects --- COVID-19 (Disease) - Social aspects
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